Deux émissaires de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) ont quitté samedi Abuja pour Dakar où il doivent retrouver des responsables de l’ONU et de l’Union africaine avec lesquels ils doivent se rendre en Guinée-Bissau, a indiqué un responsable.
Une marche de la principale coalition de l’opposition prévue samedi, jour de l’inauguration à Dakar du monument controversé de la « Renaissance africaine », a été interdite par les autorités mais maintenue par les organisateurs.
Accusés « d’atteinte à la sûreté de l’Etat », les proches de l’ex-président Mamadou Tandja arrêtés depuis le 28 mars ont été remis en liberté le 2 avril, selon le ministère de l’Intérieur.
Trois mois après la tragique attaque du bus togolais qui a coûté la vie à deux membres de la délégation dans l’enclave de Cabinda, Issa Hayatou a enfin rompu le silence dans une interview au quotidien français Le Figaro parue le 1er avril.
Les avocats des personnalités proches de l’ex-président nigérien Mamadou Tandja arrêtées depuis dimanche pour « activités subversives » ont annoncé vendredi avoir porté plainte contre le ministre de l’Intérieur pour « arrestations et séquestrations arbitraires ».
La situation est plus que jamais confuse en Guinée-Bissau, où des militaires du chef d’état-major adjoint Antonio Indjai ont mis aux arrêts, le 1er avril, le chef d’état-major, le général José Zamora Induta, ainsi que le Premier ministre, Carlos Gomes Junior. Vendredi 2 avril, celui-ci a pu cependant sortir de son domicile où il était sous bonne garde pour aller rencontrer le président Malam Bacai Sanha. Qui a vraisembleblement réussi à calmer les esprits.
Incroyable destinée que celle de ce Gabonais devenu acteur dans des films d’arts martiaux chinois. Et qui promeut aujourd’hui le wushu en Afrique et dans le monde.
Pour remplacer les proches de l’ancien président Mamadou Tandja arrêtés dimanche 28 mars, la junte au pouvoir a nommé de nouveaux hommes à la tête d’une vingtaine de sociétés publiques stratégiques.
Alors que l’Union européenne est sur la voie de sanctionner le régime de transition malgache, le secrétaire d’Etat français à la Coopération tente une nouvelle médiation.
Au cours de sa visite « privée » à Paris, le président guinéen par intérim a reçu plusieurs responsables français de haut niveau qui ont salué son action, jeudi 1er avril.
Le Secrétaire général français du cinquantenaire des indépendances africaines Jacques Toubon a présenté jeudi 1er avril le programme des célébrations communes entre la France et ses quatorze anciennes colonies subsahariennes qui fêtent cette année le cinquantenaire de leur libération.
L’instabilité n’est pas finie, malgré les élections présidentielles pacifiques de mi-2009. Le Premier ministre Carlos Gomes Junior et le chef de l’Etat major, le général José Zamora Induta, ont été arrêtés le 1er avril par des soldats mutins. La communauté internationale condamne le coup de force.
Un moment envisagé, le retour de Robert Nouzaret à la tête de la sélection nationale de football n’aura pas lieu. Sékouba Konaté, l’homme fort de Conakry, s’y est opposé…
Les proches de l’ancien président nigérien Mamadou Tandja arrêtés dimanche 28 mars, parmi lesquels quatre anciens ministres, sont accusés d’« atteinte à la sûreté de l’État » affirme le MNSD, l’ex-parti au pouvoir.
L’un des leaders historiques de la rébellion touarègue a été écroué à Niamey alors qu’une vaste opération coup de poing contre la criminalité a abouti à l’interpellation de plus de 600 personnes.
Le dirigeant de la Guinée par intérim Sékouba Konaté effectue une visite « privée » en France du 31 mars au 7 avril. Il doit notamment y rencontrer Bernard Kouchner, le ministre français des Affaires Étrangères.
L’accord de paix de 2004 devait mettre fin à un conflit vieux de vingt ans. Mais, depuis quelques semaines, les combats se sont intensifiés entre l’armée et les indépendantistes
Au pouvoir de 1981 à 2000. « Le pouvoir m’a confronté aux humeurs de l’opinion publique, à la raison d’Etat, aux pressions sociales, et même à la démagogie des politiciens. »
Depuis l’indépendance du Sénégal, le 4 avril 1960, les présidents Senghor, Diouf et Wade ont su construire un État et mener un véritable projet pour leur pays. Les styles et la conception du pouvoir diffèrent, le bilan économique est mitigé, mais tous trois ont préservé l’essentiel : la paix, la stabilité et la démocratie.
Alain Lobognon, un proche du Premier ministre Guillaume Soro, a déclaré que le blocage des activités de la Commission électorale indépendante (CEI) provenait de l’attitude des partis politiques. Son mouvement, les Forces nouvelles (FN), est toujours au centre d’une polémique sur le désarmement.