Ébranlées par l’insécurité et la crise sanitaire, les producteurs d’or ont ralenti leur activité dans le pays. Pourtant, les perspectives restent positives grâce à la bonne tenue des cours mondiaux.
À moins de six mois de la présidentielle, le président de l’Union pour le progrès et le changement (UPC), principal parti d’opposition, est en campagne. Il prône la réconciliation avec l’ancien régime, dans le cadre d’un dialogue national inclusif.
Le président malien Ibrahim Boubacar Keita a reconduit à son poste son Premier ministre démissionnaire et l’a chargé de former le prochain gouvernement malgré un mouvement de contestation socio-politique qui dure depuis plusieurs mois.
L’ancienne ministre des Finances a été proposée par le Nigeria pour prendre la tête de l’OMC. Cinq choses à savoir autour de cette arrivée qui rebat les cartes.
Plusieurs collectifs de graffeurs sénégalais s’attaquent au Covid-19 sur les murs de la ville, prolongeant leur engagement social auprès des populations les plus démunies. Réalisé par la fondation Dapper, un livre en ligne leur rend hommage.
Le Congrès pour la démocratie et le progrès, de l’ex-président Blaise Compaoré, a choisi son champion et compte bien revenir sur le devant de la scène à l’occasion des scrutins de novembre.
Un poste mixte de l’armée et de la gendarmerie a été attaqué dans la zone de Kafolo, près de la frontière avec le Burkina Faso, dans la nuit de mercredi à jeudi, faisant plusieurs morts.
Accusé de soutien au terrorisme par des familles de soldats américains, l’opérateur sud-africain est également ciblé pour son emprise sur le marché au Ghana.
L’opération « Comoé », lancée le 14 mai dans le nord de la Côte d’Ivoire, près de la frontière burkinabè, a permis d’affaiblir une cellule jihadiste liée à Amadou Koufa.
Président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir), Simon Compaoré estime que, malgré la situation sécuritaire, les élections doivent se tenir « coûte que coûte ». Et son parti espère bien faire réélire Roch Marc Christian Kaboré dès le premier tour.
La pandémie de coronavirus a démontré à quel point le continent devait développer ses structures de recherche scientifique et faire émerger ses propres solutions. Mais l’Afrique doit le faire avec rigueur, et, jusqu’à maintenant, cela n’a guère été le cas.
Malgré les attaques terroristes et les grèves qui l’ont contraint à des ajustements budgétaires, le pays est parvenu à maintenir une croissance soutenue, jusqu’à l’épidémie de Covid-19. Et s’emploie à franchir le cap sans trop de dégâts.
Au lendemain de la manifestation qui a réuni des milliers de personnes à Bamako, vendredi, des représentants de l’Union africaine, de la Cedeao et de la Minusma ont rencontré l’un de ses principaux initiateurs : l’imam Mahmoud Dicko.
Reprochant aux pro-Gbagbo leur rapprochement avec le PDCI de Henri Konan Bédié, Pascal Affi N’Guessan et ses proches ont décidé de suspendre leur participation aux discussions pour la réunification du Front populaire ivoirien.
Faut-il encourager les Burkinabè à défendre leur pays ? Ou faut-il dialoguer avec les jihadistes ? À moins de six mois de la présidentielle, le président Roch Marc Christian Kaboré doit esquisser une stratégie volontariste et ferme.
C’est un Bureau politique décisif que vient d’organiser le PDCI. En fixant les critères d’éligibilité à l’investiture à la présidentielle d’octobre prochain, le parti de Henri Konan Bédié resserre les rangs autour de son dirigeant historique. Et reporte de fait l’implication de la « nouvelle génération ».
L’ancien patron de l’antidopage à la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF), Gabriel Dollé, a reconnu une « entorse » au règlement. Lamine Diack doit pour sa part être entendu demain par les juges.
Contrairement à des rumeurs colportées par plusieurs sites, Jeune Afrique n’a jamais affirmé que le président ivoirien avait donné son accord à un retour de son prédécesseur.
À moins de six mois des scrutins présidentiel et législatifs burkinabè, les partis commencent à élaborer leurs programmes, et les états-majors à choisir leurs candidats.
Plus de deux mois après l’enlèvement du chef de file de l’opposition malienne, onze personnalités, dont deux anciens Premiers ministres du Burkina Faso et du Sénégal, lancent un appel à « tout faire pour obtenir sa libération ».
L’ancien patron mondial de l’athlétisme, le Sénégalais Lamine Diack, est arrivé lundi au tribunal de Paris pour être jugé avec son fils et quatre acteurs présumés d’un pacte de corruption pour protéger des athlètes russes dopés.
Accusations de « délit d’initié » par l’opposition, démissions en série au Club des investisseurs… Depuis quelques semaines, la société de services énergétiques est au cœur d’une vive polémique au Sénégal. Décryptage.
En poste depuis janvier 2019, Christophe Joseph Marie Dabiré, le chef du gouvernement burkinabè, mène une politique prudente et rigoureuse. Sa feuille de route : préserver la stabilité et réussir les élections.
Le Premier ministre burkinabè Christophe Joseph Marie Dabiré a réorganisé son cabinet le 6 novembre 2019: il s’est entouré d’administrateurs et de technocrates expérimentés.
L’ex-président tchadien Hissène Habré, condamné à perpétuité à Dakar pour crimes contre l’humanité, avait bénéficié de deux mois de sortie en raison du coronavirus.
Les auteurs de l’attaque, qui a eu lieu vendredi dans le centre du pays, n’ont pas été clairement identifiés, mais des témoignages incriminent l’armée malienne.