Plusieurs parents et familiers de l’ancien président – à commencer par son fils aîné – arrêtés dans le cadre du démantèlement d’un vaste réseau de trafic de drogue.
La communauté internationale a unanimement condamné l’assassinat du président de Guinée-Bissau Joao Bernardo Vieira, notamment les responsables africains qui s’alarment de la récente multiplication des coups de force sur le continent.
L’ambassade des Etats-Unis d’Amérique au Sénégal et en Guinée-Bissau condamne les violences notées en Guinée-Bissau pendant le week end avec les assassinats du président Joao Bernardo « Nino » Vieira et du chef d’etat-major général des Armées, le général Batista Tagmé Na Waié.
Le corps sans vie du président Joao Bernardo Vieira, tué tôt ce lundi dans un attentat, est déposé à l’Hôpital public de la capitale Bissau, désormais quadrillée par des militaires lourdement armés et contrôlant tous les points stratégiques de la ville, a constaté APA.
Le président Joao Bernardo Vieira, tué par des militaires à Bissau, avait été l’auteur du premier coup d’Etat en Guinée-Bissau en 1980 avant d’être renversé par des rebelles en 1999 puis de revenir au pouvoir par les urnes en 2005.
Le Portugal a « condamné avec véhémence » les violences, qui ont coûté la vie au président de Guinée-Bissau et au chef d’état-major de l’armée, et annoncé une « réunion d’urgence » de la Communauté des pays de lanque portugaise (CPLP).
Le président de la commission de l’Union africaine (UA), Jean Ping, a « condamné fermement » l’assassinat par des militaires du président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira, le qualifiant « d’acte criminel », dans une déclaration à l’AFP.
« La culture de l’assassinat » doit être bannie en Guinée-Bissau, a déclaré le président d’une ONG de défense des droits de l’homme basée à Dakar, après la mort du président bissau-guinéen, tué par des militaires quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée.
L’équipe nationale du Sénégal se rend mercredi à Bouaké (379 km au nord d’Abidjan) pour jouer grandement sa chance dans le cadre des demi-finales de la première édition du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) de football réservés aux locaux.
Le président de Guinée-Bissau a été tué par des militaires à Bissau, quelques heures après l’assassinat du chef d’état-major de l’armée, plongeant dans la confusion ce petit pays pauvre d’Afrique de l’Ouest, déjà fragilisé par le narcotrafic.
Le président bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira a été tué tôt ce matin par des militaires, après un attentat à la bombe qui a coûté dimanche soir la vie au chef d’état-major de l’armée, a annoncé à l’AFP le responsable des relations extérieures de l’armée, Zamura Induta.
Des tirs à l’arme automatique et des explosions de roquettes ont été entendus jusque tard dans la nuit dans la capitale bissau-guinéenne après l’annonce de la mort du chef d’état-major des forces armées suite à un attentat dimanche soir, ont rapporté des témoins.
Le Premier ministre bissau-guinéen Carlos Gomes Junior a réuni en urgence le gouvernement après l’attentat qui a coûté la vie au chef d’état-major de l’armée dimanche et créé une cellule de crise pour « suivre la situation », a indiqué à l’AFP une source gouvernementale.
Le championnat national de football de première division du Burkina Faso jouait sa 10e journée, dimanche 1er mars, avec d’une part, le choc entre le leader l’ASFA-Y et sa dauphine, le RCK (1-0) et d’autre part le duel entre les représentants burkinabé en campagne africaine (l’EFO et l’USO) (3-1).
Le chef d’état-major des forces armées de Guinée-Bissau a été tué, dimanche soir à Bissau, dans un attentat à la bombe contre le quartier général de l’armée, trois mois après une attaque nocturne contre la résidence du président de ce pays ouest-africain très instable.
Quelque 20. 000 personnes ont assisté samedi à la cérémonie d’ouverture officielle de la 21e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), le plus grand d’Afrique, qui fête jusqu’au 7 mars ses 40 ans d’existence.
Les principales organisations syndicales du Nigeria ont menacé samedi le gouvernement de mouvements importants suite à la décision des autorités de ne plus subventionner le prix des produits pétroliers et de privatiser les quatre raffineries du pays.
Le président sénégalais Abdoulaye Wade, au pouvoir depuis 2000, a multiplié les promesses lors d’un meeting à Ziguinchor, principale ville de Casamance (sud), trois semaines avant les élections locales du 22 mars.
Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) fête ses quarante ans à partir de samedi et jusqu’au 8 mars, en se recentrant sur ses acteurs et réalisateurs stars et en valorisant le glamour, comme pour mieux conjurer la crise.
Un forum sur la question touareg a recommandé la création d’un comité chargé de « faciliter les contacts » entre le gouvernement et les rebelles touareg du Niger, selon un communiqué publié à l’issue de la réunion.
Une seconde cassette vidéo, constituant une preuve de vie de deux diplomates canadiens et de leur chauffeur nigérien enlevés en décembre au Niger, a été transmise aux autorités canadiennes et maliennes, a déclaré à l’AFP une source malienne proche du dossier.
L’opération de démantèlement de l’administration militaire de l’ex-rébellion ivoirienne qui gère depuis septembre 2002, la moitié nord du pays débutera le 4 mars prochain à Bouaké.
L’arrivée des femmes à des postes de responsabilité au sein du gouvernement et des forces de sécurité du Ghana amène à se demander si cette avancée importante va bel et bien permettre d’améliorer concrètement la vie des femmes ghanéennes.
L’ancien Premier ministre sénégalais, Macky Sall, ne sera pas poursuivi, l’affaire de blanchiment d’argent dans laquelle il était mis en cause ayant été classé sans suite, faute d’éléments de preuves suffisants, selon une source judiciaire.