Philippe Verdon et Serge Lazarevic : selon une source municipale malienne, ce sont les noms des deux Français enlevés par des hommes armés non identifié dans la petite ville d’Hombori, entre Mopti et Gao, dans le Nord-Mali. Un rapt qui porte la griffe d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI).
Suite à des allégations de Jean-Pierre Fabre, qui a accusé Louis Michel d’être « impliqué dans des structures familiales d’affaires qui exploitent et saignent l’Afrique », l’ancien ministre belge a annoncé son intention de porter plainte contre l’opposant togolais. Explications.
Deux Français ont été enlevés dans le Nord-Mali par des hommes en armes, dans la nuit du 23 au 24 novembre. Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) est-il l’auteur du rapt ? La méthode employée et la nationalité des victimes le laissent penser.
Conséquence directe de la visite de Benît XVI au Bénin ? Le mardi 22 novembre le président Boni Yayi a reçu en audience la principale coalition de l’opposition. Un rendez-vous attendu depuis des mois.
Dans un rapport publié mercredi, l’Unicef et l’ONG Save the children ont dénombré pas moins de 1 121 femmes et enfants victimes de « violations graves des droits des personnes » depuis le début de la crise post-électorale.
De nouveau candidat à sa propre succession, le 24 novembre, le chef de l’État Gambien Yahya Jammeh tente de lisser l’image d’autocrate ubuesque qui lui colle à la peau. Mais a toujours du mal à s’accommoder du respect des droits de l’homme.
Un petit réseau de trafiquants de cocaïne a été démantelé au sein de la compagnie aérienne Air Algérie. Il s’approvisionnait à Bamako, au Mali. Un pays devenu en quelques années une plaque tournant du narcotrafic dans la région.
Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, les frères ennemis du reggae ivoirien, ont fait la paix. Le président Ouattara leur a donné pour mission de montrer l’exemple.
Petroci, Port autonome d’Abidjan et filière café-cacao. Le président a placé des personnes de confiance aux commandes des moteurs de l’économie ivoirienne.
La plupart des anciens barons du FPI sont en prison ou en exil, réduits ou s’astreignant au silence. Mais certains l’ont jouée plus fine et rêvent encore d’un avenir politique en Côte d’Ivoire.