Les autorités du pays tentent de restructurer l’industrie des hydrocarbures. Les réactions sont contrastées. Les majors s’inquiètent de cette nouvelle donne, tandis que les indépendants espèrent saisir de nouvelles opportunités.
Sacs en toile de jute ou de coco, bâches en plastique, filets de pêche… Une créatrice recycle les matériaux du quotidien ivoirien et revisite la tradition.
Humoristes, poètes, musiciens, plasticiens, architectes, réalisateurs… Ces dix dernières années ont vu émerger une nouvelle génération de créateurs particulièrement prolifiques. Et dont les lieux d’expression se multiplient.
80 % de la population a moins de 35 ans. Ils sont des millions à se sentir marginalisés. Et nombre d’entre eux voteront pour la première fois lors du scrutin présidentiel.
Après une vaste opération mains propres au sein des instances dirigeantes de la filière, les autorités sont sur le point de restructurer profondément le secteur.
Depuis deux ans, l’amorce de la sortie de crise a dissipé les craintes sécuritaires et conduit les établissements bancaires à redéployer leurs activités.
Porte d’entrée de l’Afrique de l’Ouest, le pays dispose de deux ports en eau profonde, qui se préparent à multiplier leur volume d’activités et à reprendre des parts de marché dans la sous-région.
Trentenaires ou quadragénaires, ils se sont fait remarquer au début des années 2000 et s’imposent aujourd’hui dans le paysage politique, économique et social.
En sept ans, près de la moitié des entreprises et des emplois formels ont disparu, et le marché est désorganisé. Les activités reprennent, mais au ralenti… Et le manque de visibilité sur le calendrier de sortie de crise risque de miner le retour de la croissance.
Avec la présidentielle prévue en novembre, après sept ans de troubles et d’incertitudes, le pays est en passe de tourner¨la page de la crise. Si certains demeurent sceptiques, les Ivoiriens n’ont en tout cas jamais été aussi près de renouer avec le rituel du vote.
La publication de la liste électorale accuse un nouveau retard et aura lieu d’ici une quinzaine de jours. Elle doit introduire le processus électoral avant le scrutin, maint dois reporté, et finalement prévu le 29 novembre prochain.
Un porte-parole des élus locaux de Guinée a publiquement demandé lundi au président autoproclamé du pays, Moussa Dadis Camara, de se porter candidat à la présidentielle du 31 janvier, au cours d’un grand rassemblement organisé par la junte à Conakry, a constaté l’AFP.