Le secrétaire général de la présidence malienne, Moustapha Ben Barka, a rencontré le 23 mars à l’Élysée plusieurs membres de l’entourage du président français Emmanuel Macron, notamment pour évoquer l’accord de paix au Mali.
Axel-Emmanuel Gbaou s’est lancé dans la transformation du chocolat en Côte d’Ivoire. Démarrée il y a deux ans grâce à une campagne de financement participatif, son entreprise peine aujourd’hui à répondre à la demande, en raison du manque de cacao disponible pour les acteurs locaux sur le marché.
Al Hassan, un ex-membre présumé d’Ansar Eddine, a comparu ce mercredi devant la CPI. Transféré quelques jours plus tôt de Bamako à La Haye, il est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité à Tombouctou entre 2012 et 2013.
En moins d’une semaine, le président de l’Assemblée nationale a évoqué la création du parti unifié à deux reprises. En exprimant à chaque fois des réticences.
Auguste Alavo, actuellement ambassadeur du Bénin en France, devrait quitter Paris sous peu pour prendre un nouveau poste à Niamey. Le président béninois lui reproche d’avoir mal organisé sa dernière visite en France.
Théoriquement alliés au sein du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix, le RDR et le PDCI se livrent une âpre bataille autour d’un point crucial : la question de l’alternance. Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié ne se parlent plus, et n’échangent que par courrier.
Baba Alfa, journaliste critique envers le pouvoir, accusé d’usurpation de la nationalité nigérienne et emprisonné depuis un an, a été expulsé mardi vers le Mali dès sa sortie de prison, mardi.
Dix-sept ans après avoir torturé Samuel Doe à mort, Prince Johnson affirme ne nourrir aucun remords. Et s’est même offert le luxe de jouer les faiseurs de rois lors de la dernière présidentielle.
Suspendu début décembre de son poste de directeur de la Francophonie économique et numérique qu’il occupait depuis 2016 au sein de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), l’économiste togolais n’en demeure pas moins hyper actif, en France comme au Togo.
Le ministre ivoirien de l’Énergie a son prédécesseur dans le viseur. Après avoir voulu lancé un audit sur la gestion d’Adama Toungara, Thierry Tanoh vient d’écarter un directeur de cabinet jugé trop proche de l’ancien ministre.
Au terme d’un entretien avec le président Alpha Condé, ce lundi, le chef de file de l’opposition, Cellou Dalein Diallo, a appelé à mettre un terme aux manifestations organisées depuis les élections communales du 4 février.
Accusé d’avoir participé à la destruction des mausolées de Tombouctou, mais aussi d’être responsable d’actes de viol et de torture, le Malien Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud doit être présenté devant la CPI à 13 heures GMT.
Ces trois dernières années, des manifestations spontanées de colère ont agité plusieurs villes ivoiriennes. Si les raisons de la colère sont chaque fois différentes, ce sont souvent les symboles de l’État qui sont attaqués. Un remède existe face à cette défiance, née de la frustration sociale : sanctionner les mauvais gestionnaires de projets publics.
L’ancien président de la transition du Mali, Dioncounda Traoré est attendu par certains comme candidat à la présidentielle de 2018. Mais le principal intéressé ne semble pas déterminé.
À quatre mois de la présidentielle, le parti Adema, autrefois hégémonique, se déchire entre les partisans d’une candidature maison et les pro-IBK. Au point d’inquiéter le camp du chef de l’État et de nourrir les espoirs de l’opposition.
Les résultats du second tour de la présidentielle, dont le scrutin a eu lieu samedi entre Samura Kamara, candidat du parti au pouvoir (APC) à Julius Maada Bio (SLPP), sont attendus pour lundi ou mardi.
C’est un paradoxe de l’économie ivoirienne : le pays est de loin le premier producteur mondial de cacao, avec une part de marché de 41 %, et pourtant, ses habitants ne consomment que très peu de chocolat. La faute à un manque d’habitude et à un niveau de prix très élevé.
L’entreprise Sania et la Société africaine de raffinage en Côte d’Ivoire (Sarci) qui produisent respectivement Dinor et Aya sont les deux grands rivaux du marché de l’huile ivoirienne. Entre démarchage des planteurs pour l’accès aux matières premières et débauchage d’employés qualifiés de la concurrence, tous les coups sont permis pour devenir ou rester le leader.
L’homme politique, fervent soutient du maire dakarois Khalifa Sall, condamné vendredi à cinq ans de prison, a été arrêté dans la soirée du 30 mars, après avoir critiqué les magistrats lors d’une conférence de presse.
Réalisé lors d’une réunion du parti présidentiel, cet enregistrement révèle les réserves de Guillaume Soro sur le parti unifié, avivant encore les tensions au sein de la coalition au pouvoir.
Après la condamnation, ce vendredi, du maire de Dakar à cinq ans de prison, ses avocats et supporteurs dénoncent l’instrumentalisation de la justice sénégalaise à des fins politiques. Ce que récusent les avocats de l’État ainsi que le porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye. Tour d’horizon des réactions à ce jugement hautement sensible.
Au terme d’un procès qui aura duré près de deux mois et demi, Khalifa Ababacar Sall, député et maire de Dakar, a été condamné vendredi matin à 5 ans de prison ferme dans l’affaire de la caisse d’avance de la mairie de la capitale sénégalaise. Ses avocats entendent faire appel de la décision.
La Compagnie abidjanaise de réparation navale (Carena) vient d’investir 7,6 millions d’euros dans l’acquisition d’un troisième dock, qui doublera la surface d’accueil du chantier naval.
Quelle est précisément la position du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI d’Henri Konan Bédié) sur la Commission électorale indépendante (CEI) dont la réforme est réclamée par l’opposition et une partie de la société civile ? En deux jours, Jean-Louis Billon, porte-parole adjoint du parti et proche de Bédié est revenu sur des déclarations qui lui ont été attribuées, ce qui laisse transparaître la gêne de son parti sur la question.
Entre ces deux leaders de la grande distribution en Côte d’Ivoire, une véritable guerre froide s’est instaurée, à coup d’opération de com’ et de batailles promotionnelles.
Soucieux d’améliorer ses performances, le fisc a lancé une guerre contre la fraude. La multiplication des procédures de redressement crée un branle-bas au sein des entreprises. Mais la tactique est payante.
L’État ivoirien a annoncé le 29 mars avoir fixé le prix du kilogramme de fèves de cacao à 700 francs CFA pour la campagne intermédiaire 2017-2018, dans un contexte de hausse des cours internationaux.
La question est posée depuis la condamnation d’un homme à douze mois de prison ferme pour dérive sur les réseaux sociaux et la rencontre, mardi, entre six administrateurs de pages Facebook et le procureur de la République de Côte d’Ivoire.