Bamako est souvent accusé de laxisme, par Alger notamment. Mais la réalité est un peu plus compliquée. Si Bamako laisse agir la Mauritanie au nord de son territoire, c’est en partie par crainte de voir resurgir la rébellion touarègue.
Dans une interview au journal Tribune d’Afrique, le président de l’Assemblée nationale du Togo, Abass Bonfoh, a tenu des propos qui ont provoqué la colère des militants des droits de l’homme. Ils exigent sa démission.
Loin des scandales financiers à répétition relayés par la presse, la hausse de 50 F CFA du prix du pain est un sujet de discorde entre le Sénégalais moyen et son boulanger.
La libération des deux otages espagnols, c’est lui. Celle des canadiens, l’an dernier, c’est lui aussi. Le conseiller du président burkinabè Blaise Compaoré est l’intermédiaire avec l’émir Mokhtar Belmokhtar. Portrait d’un homme de l’ombre.
Craignant un scénario à la somalienne au Sahel, le chercheur français spécialiste du monde musulman et de l’Afrique pointe les limites de la lutte contre le terrorisme lancée par l’Occident.
Parmi les chefs de l’Aqmi, on retrouve des terroristes qui s’étaient déjà distingués au sein de son ancêtre, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).
L’ONU a révélé mardi que 18 000 villageois à la recherche d’or dans une mine contenant du plomb pourraient avoir été touchés. Suite à cet empoisonnement massif, plus de 200 enfants nigérians auraient trouvé la mort.
L’enquête parue dans Jeune Afrique le 29 août a suscité les réactions de deux acteurs impliqués, de près ou de loin, dans la création de centres de formation.
La Ceni vient de légaliser le parti de l’ancien seigneur de guerre Prince Johnson. Qui peut donc se présenter à la présidentielle de 2011 face à Ellen Johnson Sirleaf.
Les trois marins français capturés au large des côtes du Nigeria dans la nuit de mardi à mercredi auraient été « localisés » par le Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger (Mend). Le groupe rebelle tente de se faire remettre les otages.
Tortures, sévices ou viols. Dans un rapport publié mi-septembre, l’organisation de défense des droits de l’homme dénonce le comportement des forces de sécurité.
Le Mali célébrait mercredi 22 septembre le cinquantenaire de son indépendance, en pleine crise des sept otages enlevés par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) il y a une semaine au Niger et transférés depuis sur le territoire malien.
Le gouverneur de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest estime que la surveillance des sociétés impliquées dans les escroqueries dites des « Madoff africains » n’était pas de son ressort.
Trois membres d’équipage du navire « Bourbon Alexandre », appartenant à la société de services maritimes Bourbon, ont été enlevés lors d’une attaque sur le champ pétrolier Addax, au large du Nigeria.
Ce devait être un banal match de foot. Sauf que ce n’est pas la sélection officielle qui a affronté l’équipe de Bahreïn, le 7 septembre. La mésaventure a de quoi faire sourire, mais à Lomé, pas sûr qu’elle fasse rire.
Le Cap-Vert, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Guinée, la Mauritanie et le Sénégal ont signé un accord, sous l’égide de la Norvège, pour fixer leurs zones maritimes, potentiellement riches en pétrole et gaz.
Al-Qaïda au Maghreb islamique a revendiqué l’enlèvement des salariés d’Areva et de ses sous-traitants (cinq Français, un Togolais et un Malgache) capturés au Niger la semaine dernière.
Réunis à Ouagadougou autour du médiateur Blaise Compaoré, les trois ténors politiques ivoiriens Gbagbo, Bédié et Ouattara ont entonné la même chanson. À les en croire, il n’y a plus aucun obstacle à la tenue de l’élection présidentielle le 31 octobre.
Le chef de la transition guinéenne, Sékouba Konaté, exige qu’une date soit fixée pour le second tour de la présidentielle, reporté sine die. Devant les principaux responsables politiques, il a exclu un nouveau report du scrutin.
Mardi à Lomé, Tchanilé Bana a reconnu être l’instigateur d’un match de faux Éperviers au Bahreïn, le 7 septembre dernier. Il souhaite cependant que l’affaire s’arrête là, et que ses éventuels complices ne soient pas sanctionnés. Selon lui, « certains risquent d’y laisser leur peau ».