En battant le Ghana (1-0) dimanche, les Pharaons ont remporté leur troisième CAN consécutive, et la septième de leur histoire. Mais l’édition angolaise a surtout mis en lumière les ratés de l’organisation.
L’exclusion du Togo des deux prochaines CAN a été prononcée par la Confédération africaine de football, le 30 janvier. Interview du ministre togolais des Sports, lequel fait part de son « indignation totale » envers cette décision très décriée.
Pierre Camatte, otage français détenu par Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) depuis novembre 2009 devait être exécuté le 31 janvier, si quatres prisonniers au Mali n’étaient pas remis en liberté en échange. Aqmi a repoussé son ultimatum, mais la menace reste entière.
Malgré de nombreuses interrogations, l’accord signé le 15 janvier par le capitaine Dadis et le général Konaté sous l’égide du président Compaoré semble satisfaire tout le monde. Pour l’instant ?
Alors que la préparation de l’élection présidentielle continue de prendre du retard, les Nations unies ont imposé un ultimatum aux autorités ivoiriennes : la présence de leur force armée sur place (Onuci) n’a été renouvelée que pour quatre mois, afin d’accélérer l’organisation du scrutin.
La CAN-2010 en Angola s’est disputée « dans de très bonnes conditions malgré des petits incidents qui arrivent partout », dit à l’AFP le président de la CAF Issa Hayatou, pour lequel seule la présence des supporteurs étrangers n’a « pas été conforme à nos attentes ».
La Confédération africaine de football (CAF) sanctionne les Eperviers pour être rentrés à Lomé après la fusillade qui a fait deux morts dans leurs rangs. La décision se base sur le fait que c’est une « interférence politique » qui a provoqué le forfait.
Le grand favori égyptien, en quête d’une troisième couronne d’affilée, et le Ghana, qui attend une consécration continentale depuis 28 ans, s’affrontent dimanche 31 janvier à Luanda en finale de la CAN-2010, dans un choc mettant aux prises les deux formations les plus solides de la compétition.
Le Nigeria a pris samedi la 3e place de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN-2010) après sa victoire 1 à 0 devant l’Algérie, lors d’un match sans grand entrain à Benguela entre deux équipes déjà tournées vers le Mondial en Afrique du Sud en juin.
Guinée, Côte d’Ivoire, Madagascar, Gabon, Kadhafi, la gouvernance, ses relations avec les chefs d’État… À la veille du 14e sommet de l’Union africaine, le président de la Commission s’est confié à Jeune Afrique.
22,5 milliards de francs CFA (33 millions d’euros) doivent être versés à quelque 30. 000 victimes de la pollution causée par la multinationale Trafigura.
La Confédération africaine de football (CAF) a pris cette décision suite au forfait des Eperviers, après l’attaque dont ils ont été victimes au Cabinda.
A la veille du sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine, le président sénégalais a fait inscrire à l’ordre du jour la question du « retour » des Haïtiens en Afrique, après le tremblement de terre qui a frappé leur pays.
Le mouvement rebelle estime que le gouvernement a « trahi » les promesses qu’il leur avaient faites. Il menace donc d’attaquer à nouveau les exploitants pétroliers.
Le consortium acquéreur est mené par deux entreprises locales, Platform Petroleum Limited et Shebah Petroleum Development Company. Shell n’a pas communiqué le montant de la transaction.
L’Assemblée générale de la Confédération africaine de football a donné lieu à des discours d’autosatisfaction de la part de son président et du ministre angolais des Sports au sujet de l’organisation de la CAN 2010.
Le sélectionneur Rabah Saâdane et plusieurs joueurs algériens ont ouvertement critiqué l’arbitrage du Béninois Koffi Codjia. Le président de la commission arbitrage de la CAF reconnait « des erreurs ».
Le Groupe d’analyse des données des données droits humains accuse l’ancien président tchadien d’avoir été « continuellement informé » des tortures de la Direction et de la Documentation et de la Sécurité. Human Rights Watch estime que ce rapport pourrait accélérer les poursuites contre lui.
Confrontés à de très importantes difficultés financières, les établissements de Lagos ont déjà supprimé 8 000 postes. Fragilisés, ils pourraient devenir la proie d’entités étrangères.
Après l’atterrissage d’urgence d’un Boeing d’Ethiopian Airlines à N’djamena, 120 passagers sur 150 ont refusé de réembarquer pour finir leur voyage jusqu’à Addis-Abeba. Cet incident est intervenu après le crash d’un Boeing de la compagnie au Liban, lundi 25 janvier.