Le président soudanais Omar el-Béchir, premier chef d’Etat contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi un mandat d’arrêt, est un militaire de carrière aux influences islamistes, à la tête du plus grand pays d’Afrique depuis deux décennies.
Le Soudan n’a pas coopéré jusque-là et ne coopèrera pas avec la Cour pénale internationale (CPI), a déclaré mercredi sur la chaîne Al-Jazira le ministre de la Justice Abdel Basit Sabdarat, en réaction au mandat d’arrêt délivré contre le président Omar el-Béchir sur le Darfour.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), l’Argentin Luis Moreno-Ocampo, qui a obtenu un mandat d’arrêt contre le président soudanais el-Béchir, est à 56 ans un idéaliste pragmatique ayant dédié sa vie à la traque des pires criminels de la planète.
Le président soudanais Omar el-Béchir, contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et contre l’humanité au Darfour, est le quatrième président poursuivi par la justice internationale pendant l’exercice de ses fonctions.
Le président soudanais Omar el-Béchir, contre lequel la Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et contre l’humanité au Darfour, est le quatrième président poursuivi par la justice internationale pendant l’exercice de ses fonctions.
Médecins sans frontières (MSF) a annoncé à l’AFP avoir reçu l’ordre du gouvernement soudanais d’évacuer son personnel international du Darfour, région déchirée par la guerre civile dans l’ouest du Soudan.
Le président soudanais Omar el-Béchir effectuera une visite éclair dimanche au Darfour, région de l’ouest du pays en proie à la guerre civile, a affirmé mercredi un gouverneur local cité par l’agence officielle Suna.
La Cour pénale internationale (CPI) devait annoncer mercredi si elle délivre ou non son premier mandat contre un chef d’Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, accusé par le procureur de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) devait annoncer mercredi si elle délivre ou non son premier mandat contre un chef d’Etat, le président soudanais Omar el-Béchir, accusé par le procureur de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais Omar el-Béchir pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé mercredi avoir délivré un mandat d’arrêt contre le soudanais pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, sans retenir le chef d’accusation de génocide.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis mercredi son premier mandat d’arrêt contre un chef d’Etat, le président soudanais , pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité au Darfour, qui a été immédiatement rejeté par Khartoum.
La tension est palpable au Soudan, notamment au Darfour où la présence des forces de sécurité a été renforcée, quelques heures avant la décision de la Cour pénale internationale de lancer ou non un mandat d’arrêt contre le président Omar el-Béchir.
Le président soudanais Omar el-Béchir a affirmé que la décision de la Cour pénale internationale (CPI) d’émettre ou non mercredi un mandat d’arrêt à son encontre n’aurait « aucune valeur ».
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno Ocampo, a déclaré mardi avoir « de lourdes preuves contre » le président soudanais Omar el-Béchir, qui pourrait faire l’objet d’un mandat d’arrêt pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide au Darfour.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno Ocampo, a déclaré mardi avoir « de lourdes preuves contre » le président soudanais Omar el-Béchir, qui pourrait faire l’objet d’un mandat d’arrêt pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide au Darfour.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno Ocampo, a déclaré avoir « de lourdes preuves contre » le président soudanais Omar el-Béchir, qui pourrait faire l’objet d’un mandat d’arrêt pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide au Darfour.
Le Soudan a lancé en grande pompe mardi la production électrique au grand barrage de Méroé, le plus important chantier sur le Nil depuis 40 ans, son président Omar el-Béchir en profitant pour fustiger la justice internationale qui le menace.
La Cour pénale internationale (CPI) annonce mercredi si elle délivre ou non un mandat d’arrêt contre le président soudanais Omar el-Béchir, accusé par le procureur de génocide, crimes de guerre et contre l’humanité au Darfour.
Le président iranien, qui achève une tournée en Afrique, a profité de l’étape kényane pour faire la promotion de l’expertise de son pays en matière d’infrastructures.
Le retrait des forces éthiopiennes et l’élection d’un nouveau chef de l’État n’ont pas changé la donne. Les violences persistent, et les soldats étrangers en sont les premières victimes.