Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
La Cour suprême kényane a commencé lundi l’examen sur le fond du recours déposé par le candidat malheureux à l’élection présidentielle, Raila Odinga. Celui-ci conteste la victoire du président sortant Uhuru Kenyatta lors du scrutin du 8 août.
La ligue des jeunes du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), formation politique du président congolais Joseph Kabila, a répondu favorablement le weekend dernier à une invitation des Imbonerakure, mouvement de jeunesse burundais affilié au CNDD-FDD, le parti au pouvoir. Ces jeunes sont soupçonnés d’être une milice supplétive des forces armées burundaises. Un affichage assumé qui suscite la controverse à Kinshasa.
Plusieurs organisations de la société civile burundaises ont lancé le 17 juillet une campagne pour demander à la Cour pénale internationale (CPI) d’ouvrir une enquête sur le Burundi avant le 27 octobre, date à laquelle le pays a prévu de se retirer du Statut de Rome. Selon des juristes burundais et internationaux, la CPI a la possibilité d’ouvrir une enquête sur les crimes commis dans le pays depuis avril 2015, avant son retrait.
Le Ghana a récemment interdit la vente des crèmes éclaircissantes en raison de leurs effets néfastes sur la santé des consommatrices. Le pays emboîte ainsi le pas de son voisin ivoirien et d’autres pays africains qui ont fait de la lutte contre ces produits cancérigènes une question de santé publique.
Selon un rapport de l’ONG Irri publié jeudi, les Burundais continuent de fuir leur pays en raison des sévices infligés par les Imbonerakure, la ligue des jeunes du parti au pouvoir que l’ONU qualifie de milice. Ce que conteste Bujumbura.
Le Maroc va accueillir du 31 août au 5 septembre un tournoi international avec six sélections africaines. Et pas n’importe où : les six rencontres auront lieu à Agadir, ville très touristique, et dans un stade ouvert il y a quatre ans.
Le rapport 2017 sur les investissements en Afrique publié par le Financial Times analyse les grandes tendances des investissements directs étrangers réalisés sur le continent en 2016. Parmi les faits saillants, la place croissante de la Chine qui est devenue, pour la première fois depuis la création de ce rapport en 2003, le premier investisseur sur le continent en termes de capitaux investis. Quant aux États-Unis, ils restent l’investisseur le plus prolifique en terme de projets.
La Banque africaine de développement a annoncé, dans un communiqué publié mardi 21 août, l’exclusion du groupe chinois Chongqing International Construction Corporation (CICO), de « toute éligibilité à ses financements pour une période minimale de douze mois », à la suite de la découverte de pratiques frauduleuses par le Bureau de l’intégrité et de la lutte contre la corruption de la banque.
L’une des phrases du discours de Paul Kagame lors de sa prestation de serment, le 18 août à Kigali, semblait destiné à Emmanuel Macron. Le président français avait suscité une petite polémique un mois plus tôt en évoquant le défi « civilisationnel » de l’Afrique.
Devant des milliers de Rwandais et de très nombreux chefs d’État africains, Paul Kagame a prêté serment ce vendredi 18 août, ouvrant pour de bon son troisième mandat.
Des grenades ont explosé jeudi soir dans deux bars à vin d’un quartier populaire du centre de la capitale burundaise. Elles ont fait au moins un mort et 29 blessés.
« Rester debout » est un livre regroupant les entretiens menés par le journaliste écrivain Antoine Kaburahe avec l’activiste burundais Pierre Claver Mbonimpa. L’ouvrage vient d’être publié aux éditions Iwacu, en Belgique.
Selon le HCR, le haut commissariat de l’ONU pour les réfugiés, le nombre de Soudanais fuyant les combats en Ouganda a dépassé le million. Dans un communiqué publié jeudi 17 août, l’organisation lance également un nouvel appel à l’aide adressé à la communauté internationale.
Après avoir rejeté cette idée, la coalition d’opposition Nasa menée par Raila Odinga a déclaré ce mercredi qu’elle comptait saisir la Cour suprême pour contester les résultats de la présidentielle kényane. C’est le candidat malheureux qui l’a lui-même annoncé à la presse.
La coalition d’opposition Nasa a indiqué mardi qu’elle reportait à mercredi l’annonce de son leader Raila Odinga sur la stratégie qu’elle compte adopter pour contester la réélection du président kényan Uhuru Kenyatta.
Raila Odinga, candidat de l’opposition défait à la présidentielle kényane, a promis dimanche qu’il ne renoncerait pas à contester la réélection du président sortant Uhuru Kenyatta et appelé ses partisans à rester chez eux dans l’attente de l’annonce de sa stratégie mardi.
Sept personnes ont été tuées dans les violences qui ont suivi vendredi soir la réélection du président Uhuru Kenyatta, rejetée par l’opposition, a-t-on appris dimanche de sources policières, portant à 16 le nombre de morts sur l’ensemble du pays.
L’opposition au Kenya faisait l’objet dimanche d’intenses pressions pour canaliser la colère de ses partisans, après les violences post-électorales qui ont fait au moins 11 morts depuis vendredi dans ses bastions, où la nuit a été calme.
L’opposition kényane a averti samedi qu’elle ne renoncerait pas à obtenir la proclamation de son candidat Raila Odinga comme vainqueur de la présidentielle, après l’annonce officielle vendredi de la réélection d’Uhuru Kenyatta qui a provoqué des émeutes dans des bastions de l’opposition.
Huit cadavres, dont sept tués par balle, ont été amenés à la morgue de Nairobi depuis vendredi soir en provenance des bidonvilles de la capitale en proie à des violences depuis l’annonce de la réélection du président Uhuru Kenyatta, a-t-on appris de source policière.
Selon les résultats définitifs délivrés vendredi 11 août par la Commission électorale (IEBC), le président sortant Uhuru Kenyatta a remporté l’élection présidentielle au Kenya, avec 54,27 % des suffrages, contre 44,74 % pour son principal opposant Raila Odinga.
Le Kenya s’est réveillé samedi matin dans l’expectative, ne sachant trop si les violences qui ont suivi dans la nuit l’annonce de la réélection du président Uhuru Kenyatta allaient prendre de l’ampleur, ou au contraire s’éteindre lentement d’elles-mêmes.
Raila Odinga, l’éternel opposant, a raté un nouveau rendez-vous avec l’histoire, en s’inclinant face à Uhuru Kenyatta lors de sa quatrième candidature à la présidence kényane. Et son héritage dépendra de l’attitude qu’il va désormais adopter.
Jeudi, au moins six migrants ont été retrouvés morts au large de la province de Chabwa dans le sud du Yémen. Ils auraient été contraints de sauter par dessus bord par leurs passeurs. Au total, mercredi et jeudi, 300 personnes auraient été obligées elles aussi à sauter à l’eau, d’après l’Organisation internationale pour les migrations au Yémen qiu a recueilli les témoignages de survivants.
Alors que les résultats définitifs de l’élection présidentielle kényane ne sont pas attendus avant vendredi, l’opposition a enjoint la Commission électorale (IEBC) à déclarer son candidat Raila Odinga « vainqueur » du scrutin.
Le Président burundais Pierre Nkurunziza demande à ses compatriotes de financer eux-mêmes les élections de 2020. Sursaut patriotique ou jalon d’une nouvelle candidature ?
Les violences qui ont éclaté mercredi dans plusieurs villes du Kenya ont déjà fait quatre morts. L’attente des résultats définitifs de la présidentielle, d’ores et déjà rejetés par l’opposant Raila Odinga, est à haut risque pour un pays qui a déjà connu de graves troubles postélectoraux par le passé.