L’émissaire de la présidence malienne, Tiébilé Dramé, a rencontré des dirigeants du MNLA et d’Ansar Eddine à Nouakchott. Des premiers contacts « officiels » en attendant la poursuite des négociations sous l’égide du Premier ministre malien de transition qui devrait être nommé ce mardi.
Le directeur général de l’Apex-CI revendique un rôle d’ambassadeur pour l’économie nationale. En 2012, il entend attirer vers la Côte d’Ivoire l’aide américaine au développement.
La Société financière internationale devrait investir plus de 1 milliard de dollars dans les infrastructures africaines en 2012. Un motif de satisfaction pour l’économiste ivoirien, qui, avant de terminer son mandat au sein de l’institution, nous livre sa vision pour l’avenir du continent.
Contre les rebelles touaregs du MNLA et du groupe islamiste Ansar Eddine, qui occupent le nord du pays depuis la fin du mois de mars, l’armée malienne cherche à s’organiser pour lancer la contre-offensive. Un immense défi pour une institution qui refuse l’aide de la Cedeao et qui doit se remobiliser et s’équiper afin de monter au front dans des conditions acceptables pour ses soldats. Enquête.
La Société financière internationale devrait investir plus de 1 milliard de dollars dans les infrastructures africaines en 2012. Un motif de satisfaction pour l’économiste ivoirien, qui, avant de terminer son mandat au sein de l’institution, nous livre sa vision pour l’avenir du continent.
Pour sa première sortie officielle, le nouveau président sénégalais, Macky Sall, a choisi la Gambie, voisin avec qui les relations diplomatiques n’ont pas toujours été au beau fixe ces dernières années.
Le Rassemblement du peuple togolais (RPT, au pouvoir) de Faure Gnassingbé a signé le samedi 14 avril son propre acte de décès, à l’issue d’un congrès tenu à Blitta (plus de 200 km au nord de Lomé), une ville qui l’avait vu naître il y a 43 ans. Vendredi 20 avril, un nouveau parti, l’Union pour la République (Unir) doit lui succéder.
Le groupe islamiste Ansar Eddine, au pouvoir dans le nord du Mali aux côtés de la rébellion touarègue, serait prêt à négocier avec Bamako, a indiqué un membre du groupe islamiste. L’urgence d’une sortie de crise se fait de plus en plus sentir, alors qu’une Occidentale a été enlevée à Tombouctou.
La junte qui s’est emparée du pouvoir en Guinée-Bissau le 12 avril a annoncé dimanche la fermeture des frontières et la dissolution des institutions, remplacées par un « Conseil national de transition » (CNT) dont le rôle et la composition doivent être fixés ce lundi, en accord avec les militaires. La plupart des observateurs soupçonnent le chef d’état-major, le général Antonio Indjai, d’être le meneur de putschistes.
Les militaires qui ont pris le pouvoir en Guinée-Bissau poursuivent leurs discussions avec d’ex-opposants pour former un gouvernement d' »union », au moment où des interrogations entourent le rôle du chef de l’armée, dont l’arrestation est « une farce » pour certains.
De difficiles discussions doivent reprendre entre l’ex-junte et la classe politique malienne à Ouagadougou pour fixer la durée de la transition et tenter d’esquisser une sortie de crise dans le Nord, coupé du monde depuis sa prise par des groupes armés.
L’UMP a signé samedi à Paris un accord de partenariat avec le Rassemblement des républicains (RDR, libéral), parti du président ivoirien Alassane Ouattara.
Des discussions sur une sortie de crise au Mali, menées par le médiateur et président burkinabè Blaise Compaoré, ont eu lieu samedi à Ouagadougou pour fixer une « feuille de route » de la transition après le retrait des putschistes et rétablir la situation dans le Nord tenu par des groupes armés.
Une vidéo tournée fin février montre deux Français enlevés en novembre 2011 dans le nord du Mali par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), selon un journaliste de l’AFP à Ouagadougou qui a pu la visionner samedi.
L’inquiétude montait samedi pour les membres du gouvernement déchu en Guinée-Bissau après le coup d’Etat et l’arrestation des deux têtes de l’exécutif par les putschistes, qui tentaient de mettre en place un gouvernement d' »union » avec l’ex-opposition.
Les membres du gouvernement de Guinée-Bissau renversé jeudi par un coup militaire sont en danger de mort, a affirmé samedi à Lisbonne le ministre bissau-guinéen des Affaires étrangères, Mamadou Djalo Pires, en marge d’une réunion de la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP).
Des leaders d’opposition de Guinée-Bissau devaient discuter samedi de la mise en place d’un gouvernement d' »union » proposé par les militaires qui, après leur coup d’Etat, ont exigé les postes de la Défense et de l’Intérieur.
Les consultations se poursuivaient vendredi en vue de la nomination d’un Premier ministre et de son gouvernement au Mali, au lendemain de l’investiture du président Dioncounda Traoré, qui a promis la « guerre » aux groupes armés occupant le Nord, s’ils refusent de se retirer.
Un nouveau coup d’État militaire était accompli vendredi en Guinée-Bissau après l’arrestation du président intérimaire, du Premier ministre et du chef d’état-major, dans la capitale désormais quadrillée par les soldats, à deux semaines de la présidentielle du 29 avril.
En plein entre-deux tours de l’élection présidentielle, une partie de l’armée bissau-guinéenne s’est emparée jeudi 12 avril dans la soirée de la résidence du Premier ministre, Carlos Gomes Junior, dont la femme assure qu’il a été arrêté par les mutins. Selon une source militaire, le président par intérimaire Raimundo Pereira et plusieurs responsables politiques sont également détenus au siège de l’état-major de l’armée. La capitale Bissau est actuellement quadrillée par les militaires putschistes. Les signaux de la télévision et de la radio nationales sont coupés.
Alors que l’accès aux pays de l’Union européenne se durcit, la Tunisie est devenue une option prisée par les élèves subsahariens. Une aubaine pour les universités privées.
L’école parisienne est présente dans douze pays africains à travers des cercles de réflexion et d’échange. Ceux-ci rassemblent des cadres soucieux d’améliorer leurs capacités de management et leur compétitivité.
Pour celui qui souhaite investir au Niger, il ne doit retenir qu’un nom, celui de Mamadou Sako. À 56 ans cet ancien de l’Essec à l’un des carnets d’adresse les plus fournis.
Une fois encore confronté à une grave crise alimentaire, le pays cherche, pour en finir avec les programmes d’urgence, à changer en profondeur les pratiques de production.
Les premiers barils de carburant made in Niger sont sortis fin 2011. Des champs à la raffinerie, sans oublier l’export, la China National Petroleum Corporation s’occupe de tout.
Des céréales au carburant, dans la deuxième agglomération du Niger, nombreux sont les produits qui viennent du Nigeria. Lorsque ce dernier vacille, tout se complique.
Début de la production pétrolière, nouvelle politique agricole, investissements soutenus, lutte contre la mauvaise gouvernance… Les bases de la relance se consolident et la croissance s’envole. Durablement ?