Le Raja Casablanca a subi dimanche 25 mars à Kumasi une humiliante défaite (0-5) face aux Ghanéens de Berekum Chelsea, en 16e de finale aller de la Ligue des champions. Bertrand Marchand, l’entraîneur du champion du Maroc, avance quelques explications, et assure que son équipe réagira lors du match retour le 7 avril.
Un sommet extraordinaire de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) s’est ouvert ce 27 mars à Abidjan, où sept chefs d’État de la région ont convergé. Objectif : tenter d’apporter une réponse décisive au coup d’État au Mali.
Macky Sall a largement remporté l’élection présidentielle au Sénégal, avec 65,8% des suffrages contre 34,2% pour le président sortant Abdoulaye Wade, selon les résultats provisoires rendus publics mardi 27 mars par la commission électorale. Consultez les résultats du second tour, région par région et département par département.
Au moins 23 personnes ont été exécutées suite à une condamnation à mort en Afrique en 2011, selon le rapport annuel d’Amnesty International. Si le bilan n’est que partiel puisque les chiffres de la Libye notamment ne sont pas disponibles, l’ONG a déclaré distinguer « d’importantes avancées ».
Week-end contrasté pour les stars sénégalaises évoluant en Europe: l’attaquant Papiss Cissé s’est fendu d’un doublé avec Newcastle contre West Bromwich Albion (3-1) alors que le défenseur Souleymane Diawara, victime d’une grave blessure à un genou avec Marseille, a vu sa saison se terminer.
Reportage à Gao au Mali. C’est là que l’armée a installé son QG. Là qu’affluent des milliers de réfugiés chassés par les combats. Là enfin que pourrait se jouer l’avenir de l’Azawad, ce vaste territoire du Nord où militaires et rebelles touaregs s’affrontent, depuis la mi-janvier.
Avant le sommet extraordinaire des chefs d’État de la Cedeao sur la crise au Mali, prévu ce 27 mars à Abidjan, le chef de la junte, le capitaine Amadou Haya Sanogo, a demandé aux pays de la région de « l’accompagner ». Les discussions en cours avec les partis politiques et la société civile doivent déboucher sur « des orientations » et « une équipe » chargée de les mettre en oeuvre. Il appelle également les leaders de la rébellion touarègue à la table des négociations.
C’est le premier entretien qu’il accorde à la presse depuis son élection. Porté à la tête de l’Assemblée nationale avec un score quasi soviétique, le 12 mars, Guillaume Soro savoure. Pour l’ancien chef rebelle devenu, en à peine dix ans, numéro deux de l’État ivoirien, c’est une consécration. Et un tremplin.
Les deux leaders politiques maliens Ibrahim Boubacar Keïta (RPM) et Soumaïla Cissé (URD) ont rencontré séparément Amadou Haya Sanogo, le leader de la junte qui a renversé le président Amadou Toumani Touré. Voici ce qu’ils assurent avoir dit au capitaine putschiste.
Célébrations de la révolution du 26 mars 1991 sous haute tension au Mali. Un rassemblement politique réclamant le départ de la junte menée par Amadou Haya Sanogo a réuni environ 2 000 personnes à la Bourse du travail de Bamako. Et dans le nord, la rébellion touarègue menace plus que jamais la ville stratégique de Kidal.
Aghaly Ag Alambo, l’ex-rebelle touareg, qui fut un proche de Kadhafi, a été arrêté au Niger. Il est soupçonné d’avoir organisé un trafic d’explosifs destinés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Avec la victoire de Macky Sall contre Abdoulaye Wade au second tour de la présidentielle, le Sénégal change de président mais aussi de première dame. Et, pour la première fois dans l’histoire du pays, c’est une Sénégalaise « pur jus », Marième Faye Sall, qui occupe le poste. Portrait.
Si les résultats officiels du second tour de la présidentielle sénégalaise n’ont pas encore été annoncés, la victoire de Macky Sall ne fait plus aucun doute. Elle a été actée par de nombreuses personnalités politiques, dont le président sortant Abdoulaye Wade.
Abdoulaye Wade, président sortant de la République du Sénégal, reconnaît officiellement la victoire de son ancien Premier ministre Macky Sall. Voici le texte de sa déclaration officielle.
Celui qu’Abdoulaye Wade appelait son « apprenti » a finalement remporté la présidentielle sénégalaise. Dimanche, l’ancien Premier ministre Macky Sall a été largement élu au second tour du scrutin. Si les résultats définitifs n’ont pas encore été annoncés, le sortant a reconnu sa défaite dès le soir du vote.
Sans même attendre l’annonce des premiers résultats provisoires, le président sortant Abdoulaye Wade a reconnu à la télévision nationale la victoire de son ancien Premier ministre, Macky Sall, au second tour de la présidentielle qui s’est tenu ce dimanche au Sénégal.
La junte au pouvoir au Mali était dimanche plus que jamais sous la menace de la rébellion touarègue au nord, et subissait les foudres d’une classe politique largement réunie et de la communauté internationale après le putsch contre Amadou Toumani Touré.
La France a exhorté dimanche le chef des putschistes maliens, Amadou Haya Sanogo, à revenir à l’ordre constitutionnel, sans réclamer explicitement un retour au pouvoir du président malien Amadou Toumani Touré (ATT), qu’elle se défend pourtant d’avoir lâché.
Les Sénégalais ont voté dimanche dans le calme au second tour de la présidentielle entre le chef de l’Etat sortant Abdoulaye Wade et son ex-Premier ministre Macky Sall, favori après avoir rallié toute l’opposition et une grande partie de la société civile.
De plus en plus isolés à l’étranger comme au Mali, les auteurs du putsch contre le président Amadou Toumani Touré tentaient samedi de mettre fin à la dangereuse incertitude dans le pays et de garder le contrôle de la situation face à une possible contre-offensive loyaliste.
Les Sénégalais votent dimanche pour le second tour de l’élection présidentielle devant départager le chef de l’Etat sortant Abdoulaye Wade et son ex-Premier ministre Macky Sall, qui, fort du soutien de toute l’opposition, part favori.
Des milliers de personnes ont assisté samedi à Conakry à un meeting de l’opposition pour « exiger » que les législatives prévues en juillet en Guinée soient « libres, transparentes et crédibles », a constaté un journaliste de l’AFP.
Un groupe islamiste armé touareg a affirmé samedi qu’il s’apprêtait à prendre Kidal, une des villes les plus importantes du nord-est du Mali, quatre jours après un coup d’Etat qui a renversé à Bamako le régime du président Amadou Toumani Touré.
Le chef de la junte au Mali, le capitaine Amadou Sanogo, a promis de relâcher sains et saufs les trois responsables des Affaires étrangères africains bloqués dans la capitale malienne Bamako après le coup d’Etat de jeudi, a indiqué samedi une source de l’Union africaine (UA).
Alors que des violences meurtrières ont fait au moins 6 morts et plus de 150 blessés fin février, le calme qui a regné dans les derniers jours de la campagne présidentielle paraît bien précaire. Les deux camps, ceux de Abdoulaye Wade et de Macky Sall, recrutent des gros bras, sans formation, qui n’entrent dans aucun cadre légal. Et qui sont prêts à en découdre dès que l’occasion se présentera.
Une coalition de dix partis politiques maliens a condamné samedi 24 mars le coup d’État militaire survenu jeudi à Bamako. Elle demande « que le rétablissement de la paix dans le nord du pays et l’organisation d’élections libres et transparentes soient les deux priorités de l’heure ». Le texte du communiqué.
Des appels au calme et à la transparence ont été lancés à la veille du second tour de la présidentielle de dimanche au Sénégal entre le chef de l’Etat sortant Abdoulaye Wade et son ex-Premier ministre Macky Sall, favori après avoir reçu le soutien de l’ensemble de l’opposition.
Le président sénégalais sortant, Abdoulaye Wade, et son ex-Premier ministre, Macky Sall, ont tenté vendredi de faire basculer, chacun dans son camp, les derniers électeurs indécis, très courtisés au dernier jour de la campagne pour le second tour de la présidentielle du 25 mars.