Loyer modéré, flexibilité et émulation : les espaces de travail partagés font leur chemin en Afrique. Prisés des professionnels des nouvelles technologies, ces lieux agissent comme des catalyseurs d’innovation.
L’un, en partie payant, se veut « global » et compte 2 millions d’inscrits en Afrique. L’autre, totalement gratuit, revendique une spécificité continentale et a conquis 250 000 membres. Double-clic sur Viadeo et LinkedAfrica.
La force d’attente ouest-africaine sera déployée si les autorités maliennes en font « la demande », ont décidé les chefs d’États de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), mercredi 3 mai à Dakar
Le parquet a requis une peine de 80 ans de prison contre l’ancien président du Liberia Charles Taylor, reconnu coupable la semaine dernière de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, a indiqué le bureau du procureur du Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL) dans un document rendu public jeudi 3 mai.
Think-tank basé à Ouagadougou, l’Institut d’Afrique confrontera les insuffisances des filières existantes aux attentes des employeurs. Interview de son président, Paul Giniès.
Les présidents de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) ont entamé ce jeudi 3 mai à Dakar une réunion afin d’évoquer les deux dossiers épineux qui déstabilisent la région : le Mali et la Guinée-Bissau.
Nouveau rebondissement dans l’affaire du financement présumé de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 par le régime de Mouammar Kadhafi. L’ancien premier ministre libyen, Mahmoudi Baghdadi, a affirmé jeudi 3 mai, selon l’un de ses avocats, qu’il existait « bien un document signé par Moussa Koussa et qu’un financement a bien été reçu par M. Sarkozy ». L’authenticité de ce document rendu public par le site d’information français Mediapart a été mise en doute par le Conseil national de transition (CNT).
Le Premier ministre malien de transition, Cheick Modibo Diarra, a donné sa première interview après le début des combats à Bamako entre les ex-putshistes et les militaires « Bérets rouges » favorables à l’ancien président malien Amadou Toumani Touré.
Le cabinet d’audit et de conseil français veut recruter 500 consultants et auditeurs en Afrique francophone. Il s’agit de couvrir 30 pays de la zone et d’y réaliser un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros d’ici à quatre ans.
Avec le retour des mercenaires du « Guide », la rébellion a repris dans le nord du Mali. Des effets que Niamey a réussi à éviter sur son territoire. Quelles sont les recettes nigériennes ?
Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), un groupe armé qui a revendiqué l’enlèvement de deux humanitaires espagnols, un homme et une femme, ainsi qu’une Italienne en octobre 2011 en Algérie, a affirmé mercredi 2 mai que des négociations étaient en cours pour la libération des deux femmes. Selon l’un de ses porte-paroles, le groupe exige notamment « une rançon de 30 millions » d’euros.
Pour les industriels asiatiques et européens, l’heure est à la ruée vers les terres africaines. Le palmier à huile peut être une chance, à condition que développement rural ne rime pas avec menace environnementale.
Entré en fonction au plus fort de la guerre en Libye, le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bazoum, revient sur les conséquences dans la région, et en particulier au Mali, de la chute de Kadhafi.
Fini les aventures en Argentine et en Russie. Le groupe sud-africain se recentre sur l’Afrique. Et pour donner un coup de fouet à son développement, il va recruter entre 3 000 et 4 000 employés en deux ans.
Les dépenses de marketing et de distribution sont appelées à augmenter. Pour les opérateurs, il s’agit de fidéliser les abonnés et de les convertir aux nouveaux services liés à internet.
Un juge sénégalais suppléant du TSSL a essayé de prendre la parole après l’énoncé du verdict contre Charles Taylor pour défendre ce dernier. Mais les micros étaient déjà coupés…
À la tête des commandos parachutistes Bérets rouges de la garde présidentielle, Abidine Guindo a tenté le tout pour le tout en attaquant frontalement les militaires putschistes qui ont renversé le président ATT, le 22 mars. Les raisons de son passage à l’acte restent obscures.
Depuis l’investiture de Mahamadou Issoufou, le 7 avril 2011, le pays a tout fait pour rester le bon élève de la région. Malgré des indicateurs encore médiocres en termes de développement humain, la croissance est bien là. Même constat pour la stabilité et la bonne marche des institutions.
Favorables à l’ancien président malien Amadou Toumani Touré, les Bérets rouges de la garde présidentielle se sont finalement repliés mardi 1er mai face aux soldats de l’ex-junte après avoir lancé la veille une offensive ratée contre la ville-garnison de Kati, l’aéroport international de Bamako et le siège de la télévision nationale. Des affrontements meurtriers qui ne remettent pas en cause « l’accord-cadre » signé avec la Cedeao, a affirmé le 1er mai le capitaine Amadou Haya Sanogo.
La junte bissau-guinéenne s’oppose au retour du président intérimaire Raimundo Pereira, qu’elle a renversé lors du coup d’État le 12 avril, et demande à la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest de lui « accorder un peu plus de temps ».
Le cabinet d’audit et de conseil français veut recruter 500 consultants et auditeurs en Afrique francophone. Il s’agit de couvrir 30 pays de la zone et d’y réaliser un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros d’ici à quatre ans.
Le 12 avril, les militaires bissau-guinéens ont pris le pouvoir et arrêté Carlos Gomes Junior, favori du second tour de la présidentielle. Une tentative de contrer la réforme de l’armée lancée par l’ancien Premier ministre, qui comptait diviser ses effectifs par trois.
Les affrontements entre militaires pro-ATT et pro-putschistes ont baissé d’intensité mardi 1er mai dans l’après-midi à Bamako. Les premiers – les Bérets rouges de la garde présidentielle – se sont retranchés dans un quartier du centre de la capitale malienne tandis que les seconds – les Bérets verts – recevaient des renforts venus de l’intérieur du Mali.