Hormis au Tchad, aucune source officielle n’a confirmé la mort d’Abou Zeid et de Mokhtar Belmokhtar, les deux principaux chefs du jihadisme sahélien. Une situation confuse sur laquelle les principaux bélligérants observent la plus grande discrétion.
S’il fallait un visage à cette guerre, ce pourrait être le sien. Adversaire farouche des insurgés touaregs et des islamistes armés, El Hadj Ag Gamou est le nouveau maître de la ville de Gao, dans la partie nord du Mali. Bien décidé à se venger de ceux qui l’ont humilié.
La plainte avec constitution de partie civile pour « enlèvement, séquestration, traitements inhumains et dégradants », déposée en juin 2012 par le fils de l’ex-président ivoirien, Michel Gbagbo, détenu en Côte d’Ivoire, va être instruite par un juge français, a annoncé, lundi 4 mars, son avocate Habiba Touré.
Deux hommes – un colonel, Pamphile Zomahoun, et un homme d’affaires, Johannes Dagnon – sont accusés d’avoir tenté de commettre un attentat pour empêcher le retour du président Boni Yayi, qui était en déplacement à l’étranger. Leur objectif, selon la justice béninoise, aurait été de donner le pouvoir à un groupe de militaires.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a appelé « à la prudence » après les annonces par N’Djamena de la mort des chefs jihadistes Abou Zeid et Mokhtar Belmokhtar. De son côté, le chef d’état-major des armées, l’amiral, Edouard Guillaud, a estimé, lundi 4 mars, que la mort de Abou Zeid était « probable ». Samedi, deux soldats, un français et un tchadien, sont morts lors d’affrontements dans le massif des Ifoghas.
Des dizaines de combattants islamistes et un soldat français ont été tués au cours de violents combats dans le nord-est du Mali, dans les régions de Gao et du massif des Ifoghas, où seraient détenus des otages français, suscitant de nouvelles inquiétudes sur leur sort.
Le film « Aujourd’hui », du réalisateur franco-sénégalais Alain Gomis, a remporté samedi à Ouagadougou le grand prix du Fespaco, le festival majeur du cinéma africain qui s’est conclu dans l’émotion et en musique.
Le président tchadien Idriss Déby a reçu samedi les familles des 26 soldats tchadiens morts dans des affrontements avec les forces jihadistes dans le nord du Mali le 22 février et assuré que l’Etat allait les prendre en charge.
L’armée tchadienne a annoncé dans un communiqué, samedi 2 mars au soir, que le chef jihadiste et trafiquant Mokhtar Belmokhtar avait été tué au nord du Mali. Si elle est confirmée, sa mort et celle de Abou Zeid, un autre chef d’Aqmi, constitueraient un gros revers pour la mouvance radicale armée.
La mort présumée d’un des principaux chefs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelhamid Abou Zeid, restait à confirmer samedi mais son annonce par le président du Tchad a relancé les inquiétudes sur le sort des otages français détenus dans la région.
Après une semaine de films et de fête, le Fespaco, grand festival du cinéma africain de Ouagadougou, s’achève samedi par la remise des prix, dont le prestigieux Etalon d’or de Yennenga, qui récompense le meilleur long métrage.
Au moins une personne a été tuée par balle et douze blessées à Conakry quand des forces de l’ordre ont tiré sur des habitants dans des circonstances pas encore précisées, a-t-on appris samedi de sources concordantes, après trois jours de violences dans la capitale.
Des officiers des services de sécurité algériens ont identifié l’arme mais pas le corps présenté comme celui d’Abdelhamid Abou Zeid, le plus radical des chefs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, donné pour mort dans des combats au Mali, a rapporté samedi le journal algérien El-Khabar.
Une trentaine de personnes ont été blessées vendredi à Conakry dans de nouvelles violences qui ont opposé des commerçants entre eux, le matin, puis des membres des communautés peul et malinké, dans l’après-midi, selon des témoins et un journaliste de l’AFP.
Le président tchadien Idriss Déby Itno a affirmé, vendredi 1er mars, que des soldats tchadiens ont tué l’émir d’Al Qaïda au Maghreb islamique, Abou Zeid. Les autorités françaises et algériennes n’ont pour le moment pas confirmé l’information mais des tests ADN seraient en cours afin de vérifier l’identité d’un corps qui pourrait être celui du chef jihadiste.
Le troisième jour des heurts à Conakry a été marqué, le 1e mars, par des échauffourées entre commerçants du marché de Madina dans la banlieue de la capitale guinéenne. Au moins sept personnes ont été blessées, selon les témoins sur place. Le président Alpha Condé promet de rencontrer le 4 mars « l’ensemble des organisations politiques » pour tenter de calmer la situation.
Des muscles à faire pâlir de jalousie Sylvester Stallone au temps de sa splendeur, des mines patibulaires, des litres d’hémoglobine, des armes en tout genre, des démons d’outre-tombe, de la sorcellerie, des divinités sorties d’un fleuve… Bienvenue dans l’univers fabuleux des séries Z ghanéennes. Jusqu’au 19 mai, le musée du quai Branly, à Paris, présente une dizaine d’affiches réalisées pour les vidéoclubs d’Accra.
Le gouvernement malien a déclaré jeudi 28 février que la production d’or avait augmenté de 15% en 2012, passant de 43 à 50 tonnes, ce malgré la guerre et la gravité de la crise politique.
Les autorités françaises ont refusé, vendredi 1er mars, de confirmer la mort dans le nord du Mali d’Abdelhamid Abou Zeid, l’un des principaux chefs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). De leur côté, des médias algériens assurent que des tests ADN sont en cours pour tenter de identifier le corps de l’émir d’Aqmi.
Une cinquantaine de jihadistes ont été arrêtés sur une île du fleuve Niger près de Gao, dans le nord du Mali. Dirigées par le colonel malien touareg El Hadj Ag Gamou, les opérations militaires étaient toujours en cours dans cette zone, vendredi 1er mars à la mi-journée.
Après une rencontre avec le président Alassane Ouattara en début de semaine, une délégation de la société pétrolière russe Lukoil a confirmé son intérêt pour le pays d’Afrique de l’Ouest. Le ministre des Mines Adama Toungara évalue les investissements prévus du russe à 300 millions d’euros.
Selon une source hospitalière, un jeune Guinéen figurant parmi quelque 130 personnes blessées lors d’une manifestation d’opposants, le 27 février à Conakry, a succombé à ses blessures. De nouveaux heurts ont opposé le lendemain, jeudi 28 février, les forces de l’ordre à des jeunes en banlieue.
Selon plusieurs sources non officielles, l’un des principaux émirs d’Aqmi, Abou Zeid, aurait été tué au cours de frappes de l’aviation française au nord du Mali. Une information à prendre avec précaution.
La procureure de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda, expose à Jeune Afrique les accusations qui pèsent sur Laurent Gbagbo, dont l’audience de confirmation des charges s’est achevée le 28 février. La décision d’une inculpation de l’ancien chef d’État pourrait intervenir dans les semaines qui viennent.
À l’occasion du quinzième anniversaire de la mort du génie de l’afrobeat, ses anciens manageurs s’apprêtent à rééditer l’ensemble de son catalogue. Pour patienter jusqu’au 4 mars, Rikki Stein et Francis Kertekian dévoilent 4 minutes et 16 secondes, jamais vues, d’un live que le star nigériane a donné en 1984 à Paris. En exclusivité sur Jeune Afrique et à découvrir de toute urgence !
L’audience de confirmation des charges contre Laurent Gbabgo s’est achevée à La Haye devant la Cour pénale internationale (CPI). Ce jeudi 28 février, l’ancien président ivoirien s’est exprimé pour exposer sa vision de la crise postélectorale et réfuter des accusations qui pèsent contre lui.
L’Afrique n’échappe pas au phénomène viral du Harlem Shake. Du nord au sud, des jeunes publient des vidéos d’une trentaine de secondes dans lesquelles on les voit, déguisés ou dénudés, se dandiner de façon frénétique. Une mode qui provoque la colère dans certains milieux islamistes, notamment au Maghreb. Tour d’horizon.
Le groupe de médias et services financiers américain Bloomberg vient d’annoncer son alliance avec le groupe nigérian Optima Media pour lancer une nouvelle entité nommée Bloomberg Television Africa.