Gerrard a 29 ans, il est est militaire dans la ville de Kara à 450 kilomètres au nord de Lomé. Une fonction qui lui permet de gagner 80 000 francs CFA (soit 123 euros) par mois. Pour Jeune Afrique, il décortique ses dépenses.
La filiale nigériane du groupe bancaire panafricain a lancé le service de vente en ligne Mymall Nigeria. Une première incursion sur un marché du e-commerce qui compte déjà des acteurs de poids tels que Jumia et Konga.
Noureddine Faraji, ingénieur chez Nokia Maroc, est l’un des quatre rescapés marocains de l’attaque de l’hôtel Radisson Blu de Bamako, le 20 novembre. Voici le récit, heure par heure, de cette matinée où la mort a bien failli frappé à sa porte.
Conçu à partir d’images d’archives, dont certaines inédites, le documentaire de Christophe Cupelin revient sur celui qui aura profondément marqué les Burkinabè : Thomas Sankara.
L’insécurité dans le Nord, et de plus en plus dans le Sud, a conduit le gouvernement à décider un énième report des scrutins régionaux et communaux. Même l’opposition acquiesce : c’est dire !
Le groupe de jeux et loisirs Pefaco international a levé 15 millions d’euros, via une émission d’actions qui officialise l’entrée d’investisseurs institutionnels à son capital. Très implanté en Afrique francophone, le groupe prévoit son installation au Nigeria en 2016.
Berlin veut envoyer jusqu’à 650 soldats supplémentaires au Mali, a annoncé mercredi 25 novembre la ministre de la Défense Ursula von der Leyen, citée par l’agence allemande DPA. Objectif : soulager la France pour qu’elle intensifie ses frappes contre l’État islamique en Syrie.
Un membre du personnel civil de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a été tué mardi par une explosion au passage d’un convoi des Nations unies dans la région de Tombouctou.
La 10e édition du Festival international de la mode en Afrique, Fima, prévue du 25 au 29 novembre à Niamey, a été reportée mardi sine die. Motif : les craintes d’une attaque jihadiste dans la capitale nigérienne.
Le groupe pétrolier nigérian a dû réévaluer à la baisse la valeur de ses actifs. Mais il affirme que ses opérations demeurent rentables et se dit toujours à l’affût de nouvelles opportunités.
La Banque centrale du Nigeria a ramené de 13 % à 11 % son taux d’intérêt de référence et réduit le coefficient de trésorerie obligatoire des banques à 20 %. Des mesures visant à stimuler la croissance dans la première économie africaine.
Présent au Tchad à l’occasion du sommet des chefs d’État du G5 (Niger, Mali, Burkina Faso, Mauritanie, Tchad), le 20 novembre, Jeffrey Feltman, secrétaire général adjoint aux affaires politiques de l’ONU, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Léon Lucide était à Bamako pour l’inauguration de la filiale Malienne de son groupe, Centre international d’opportunités d’affaires. Il séjournait au Radisson et a vécu l’attaque de l’intérieur. Il a finalement été exfiltré par les forces armées maliennes et l’ONU, aujourd’hui sain et sauf, il témoigne.
L’enquête progresse au Mali après l’attaque de l’hôtel Radisson Blu de Bamako, le 20 novembre. Appuyés par des experts français et l’ONU, les autorités maliennes ont mené des perquisitions pour débusquer les complices des auteurs de l’attentat qui a fait au moins 22 morts. Le point sur l’enquête.
Il est, avec Roch Marc Christian Kaboré, l’un des deux favoris à la présidentielle du 29 novembre. Candidat sous la bannière de l’UPC, l’ancien chef de file de l’opposition sait que mieux vaut ne fermer aucune porte, pas même au CDP…
Pour l’analyste de l’agence Moody’s, qui a haussé d’un cran la note souveraine de la Côte d’Ivoire, les réformes engagées placent le pays sur la voie d’une croissance plus structurelle.
Dans son édition n° 2863, Jeune Afrique livre une enquête sur les deux grands favoris de la présidentielle burkinabè du 29 novembre : Roch Marc Christian Kaboré et Zéphirin Diabré.
Le gouvernement ivoirien a lancé le 20 novembre l’émission d’un sukuk de 150 milliards de F CFA. La levée du premier emprunt obligataire conforme à la sharia du pays prend fin le 21 décembre.
L’enquête se poursuit alors que le Mali entame un deuil national de trois jours après l’attaque meurtrière du Radisson blu de Bamako, qui a fait au moins 21 morts selon le bilan des autorités maliennes et 22 selon la Minusma et des sources hospitalières. Les enquêteurs en sont désormais certains : les auteurs de l’attaque « ont bénéficié de complicités ».
Gao, Kidal, Tombouctou : trois régions à la traîne, qu’il est urgent de sortir du dénuement. En tirant le meilleur parti de leurs ressources naturelles et en les désenclavant.
Maiduguri a à nouveau été frappée. Huit personnes ont été tuées et sept blessées dimanche 22 novembre dans un attentat-suicide perpétré par une femme dans la grande ville du nord-est du Nigeria, selon un responsable de l’Agence de gestion des situations d’urgence (Nema) et l’armée.
Sans surprise, le président ghanéen John Dramani Mahama a été désigné à une large majorité candidat de son parti, le Congrès démocratique national (NDC). Il briguera donc un second mandat en 2016.
Trois jours après l’attaque meurtrière contre l’hôtel Radisson Blu de Bamako les enquêteurs étudient plusieurs pistes. La confusion règne toujours quant au bilan : les autorités maliennes avancent 21 morts quand la Minusma et des sources hospitalières font état de 22 victimes.
Au moins trois personnes soupçonnées d’être impliquées dans l’attaque vendredi contre l’hôtel Radisson Blu de Bamako sont « activement recherchées », a affirmé samedi à l’AFP une source de sécurité malienne.
Le gouvernement malien a annoncé un deuil national de trois jours et l’état d’urgence pour 10 jours à compter de vendredi minuit, après l’attaque sanglante d’un hôtel international ayant fait 27 morts à Bamako, revendiquée par un groupe jihadiste.
Un Américain est mort vendredi et une dizaine d’autres ont été secourus dans l’attaque contre l’hôtel Radisson Blu de Bamako, une prise d’otages revendiquée par un groupe jihadiste proche d’Al-Qaïda qui a fait au moins 27 morts, a annoncé le département d’Etat.
La prise d’otages menée par des hommes armés vendredi à l’hôtel Radisson Blu de Bamako est terminée, après un assaut conjoint des forces maliennes et étrangères, notamment françaises. Une vingtaine de personnes seraient mortes. Voici ce qu’il faut savoir sur cette attaque.