Lundi soir, une délégation de chefs religieux a tenté d’obtenir la libération de trois dirigeants du Front national de défense de la Constitution (FNDC), mais elle a fait chou blanc. Explications.
Plusieurs chantiers seront lancés par les nouveaux actionnaires ivoiriens de l’ancienne filiale ouest-africaine du français BNP Paribas. À commencer par un renforcement de l’équipe dirigeante.
Depuis le massacre d’au moins 136 personnes dans un village près de Ouahigouya, le 20 avril, la tension est montée d’un cran. Les autorités de transition, à la peine sur le plan sécuritaire, tentent de répondre aux critiques.
Le coup d’État de 2020 a profondément reconfiguré la classe politique malienne. Depuis, ses membres hésitent sur l’attitude à adopter par rapport au régime de transition, afin de ne pas compromettre leurs chances pour la suite.
Contre l’avis de son mentor, l’ancien président de l’Assemblée nationale Moustapha Niasse, le coordonnateur des cadres de l’Alliance des forces de progrès (AFP) compte briguer la magistrature suprême en 2024.
Le président français recevra son homologue togolais au palais de l’Élysée, le 10 mai. L’occasion de parler coopération bilatérale et d’évoquer une situation régionale préoccupante.
Reconduit à la tête de la banque de la Cedeao, le Ghanéen Georges Donkor devra travailler à apaiser les tensions entre les États de la région. Et les frustrations qu’elles provoquent.
Vieille connaissance d’Assimi Goïta et des colonels au pouvoir, qui se méfient de lui, l’ancien chef d’état-major de l’armée de l’air a été interrogé pendant quelques jours par les services de renseignement, avant d’être finalement relâché.
La nouvelle Loi fondamentale proposée par Assimi Goïta sera soumise au vote le 18 juin, soit trois mois après la date prévue initialement. Un retard qui pourrait mettre en péril la présidentielle de 2024, et ce, d’autant plus que le texte divise le pays.
L’ancien Premier ministre, en exil depuis 2019, a affirmé ce 8 mai sur sa chaîne YouTube qu’il n’y avait aucune « raison » pour qu’il ne puisse briguer la magistrature suprême en 2025.
Les deux anciens présidents discutent de candidatures communes pour les élections régionales et municipales du 2 septembre. Une commission paritaire, composée de vingt-quatre membres du PDCI et du PPA-CI, est chargée d’arbitrer.
Après avoir subi un recul lors des élections locales et législatives en 2022, Benno Bokk Yakaar (BBY) tente de maintenir sa position de première force politique du pays. Mais les remous au sein de ses partis membres pourraient constituer de sérieux écueils.
L’opposant sénégalais a été condamné ce lundi à six mois de prison avec sursis pour diffamation et injure publique. Une peine qui pourrait bien le rendre inéligible à la prochaine présidentielle, prévue en février 2024.
« L’Appel du 20 février pour sauver le Mali », mouvement critique à l’encontre des colonels au pouvoir, a pris position contre la tenue d’un référendum sur une nouvelle Constitution, prévu le 18 juin.
Malgré les aléas climatiques et conjoncturels, le pays poursuit la restructuration du secteur agricole. Et même si les défis restent nombreux, le paysage a déjà changé.
Alors qu’elle peine à faire triompher les droits des artistes, la Société sénégalaise du droit d’auteur et des droits voisins a trouvé un coupable idéal, Netflix, qu’elle devrait pourtant encourager à investir dans notre cinéma et nos séries télévisées.
Une vingtaine d’organisations maliennes, dont la CMAS de l’imam Dicko, ont annoncé le 6 mai s’unir pour obtenir de la junte le retrait du principe de laïcité de l’État dans le projet de Constitution.
L’opposant sera jugé lundi en appel dans le dossier de diffamation qui l’oppose au ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang. Parviendra-t-il à éviter l’inégibilité, esquivée de justesse lors du jugement en première instance ?
Le 28 février 2022, le président de l’UFDG était contraint de quitter sa résidence de Dixinn, à Conakry, acquise lorsqu’il était membre du gouvernement. Un épisode douloureux qu’il raconte à Jeune Afrique.
Le parti de l’ancien président ivoirien a annoncé la création d’un organe de lutte contre la fraude électorale, quatre mois avant les élections locales et à deux ans de la présidentielle.
Le 12 mai prochain, « Londonko », le nouvel album de la chanteuse malienne, produit par Damon Albarn, verra le jour. Elle s’est confiée sur la genèse de ce projet collaboratif.
Sécurité, croissance, gouvernance… L’ancien patron des patrons maliens, fondateur du groupe Kledu, ne se montre pas très optimiste quand il analyse la situation de son pays.
Après le pavillon du Ghana à la biennale de Venise et la Tate Britain, à Londres, c’est au tour du Guggenheim de Bilbao d’accueillir une grande exposition de l’artiste, connue pour ses étonnants portraits à l’huile.
Le groupe français, ex-Areva, vient de signer un accord avec le gouvernement nigérien pour prolonger l’exploitation de l’uranium du site de la Somaïr jusqu’en 2040.
En dépit des remous et des grandes manœuvres politiques, tout se jouera en priorité autour du pouvoir d’achat lors du scrutin présidentiel de févier 2024, pronostique Idrissa Diabira, coordonnateur du programme présidentiel « Yoonu Yokkuté » du candidat Macky Sall, en 2012.
Après le BTP et la banque, le magnat burkinabè, déjà très actif au Togo, fait son entrée dans l’agriculture avec un projet de centre de mécanisation. Jamais à court d’ambitions, le fondateur d’Ebomaf s’apprête aussi à se lancer dans l’aérien.
Le gouvernement malien a annoncé la date du référendum portant sur la révision de la loi fondamentale. Initialement prévu le 19 mars, ce scrutin sera le premier depuis le début de la transition et le coup d’État de 2020.
Délocalisation de l’audience en prison, émission de mandat d’amener… La Cour de répression des infractions économiques et financières multiplie les initiatives pour entendre l’ancien président de l’Assemblée nationale, jusque-là sans succès.
L’ancienne star de téléréalité, qui a effectué plusieurs voyages humanitaires sur le continent ces dernières années, est au centre d’une polémique depuis que le rappeur Booba l’accuse d’avoir voulu enlever un enfant à Madagascar.
Après l’exécution de 136 civils dans le nord du pays par des personnes en uniformes militaires, le président de la transition a estimé que cette tuerie a pu être commise par des jihadistes qui auraient récupéré des équipements des forces de défense et de sécurité.