Vingt deux ans après la mort du « Père de la révolution burkinabè », le documentaire d’un journaliste italien évoque une implication des services secrets américains.
L’opposition nigérienne a déclaré samedi qu’elle ne reconnaissait pas la victoire du « oui » au référendum controversé du président Tandja. Elle entend lutter contre le projet de « dictature » que le chef de l’Etat veut, selon elle, instaurer.
Le pouvoir et l’opposition togolais se sont mis d’accord sur la composition et le fonctionnement de la commission chargée d’organiser l’élection présidentielle prévue en 2010. Cet accord survient après plusieurs jours de négociations sous l’égide du président burkinabè Blaise Compaoré, facilitateur du dialogue intertogolais.
Le président nigérian a rencontré vendredi une trentaine de rebelles du delta du Niger qui ont accepté de déposer les armes en échange d’une aministie. Une proposition d’amnistie valabre juqu’au 4 octobre.
Les parlementaires sierra-léonais ont approuvé vendredi que la chaîne de télévision dirigée par le gouvernement devienne un média public. La Sierra Leone Broadcasting Corporation (SLBC) remplacera le Sierra Leone Broadcasting Service (SLBS).
Les Nigériens ont approuvé à 92,50% le référendum constitutionnel controversé du chef de l’Etat Mamadou Tandja. Ces résultats, qui doivent être validés par la Cour constitutionnelle, signifient que le nombre de mandats présidentiels devient illimité.
Dans un entretien accordé à Jeuneafrique.com, le président de la Fédération Togolaise de Football (FTF), Rock Balakiyèm Gnassingbé, n’exclut pas une possible radiation de la Fifa si la crise perdure au sein de la fédération nationale.
Dans un entretien exclusif à Jeuneafrique.com, le chirurgien Français Pierre Foldes dénonce la récupération médiatique exercée par le mouvement raëlien sur la technique opératoire qu’il a inventée. Celle-ci permet aux femmes excisées de retrouver en partie leur intégrité physique.
La « piste française » est relancée dans l’affaire Kieffer, avec l’inculpation « dans la dernière semaine de juillet » de deux français, a-t-on appris jeudi.
Selon les premières estimations, portant sur les deux tiers des bulletins de vote, le « oui » devrait très largement l’emporter au référendum organisé par le président nigérien. Il pourra donc modifier la Constitution afin d’être rééligible à la présidence ad vitam aeternam.
Sous la pression de la junte militaire au pouvoir depuis fin 2008, Rio Tinto a annoncé le 23 juillet qu’il allait « procéder immédiatement au retrait de ses équipements des deux blocs d’exploration nord du gisement de fer de Simandou », l’une des plus importantes réserves de minerai de fer du monde.
Le trouble subsiste toujours autour de la mort du chef des « Talibans ». L’armée assure qu’il était vivant lorsqu’elle l’a remis, la semaine dernière, à la police. Cette dernière argue pour sa part que Mohammed Yusuf a été tué lors d’un échange de coups de feu lors d’une tentative d’évasion.
Depuis sa prise du pouvoir, le 23 décembre 2008, le capitaine Moussa Dadis Camara a établi ses quartiers au camp Alpha-Yaya-Diallo. Reportage au cœur du sanctuaire militaire de Conakry.
Ses divisions et le manque de crédibilité de ses leaders ont largement contribué à faire accepter par une partie de l’opinion l’idée du chef de l’État de prolonger son mandat.
Avec un électorat nombreux, jeune, politisé, la Perle des lagunes est un enjeu crucial. Pour remporter l’élection présidentielle prévue en novembre, il faut conquérir la capitale économique. Comment la ville sort-elle de cette période de crise ? Visite guidée.
Au cours d’une entrevue à Conakry avec Alain Joyandet, Moussa Dadis Camara s’est de nouveau engagé à respecter ses promesses sur l’organisation d’un scrutin présidentiel pour un « retour rapide à la démocratie ». Le chef de la junte a aussi accusé l’ambassadeur français en Guinée de manipulations, et a salué son prochain départ.
Des heurts ont éclaté suivi d’arrestations mardi au Niger, en marge du référendum sur une nouvelle Constitution convoqué par le président déterminé à rester au pouvoir malgré des critiques et un boycottage de l’opposition.
Quelque six millions de Nigériens sont appelés à voter mardi lors d’un référendum controversé sur une nouvelle Constitution censée permettre au président Mamadou Tandja de rester au pouvoir après la fin de son mandat en cours.
Le taux de participation au référendum controversé du président nigérien est compris entre 40% et 90%. La mobilisation a été plus forte en zone rurale.