Riches, exploiteurs, oisifs… L’image des expatriés libanais installés sur le continent obéit encore à de vieux stéréotypes très éloignés de la réalité.
Le parlement ivoirien a ouvert ses travaux mercredi 24 avril, en présence du président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro et du chef de l’État Alassane Ouattara. L’ancien Premier ministre a mis l’accent sur le « pardon » et la reconstruction lors de son discours d’ouverture.
Le Front populaire ivoirien (FPI, parti de Laurent Gbagbo) pourrait ne pas participer au dialogue politique organisé par le pouvoir d’Alassane Ouattara les 27 et 28 avril à Grand-Bassam (est d’Abidjan). Laurent Akoun, secrétaire général par intérim du FPI, joint au téléphone à Abidjan, en donne les raisons.
Le nouveau Premier ministre malien Cheick Modibo Diarra a formé son gouvernement mercredi 25 avril. Parmi les 24 membres, trois viennent des rangs de l’armée tandis que les autres sont issus de la société civile.
40 % pour Hollande, 34% pour Sarkozy. La compilation des résultats du vote des Français en Afrique, le 22 avril, lors du premier tour de la présidentielle, donne un ordre d’arrivée des 10 candidats sensiblement différent du résultat global. Notamment dans le quinté de tête.
Béatrice Stockly, l’otage suisse enlevée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) le 15 avril dans le Nord-Mali, a été libérée mardi 24 avril et remise aux forces de sécurité du Burkina Faso.
Michel Scarbonchi est ancien député européen, élu sous les couleurs du Mouvement des radicaux de gauche en 1994, puis du Parti socialiste de 1999 (jusqu’à à 2004). Il est aujourd’hui consultant à l’international.
Rares sont ceux qui avouent leur appartenance. Pourtant, avec ses rites et son goût du secret, la franc-maçonnerie fascine et fait chaque jour de nouveaux adeptes. Et sur le continent, dans les cercles du pouvoir, beaucoup en font partie.
L’ambassadeur de l’Union européenne (UE) au Mali, Richard Zink, explique la position des bailleurs de fonds sur la crise que traverse le pays. Le dialogue avec les rebelles touaregs qui dirigent le Nord du pays peine à s’ouvrir réellement. Un Premier ministre a été nommé, mais les Maliens attendent encore la formation de son gouvernement. La junte militaire qui a fait chuter l’ancien président, Amadou Toumani Touré (ATT), tarde à rendre véritablement le pouvoir. Dans ce contexte, les partenaires extérieurs du Mali essaient de soutenir le pays et, surtout, de contenir l’influence grandissante d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Interview.
Sur un marché de plus en plus mature en Côte d’Ivoire, Orange et MTN rivalisent d’idées en matière de services financiers via le téléphone portable. Un bon moyen de fidéliser leurs abonnés.
Serait-ce la fin de l’alliance entre la rébellion touarègue et les islamistes d’Ansar Eddine ? Cela en a tout l’air. Sous les auspices du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), chefs religieux, chefs coutumiers et notables du Nord-Mali ont décidé de se réunir à Gao, les 25 et 26 avril. Objectif : « prononcer une « fatwa » contre tous les groupes armés qui sont sur le territoire de l’Azawad », martèle Moussa Ag Assarid, l’un des porte-paroles du MNLA, interviewé par Jeune Afrique.
En dix ans, l’Afrique de l’Ouest est devenue une plaque tournante du trafic de drogue, l’un des principaux points de passage entre producteurs latino-américains et consommateurs européens. Un phénomène qui engendre une augmentation de la consommation dans la région, avec les risques sociaux, politiques et sanitaires qu’elle comporte. Interview avec Alan Doss, membre de la fondation Kofi Annan.
Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) a annoncé lundi 23 avril que les sept otages algériens enlevés au début du mois à Gao, dans le nord du pays, pourraient être relâchés très prochainement. Selon plusieurs sources, ils sont en « bonne santé ».
Le président ivoirien Alassane Ouattara s’est rendu pour la première fois à Duékoué. Dans cette ville symbolique, théâtre d’un déferlement de violence lors de la crise postélectorale, le chef d’État s’est posé en rassembleur, promettant la justice à la foule venue l’écouter.
Enlevée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) le 15 avril à Tombouctou, dans le nord du Mali, l’otage suisse Béatrice Stockly a été reprise à ses ravisseurs par le groupe islamiste Ansar Eddine. Selon des sources sécuritaires et locales, les islamistes seraient prêt à la libérer.
Le peloton de la 7e édition de la course cycliste gabonaise « Tropicale Amissa Bongo » s’élancera mardi 24 avril, à Fougamou (centre-ouest), pour six jours de course où se côtoieront stars du circuit international et amateurs africains.
Carlos Cardoso est docteur en philosophie et administrateur du programme de recherches au Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA), à Dakar. Pour Jeune Afrique, il revient sur la situation de son pays, la Guinée Bissau, sous contrôle militaire depuis le coup d’État du 12 avril dernier.
Tout juste élu, Macky Sall a surpris en nommant Abdoul Mbaye, un technocrate, à la tête du gouvernement. Autour de lui, une équipe resserrée. Et un mot d’ordre : au travail !
Une fois encore confronté à une grave crise alimentaire, le Niger cherche, pour en finir avec les programmes d’urgence, à changer en profondeur les pratiques de production.
Un an après avoir connu les tueries de la crise postélectorale, l’ouest de la Côte d’Ivoire reste en proie à de vives tensions intercommunautaires liées au sol : « la pression sur nos terres peut déclencher une autre guerre », avertit le chef du village de Niambly.
Alors que les rebelles touaregs ont ouvert la porte à la domination du Nord-Mali par les groupes salafistes et terroristes du type Aqmi, Jeune Afrique tente d’analyser les pistes possibles de sortie de crise. Une enquête à découvrir dans son édition n° 2676, en kiosques du 22 au 28 avril 2012.
Face à la menace de sanctions brandie par l’ONU, la junte bissau-guinéenne a amorcé un recul samedi, se disant prête à revoir les modalités de la transition décidées avec l’ex-opposition au régime renversé et qui prévoit la suspension des élections pendant deux ans.
Les activités des groupe armés qui contrôlent le Nord du Mali sont une « source d’inquiétude » pour l’Algérie qui déplore la séparation entre le nord et le sud de ce pays, a indiqué samedi à Alger le ministre algérien de l’intérieur Daho Ould Kablia.
Trois civils ont été tués par balles samedi et un enfant est mort en sautant sur une mine dans le Nord du Mali, selon des témoins, illustrant l’insécurité qui règne dans cette région occupée par des groupes armées depuis trois semaines.
Une délégation de la Croix-Rouge malienne a pu acheminer cinq tonnes de vivres et des médicaments à Tombouctou, ville du nord-est du Mali occupée par différents groupes armés et menacée d’une crise humanitaire, a indiqué samedi son président, après avoir quitté la ville.
Le nouveau Premier ministre de transition du Mali, Cheikh Modibo Diarra, s’est déclaré vendredi prêt à négocier avec les groupes armés qui contrôlent le nord du Mali, mais a exclu toute discussion « avec le couteau sous la gorge ».