Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) était à Abidjan samedi pour y rencontrer le président Ouattara ainsi que le camp Gbagbo. Il a promis une enquête « impartiale » sur les crimes commis durant la crise post-électorale.
Comme Jean Ping à la tête de la Commission de l’UA, le Kenyan Erastus Mwencha souhaite se succéder à lui-même à la vice-présidence de cette institution. Et continuer son oeuvre de restructuration libérale.
Les dernières déclarations du procureur de la République faisaient état de 38 arrestations dont 27 militaires, après l’attaque le 19 juillet de la résidence privée du président guinéen Alpha Condé.
Pour éviter la dispersion des armes du régime déchu de Mouammar Kadhafi, l’administration américaine a dépéché 14 experts en Libye. Une cinquantaine d’autres suivront bientôt.
Alors que les résultats de plus de la moitié des bureaux de vote ont été communiqués par la commission électorale, l’opposition libérienne, dont le parti de Winston Tubman, s’est retiré samedi du processus électoral, dénonçant de « nombreuses fraudes ».
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), qui enquête sur les crimes commis durant la crise post-électorale en Côte d’Ivoire, doit rencontrer samedi à Abidjan le président Alassane Ouattara et les partisans du chef d’Etat déchu Laurent Gbagbo.
Les résultats de 50,3% des bureaux de vote ont été communiqués par la commission électorale. Avec 45,4% des suffrages exprimés, contre 29,5 pour son adversaire Winston Tubman, la présidente sortante Ellen Johnson Sirleaf accroît sont avance et se rapproche de la barre des 50% synonyme de victoire au premier tour de l’élection présidentielle au Liberia.
Dans son n°2649 en kiosques du 16 au 22 octobre, Jeune Afrique dresse le portrait des treize personnalités de tous bords épinglées par le dernier rapport de Human Rights Watch, publié le 6 octobre. D’un côté l’ancien président Laurent Gbagbo et sept de ses alliés… De l’autre, cinq membres des forces pro-Ouattara.
Ousmane Sy est ancien ministre et conseiller municipal de Bandiagara. Il s’insurge contre les consignes données par les pays occidentaux à leurs ressortissants pour dissuader ces derniers de faire du tourisme au Mali.
L’usine de la Famab-SMO, qui fabrique des aliments pour bétail et des oléagineux au Mali, se modernise. Elle se prépare à subvenir aux besoins du marché local, loin d’être comblés.
L’arrivée à la tête des Affaires étrangères de l’ex-chef des renseignements, en avril dernier, a décomplexé la diplomatie malienne. Un nouvel élan bienvenu.
Longtemps décriées pour leur vétusté et leur non-conformité aux normes internationales, les infrastructures du continent se modernisent. Et, de plus en plus, la tendance est à la privatisation de leur gestion.
Une vingtaine de prétendants se sont déclarés pour la présidentielle malienne de 2012. Parmi eux, trois poids lourds, entre lesquels la compétition promet d’être sans merci. Et qui ne devront négliger ni le charisme ni le soutien de certains outsiders.
Ibrahim Boubacar Keïta est le président du Rassemblement pour le Mali (RPM) et fait partie des candidats favoris pour succéder à Amadou Toumani Touré à la tête de l’État malien.
Soumaïla Cissé est le fondateur de l’Union pour la République et la démocratie (URD) et fait partie des candidats favoris pour succéder au président du Mali, Amadou Toumani Touré.
Ils ne sont pas favoris, et leurs scores risquent d’être anecdotiques. Pourtant, certains auront une influence majeure sur la présidentielle malienne à l’image de Hamed Sow, Jeamille Bittar, Mandani Tall ou encore Modibo Sidibé.
La composition de la Ceni suscite une polémique toute sémantique au Mali. Entretien avec Kassoum Tapo, président de la commission des lois de l’Assemblée nationale, député de la majorité.
Dernier chantier d’envergure président malien Amadou Toumani Touré : le projet de révision de la Constitution. Il pourrait être soumis à référendum en décembre ou janvier.
Fini le consensus. Conscient des enjeux d’une année électorale déterminante, le Mali tout entier redécouvre la politique. Des nombreuses formations diluées dans la mouvance présidentielle aux quelques leaders d’opposition, chacun reprend ses marques. Pendant que le chef de l’État, Amadou Toumani Touré peaufine son bilan.
L’arrestation du responsable socialiste Malick Noël Seck révèle que la tentation de la violence politique se fait de plus en plus forte au Sénégal. Le climat de tension est tel que les partis politiques recrutent de plus en plus de gros bras et de gardes du corps. Une situation qui n’augure rien de bon pour la présidentielle du 26 février 2012.
Si les prix de la dernière campagne ont redonné de l’espoir à une filière sinistrée, les perspectives sont encore trop incertaines pour crier victoire.
Les premiers résultats officiels provisoires placent la présidente sortante du Liberia, Ellen Johnson Sirleaf, en tête de la présidentielle avec 44,5% des voix, devant son principal adversaire, Winston Tubman, qui n’en récolte que 26,5%.
Le parti de Winston Tubman, principal rival à présidentielle d’Ellen Johnson Sirleaf, a dénoncé jeudi une possible fraude, quelques heures avant la publication de premiers résultats officiels par la commission électorale.
La Banque mondiale et le FMI continuent de soutenir les autorités ivoiriennes de Alassane Ouattara. Des aides qui ne sont cependant pas sans contrepartie.
Avec l’introduction de Money Express à la Bourse de Paris, le 29 septembre, son directeur général Ababacar Seck concrétise un rêve. Et, déjà, il ambitionne de faire de la start-up une multinationale.
Diffusée depuis trois ans sur la chaîne de télévision privée 2STV, l’émission « Khar bii » (mouton, en wolof) bat des records d’audience. Son objectif : l’élection du plus beau mouton du Sénégal, lors de la grande finale qui aura lieu le 29 octobre. Juste à temps pour la fête de la Tabaski (Aïd el-Adha ou Aïd el-Kebir) prévue les 6 ou 7 novembre.