Au cours d’opérations menées contre les insurgés du groupe islamiste Boko Haram dans le nord-est du pays, l’armée nigériane a assuré mercredi avoir sauvé 241 femmes et enfants.
Michel Kafando a été officiellement rétabli mercredi à la tête du Burkina, une semaine après avoir été renversé par un putsch du Régiment de sécurité présidentiel (RSP). Il a aussitôt réintégré Yacouba Isaac Zida dans ses fonctions de Premier ministre, tandis que le général Diendéré a affirmé regretter le coup d’État.
Le financement de 200 millions d’euros accordé à la Côte d’Ivoire par l’Union Européenne a notamment pour objectif de diminuer le poids des énergies fossiles, dont le gaz, dans le mix énergétique du pays.
Muet depuis le coup d’État des 16 et 17 septembre, le Premier ministre de transition Yacouba Isaac Zida s’est exprimé mercredi, en marge de la cérémonie officielle d’installation de Michel Kafando à la tête du Burkina Faso.
C’est un témoin très attendu qui a comparu mardi et mercredi devant la cour d’assises africaine extraordinaire chargée de juger, à Dakar, l’ancien président Hissène Habré. Bandoum Bandjim, 63 ans, est un ancien gendarme tchadien qui a eu le sinistre privilège d’officier de 1983 à 1989 à la Direction de la documentation et de la sécurité (DDS), la police politique du régime Habré.
Invité au 32e Festival des Francophonies en Limousin, qui se tiennent du 23 septembre au 3 octobre, l’homme de théâtre burkinabé Étienne Minoungou revient sur le rôle des artistes dans la crise que traverse son pays.
Le président de la transition, Michel Kafando, a été officiellement réinstallé à la tête du Burkina Faso mercredi lors d’une cérémonie organisée à Ouagadougou.
Porte-parole de l’Afrique à la conférence onusienne sur les changements climatiques qui s’ouvre à Paris fin novembre, ce Malien incarne une nouvelle génération d’Africains, écologistes et pragmatiques.
Comme l’avait annoncé la veille le général putschiste Gilbert Diendéré, Michel Kafando a déclaré mercredi avoir repris ses fonctions de président de la transition.
Alors que la campagne présidentielle s’ouvrira le 9 octobre, Sylvain Oka et Arthur Alloco, deux éléments clés du dispositif électoral du candidat Charles Konan Banny, sont aux abonnés absents.
Le général putschiste Gilbert Diendéré a affirmé mardi soir que le président destitué Michel Kafando serait « remis en selle » mercredi. Au même moment, une délégation de militaires loyalistes et un représentant des putschistes du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) se sont engagés à respecter un accord d’apaisement.
Réunie en sommet extraordinaire à Abuja, au Nigeria, ce mardi 22 septembre, la Cedeao a réitéré son appel au désarmement des putschistes à Ouagadougou. Quatre chefs d’État de la sous-région sont attendus dans la capitale burkinabè pour faire avancer la médiation.
Le banquier nigérian a pris ses fonctions de président de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) le 21 septembre au Caire, ville où se trouve le siège de l’établissement bancaire. Il succède à l’Ivoirien Jean-Louis Ekra en poste depuis dix ans.
La menace terroriste de plus en plus présente a forcé les services secrets africains à se moderniser, et à revoir en profondeur leur politique de renseignement. Au Niger, les services de renseignements sont pilotés par Lawal Chékou Koré.
La menace terroriste de plus en plus présente a forcé les services secrets africains à se moderniser, et à revoir en profondeur leur politique de renseignement. Au Nigeria, Lawal Musa Daura dirige le SSS, depuis l’investiture de Muhammadu Buhari.
Avec un trésor de guerre de plusieurs dizaines de millions d’euros, le groupe minier La Mancha, actif en Côte d’Ivoire, espère faire tomber dans son escarcelle des projets aurifères en Afrique de l’Ouest, a appris « Jeune Afrique ». Découvrez en exclusivité ses cibles potentielles.
Alors que la crise burkinabè est une nouvelle fois au menu des discussions au sein de la Cedeao, réunie en sommet extraordinaire à Abuja, au Nigeria, la situation est de plus en plus tendue à Ouagadougou. L’armée loyaliste encercle la capitale alors que le général Diendéré et les putschistes semblent décidés à se défendre. Tous semblent attendre une décision de la Cedeao.
L’ancien patron du régiment de la sécurité présidentielle avait participé au coup d’État de Sankara en 1983, puis à la chute de ce dernier en 1987. Il a voulu, cette fois, prendre le pouvoir pour lui seul. À ses risques et périls. Et quel qu’en soit le prix pour le pays.
Le groupe hôtelier Mövenpick Hotels & Resorts débarque à Abidjan pour la réalisation d’un établissement de 220 chambres. Le projet prévoit un investissement de 55 millions d’euros, qui sera réalisé en partenariat avec Bouygues Construction et l’homme d’affaires local Abdoul Kassam.
Alors que la tension est à son comble à Ouagadougou entre militaires loyalistes à la transition burkinabè et putschistes menés par Gilbert Diendéré, Cynthia Ohayon, analyste à l’International Crisis Group (ICG), revient sur les négociations en cours sous l’égide de la Cedeao. Interview.
L’armée loyaliste encercle la capitale Ouagadougou, tenue par les putschistes de la garde présidentielle. Elle exige du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) qu’il dépose les armes.
Le Premier ministre de la transition, Isaac Zida, a été libéré mardi aux alentours de 3h de matin, après des négociations entre l’armée loyaliste, aux portes de la capitale Ouagadougou, et les putschistes du Régiment de sécurité présidentielle (RSP).
Plusieurs unités de l’armée et de la gendarmerie burkinabè sont postées depuis lundi après-midi autour de la capitale. Face à elle, le général Gilbert Diendéré et les putschistes du RSP ne semblaient pas vouloir quitter le pouvoir.
Selon un communiqué transmis à la presse lundi, le général Gilbert Diendéré s’est engagé à « remettre le pouvoir aux autorités civiles de la transition à l’issue de l’accord définitif » avec la Cedeao et, en « signe d’apaisement », il annonce également vouloir libérer le Premier ministre Isaac Zida.
Pourquoi le nouveau président du Nigeria a-t-il choisi la France pour son premier déplacement en Europe ? À cause de l’urgence de la lutte contre Boko Haram.
L’homme d’affaires béninois, principal opposant à Boni Yayi, a accordé une interview à Jeune Afrique, dans son édition en kiosques du 20 au 26 septembre.
Alors que le groupe du tycoon Aliko Dangote a lancé son mégaprojet de raffinerie proche de Lagos, pour un coût de 9 milliards de dollars (8 milliards d’euros), il prépare d’ores et déjà son approvisionnement en brut nigérian.