Le Congrès national africain (ANC, au pouvoir) a renouvelé son soutien à son leader, Jacob Zuma accusé de corruption, suite à la décision de la Cour d’Appel de rouvrir le dossier judiciaire le concernant.
Le chef du parti au pouvoir en Afrique du Sud Jacob Zuma, qui est à nouveau pris dans la tourmente judiciaire à quelques mois des élections générales dont il est donné grand favori pour remporter la présidence, est un tribun aussi populaire que controversé.
APA-Johannesburg (Afrique du Sud) La Cour Suprême d’Afrique du Sud, siégeant à Bloemfontein, a exhumé le dossier des poursuites judiciaires pour corruption contre Jacob Zuma en prenant une décision d’annulation de la décision précédente invalidant les mêmes poursuites.
La Justice sud-africaine a rétabli lundi l’inculpation pour corruption contre le chef du parti au pouvoir Jacob Zuma, jetant une ombre sur sa candidature à la présidence lors des prochaines élections générales.
Une cour d’appel sud-africaine rendra aujourd’hui sa décision sur l’invalidation des poursuites à l’encontre du chef du parti au pouvoir et favori à la présidence, Jacob Zuma, qui était accusé de corruption.
La Cour suprême d’appel sud-africaine a ouvert la voie à la reprise des poursuites pour corruption contre le chef du parti au pouvoir (ANC) et favori à la prochaine présidentielle Jacob Zuma, en annulant une décision de première instance qui avait invalidé la procédure.
Le manifeste électoral de l’ANC est « long en promesses et manque de crédibilité », a déclaré la présidente de la DA, Helen Zille, peu après de lancement de ce document par le parti au pouvoir.
L’ancien président sud-africain, Nelson Mandela, a maintenu une certaine distance vis-à-vis des troubles politiques actuelles au sein du Congrès national africain (ANC, parti au pouvoir), même lors du lancement du manifeste électoral du parti dans la province du Cap Oriental.
Le prix Nobel de la Paix sud-africain Desmond Tutu a appelé les Sud-Africains à jeûner symboliquement par solidarité avec les Zimbabwéens qui souffrent de la faim.
Le chef du parti au pouvoir en Afrique du Sud Jacob Zuma a lancé samedi devant des milliers de supporteurs à East London (sud) la campagne de l’ANC, en présentant son programme quelques mois avant un scrutin perçu comme le plus important depuis la fin de l’apartheid en 1994.
Le chef du parti au pouvoir en Afrique du Sud Jacob Zuma a lancé devant des milliers de supporteurs à East London (sud) la campagne du Congrès national africain (ANC) quelques mois avant un scrutin perçu comme le plus important depuis la fin de l’apartheid en 1994.
Le parti au pouvoir en Afrique du Sud, le Congrès national africain (ANC), a lancé samedi sa campagne électorale quelques mois avant un scrutin décisif pour cette formation qui sera confrontée, pour la première fois depuis la fin de l’apartheid en 1994, à une concurrence sérieuse.
Une réunion du Congrès national africain au cours de laquelle, le Président de l’ANC Jacob Zuma devait s’exprimer, a été perturbée par les membres du Parti de l’opposition, Inkatha Freedom IFP.
Un Sud-Africain, membre du comité d’organisation (LOC) du Mondial-2010, qui avait dénoncé un scandale de corruption autour de la construction d’un stade, a été tué par balles, a-t-on appris de source officielle.
Des membres d’une tribu yéménite ont enlevé une Sud-Africaine et ses deux fils dans le sud du pays et réclamé la libération d’un proche détenu par la police, a indiqué un responsable de la sécurité à l’AFP.
Des chefs tribaux yéménites mènent des négociations visant à obtenir la libération d’une touriste sud-africaine et de ses deux fils, au lendemain de leur enlèvement dans le sud du pays, a indiqué samedi à l’AFP un responsable des services de sécurité.
La Fondation Helen Suzman, du nom de l’infatigable combattante contre le régime de l’Apartheid, décédée jeudi à Johannesbourg à l’âge de 91 ans, a déclaré que « sa vie doit être magnifiée et sa mort déplorée ».
L’ancienne députée anti-apartheid , devenue observatrice avisée de la vie politique sud-africaine après l’avènement de la démocratie multiraciale, est décédée à l’âge de 91 ans à son domicile de Johannesburg.
Le Nobel de la Paix sud-africain Desmond Tutu a demandé l’organisation de funérailles officielles pour l’ancienne députée anti-apartheid , décédée la veille à 91 ans, estimant que le pays avait « une immense dette » envers cette « héroïne ».