L’Afrique est une destination privilégiée de la diaspora libanaise depuis le XIXe siècle. Mais aujourd’hui, les enfants issus de mariages mixtes installés au pays du Cèdre subissent au quotidien un mélange de racisme et de préjugés sociaux. Reportage.
Pour la 27e année consécutive, Forbes a classé les milliardaires à travers le monde. Une vingtaine d’Africains figurent dans cette liste. Parmi eux, l’homme d’affaires nigérian Aliko Dangote continue à tenir le haut du classement. L’Angolaise Isabel Dos Santos fait son entrée.
L’année 2013 s’ouvre sous de bons auspices pour l’armateur, qui vient d’achever sa restructuration financière après une période de crise. Plus que jamais, il maintient le cap sur l’Afrique.
Deux personnes ont été tuées et sept ont été blessées par balles dans la nuit du lundi 4 au mardi 5 mars, à Conakry. Des tirs ont été entendus dans différents quartiers pendant plusieurs heures.
La confusion règne toujours sur le sort d’Abou Zeid et de Mokhtar Belmokhtar, deux chefs jihadistes que l’armée tchadienne affirme avoir tués lors des récents combats dans le massif de l’Adrar des Ifoghas, à l’extrême nord du Mali. Mardi, RFI et Paris Match publient la même photo d’un homme mort. Pour le premier média, il s’agit du corps de Belmokhtar. Pour le second, c’est celui d’Abou Zeid.
Alors que les réalisatrices sont encore peu nombreuses sur le continent, le Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou les a mises à l’honneur lors de sa 23e édition.
Le président tchadien, Idriss Déby Itno, a réaffirmé, lundi 4 mars, que les deux chefs islamistes Abou Zeid et Mokhtar Belmokhtar avaient été tués « lors des affrontements qui ont eu lieu le 22 février et 2 mars » dans le nord du Mali. Alger, Paris et Bamako refusent, quant à eux, de confirmer ou d’infirmer leur mort.
Alors que depuis plusieurs jours la Guinée est confrontée à des violences, ayant fait au moins six morts la semaine dernière, le président guinéen Alpha Condé a reçu, lundi 4 mars, des représentants de la classe politique et de la société civile.
Pour son dernier exercice, SIPH, la filiale du groupe Sifca, a présenté un chiffre d’affaires de 358,5 millions d’euros pour son activité caoutchouc. Une baisse de 11%, mais dans un contexte de chute des prix sur ce marché. Le chiffre d’affaires total est pratiquement stable à 419,4 millions d’euros.
L’armée française, actuellement déployée dans l’Adrar des Ifoghas, dans le nord du Mali, a diffusé des vidéos des combats au sol contre les groupes islamistes armés.
Un nouveau mandat d’arrêt international va ête délivré contre l’homme d’affaires Patrice Talon, a annoncé le procureur de la République du Bénin, Justin Gbenameto. En cause : sa participation présumée à une nouvelle tentative de coup d’État.
Hormis au Tchad, aucune source officielle n’a confirmé la mort d’Abou Zeid et de Mokhtar Belmokhtar, les deux principaux chefs du jihadisme sahélien. Une situation confuse sur laquelle les principaux bélligérants observent la plus grande discrétion.
S’il fallait un visage à cette guerre, ce pourrait être le sien. Adversaire farouche des insurgés touaregs et des islamistes armés, El Hadj Ag Gamou est le nouveau maître de la ville de Gao, dans la partie nord du Mali. Bien décidé à se venger de ceux qui l’ont humilié.
La plainte avec constitution de partie civile pour « enlèvement, séquestration, traitements inhumains et dégradants », déposée en juin 2012 par le fils de l’ex-président ivoirien, Michel Gbagbo, détenu en Côte d’Ivoire, va être instruite par un juge français, a annoncé, lundi 4 mars, son avocate Habiba Touré.
Deux hommes – un colonel, Pamphile Zomahoun, et un homme d’affaires, Johannes Dagnon – sont accusés d’avoir tenté de commettre un attentat pour empêcher le retour du président Boni Yayi, qui était en déplacement à l’étranger. Leur objectif, selon la justice béninoise, aurait été de donner le pouvoir à un groupe de militaires.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a appelé « à la prudence » après les annonces par N’Djamena de la mort des chefs jihadistes Abou Zeid et Mokhtar Belmokhtar. De son côté, le chef d’état-major des armées, l’amiral, Edouard Guillaud, a estimé, lundi 4 mars, que la mort de Abou Zeid était « probable ». Samedi, deux soldats, un français et un tchadien, sont morts lors d’affrontements dans le massif des Ifoghas.
Des dizaines de combattants islamistes et un soldat français ont été tués au cours de violents combats dans le nord-est du Mali, dans les régions de Gao et du massif des Ifoghas, où seraient détenus des otages français, suscitant de nouvelles inquiétudes sur leur sort.
Le film « Aujourd’hui », du réalisateur franco-sénégalais Alain Gomis, a remporté samedi à Ouagadougou le grand prix du Fespaco, le festival majeur du cinéma africain qui s’est conclu dans l’émotion et en musique.
Le président tchadien Idriss Déby a reçu samedi les familles des 26 soldats tchadiens morts dans des affrontements avec les forces jihadistes dans le nord du Mali le 22 février et assuré que l’Etat allait les prendre en charge.
L’armée tchadienne a annoncé dans un communiqué, samedi 2 mars au soir, que le chef jihadiste et trafiquant Mokhtar Belmokhtar avait été tué au nord du Mali. Si elle est confirmée, sa mort et celle de Abou Zeid, un autre chef d’Aqmi, constitueraient un gros revers pour la mouvance radicale armée.
La mort présumée d’un des principaux chefs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelhamid Abou Zeid, restait à confirmer samedi mais son annonce par le président du Tchad a relancé les inquiétudes sur le sort des otages français détenus dans la région.
Après une semaine de films et de fête, le Fespaco, grand festival du cinéma africain de Ouagadougou, s’achève samedi par la remise des prix, dont le prestigieux Etalon d’or de Yennenga, qui récompense le meilleur long métrage.
Au moins une personne a été tuée par balle et douze blessées à Conakry quand des forces de l’ordre ont tiré sur des habitants dans des circonstances pas encore précisées, a-t-on appris samedi de sources concordantes, après trois jours de violences dans la capitale.
Des officiers des services de sécurité algériens ont identifié l’arme mais pas le corps présenté comme celui d’Abdelhamid Abou Zeid, le plus radical des chefs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, donné pour mort dans des combats au Mali, a rapporté samedi le journal algérien El-Khabar.
Une trentaine de personnes ont été blessées vendredi à Conakry dans de nouvelles violences qui ont opposé des commerçants entre eux, le matin, puis des membres des communautés peul et malinké, dans l’après-midi, selon des témoins et un journaliste de l’AFP.
Le président tchadien Idriss Déby Itno a affirmé, vendredi 1er mars, que des soldats tchadiens ont tué l’émir d’Al Qaïda au Maghreb islamique, Abou Zeid. Les autorités françaises et algériennes n’ont pour le moment pas confirmé l’information mais des tests ADN seraient en cours afin de vérifier l’identité d’un corps qui pourrait être celui du chef jihadiste.
Le troisième jour des heurts à Conakry a été marqué, le 1e mars, par des échauffourées entre commerçants du marché de Madina dans la banlieue de la capitale guinéenne. Au moins sept personnes ont été blessées, selon les témoins sur place. Le président Alpha Condé promet de rencontrer le 4 mars « l’ensemble des organisations politiques » pour tenter de calmer la situation.