Promu Premier ministre à la surprise générale, Christophe Dabiré a entamé les tractations pour former sa future équipe gouvernementale. Retour sur les tractations en coulisses qui ont mené à ce choix « stratégique et de raison ».
Si les partis de l’opposition ont récemment annoncé leur volonté d’aller aux législatives du 28 avril prochain avec une seule liste, plusieurs sujets de discorde, dont le choix de la tête de liste, mettent à mal leur stratégie politique.
Patrick Pouyanné, PDG du géant pétrolier et gazier français Total, a estimé le 21 janvier que c’était le « moment de lancer de nouveaux projets » au Nigeria. L’Ouganda est également dans la ligne de mire du pétrolier.
Alors que le groupe ivoirien de bancassurance connaît une sévère baisse de régime, son fondateur, Jean Kacou Diagou, revient sur le devant de la scène. Il assure que la gouvernance a été renforcée et défend sa stratégie.
À peine ouvertes, les premières discussions autour de la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) font l’objet de contestations de la part d’une partie de l’opposition. Celle-ci dénonce une exclusion et évoque une « mascarade ».
Peu importent les équipes mal formées ou les budgets trop serrés. Un an après son arrivée au pouvoir, le chef de l’État George Weah ne veut pas se laisser décourager.
Le « Senegambia Bridge » a été inauguré par les présidents sénégalais et gambien. Macky Sall et Adama Barrow ont été les premiers à emprunter cet ouvrage qui va très largement fluidifier les transports entre les deux pays et favoriser le désenclavement de la Casamance, dans le sud du Sénégal.
Christophe Dabiré a été nommé Premier ministre par le président Roch Marc Christian Kaboré. Il prend la suite de Paul Kaba Thieba, qui a récemment présenté sa démission ainsi que celle de son gouvernement. L’économiste aura la lourde tâche de conduire un exécutif confronté à un contexte sécuritaire et économique délicat.
La réforme de la Commission électorale indépendante ivoirienne (CEI) est sur les rails, avec le début des premières discussions à Abidjan. Ce dossier cristallise une partie des tensions entre le pouvoir et l’opposition, avec en ligne de mire la présidentielle de 2020.
Selon nos sources, le chef de l’État béninois reproche à la représentante d’Air France au Bénin et au Togo, qui a dû quitter Cotonou, de lui avoir manqué de respect.
Le président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro a prévu de convoquer une session parlementaire pour remettre solennellement sa démission aux députés. Selon nos sources, Alassane Ouattara a mandaté plusieurs émissaires auprès de Soro pour le raisonner.
Tout au long de sa détention, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo est resté confiant quant à l’issue de son incarcération, selon ses proches, préparant même son procès en prison.
Tout comme Karim Wade, l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, a vu le Conseil constitutionnel rejeter définitivement sa candidature à la présidentielle. Il vient de saisir la Cour de justice de la Cedeao dans le cadre d’une procédure en urgence contre l’État du Sénégal.
La popularité croissante de l’art contemporain ghanéen suscite l’intérêt des collectionneurs européens et américains. Beaucoup d’oeuvres quittent le pays. Artistes et amateurs aimeraient voir une institution publique fixer le travail des artistes dans le pays.
L’ancien président ivoirien a été acquitté par la Cour pénale internationale. Une décision qui bouleverse son destin et rebat les cartes du jeu politique à Abidjan.
L’une des plus meurtrières attaques de jihadistes contre l’ONU au Mali a coûté dimanche la vie à huit Casques bleus tchadiens, au moment où Paris annonce la reprise des opérations de la force du G5 Sahel.
La force antijihadiste du G5 Sahel est « en train » de reprendre ses opérations, suspendues après l’attentat contre son QG à l’été 2018, a annoncé dimanche la ministre française des Armées, Florence Parly.
Selon la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS), les importations autorisées par Dakar ont mis en péril sa survie. Des tensions exacerbées par la volonté de vendre du propriétaire.
L’absence du chef de l’État Muhammadu Buhari à l’ouverture du débat qui devait réunir, le 19 janvier, cinq candidats à la présidentielle du 16 février prochain, a provoqué le départ de son adversaire principal, l’ancien vice-président Atiku Abubakar.
Cinq personnes ont été tuées par balles vendredi à Orodara, dans l’ouest du Burkina Faso, lors d’un affrontement entre la police et des jeunes, a annoncé samedi le ministère de la Sécurité.
L’ancien ministre des Finances de Boni Yayi, arrêté le 14 décembre 2018 à Madrid, a été libéré provisoirement le 17 janvier. Poursuivi au Bénin pour des malversations financières, Komi Koutché devra rester encore sur le territoire espagnol pendant une quarantaine de jours en attendant une décision sur son extradition exigée par les autorités béninoises.
Paul Kaba Thieba, Premier ministre du Burkina Faso, depuis janvier 2016 a présenté le 18 janvier sa démission, ainsi que celle de son gouvernement, au président Roch Marc Christian Kaboré, qui l’a acceptée, a indiqué un communiqué de la présidence.
En un an, Khalifa Sall aura accumulé les déconvenues. Condamné en justice, révoqué de sa fonction de maire de Dakar, empêché de se présenter à la présidentielle, il vient d’être destitué de son mandat de député…
Trois ans après le début de leur procès, la Cour pénale internationale acquittait l’ancien président ivoirien et son ministre mardi 15 janvier, dans un retournement historique. Mais les deux hommes n’en ont pas fini avec la justice internationale.
Après avoir reculé face aux manifestants mi-2017, Ibrahim Boubacar Keïta entend relancer son projet de révision constitutionnelle. Un comité d’experts ad hoc a été nommé le 14 janvier et les discussion ont été entamées avec les partis politiques et les organisations de la société civile afin d’aboutir, cette fois, à un texte « consensuel ».
Le journaliste d’investigation ghanéen Ahmed Hussein-Suale, qui avait participé à une vaste enquête sur la corruption dans le foot africain et a été assassiné mercredi soir, a été enterré vendredi, célébré comme un « héros national ».
Dans une déclaration commune, deux syndicats de magistrats ivoiriens dénoncent, entre autres, des « immixtions » du pouvoir exécutif dans l’exercice de leurs fonctions. Le point sur ce qu’ils reprochent au gouvernement du président Alassane Ouattara.