Premier pollueur du continent africain, et quatorzième au rang mondial selon Greenpeace, l’Afrique du Sud va mettre en place dès le 1er juin cette mesure écologique destinée à lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. Une première sur le continent.
En raison d’une « rupture importante de confiance », le PDG du groupe d’assurance Old Mutual, vient d’être écarté de ses fonctions par le conseil d’administration du groupe.
Cyril Ramaphosa a été reconduit sans surprise à la tête du pays, mercredi, après la victoire aux législatives de son parti, le Congrès national africain (ANC). Il a promis de « restaurer l’espoir » dans un pays « accablé » par le chômage et les inégalités.
Si l’ANC a remporté les élections générales du 8 mai, son socle électoral s’effrite dangereusement. Le président Cyril Ramaphosa réussira-t-il à réformer son parti pour renverser la tendance ?
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a assuré dimanche que son parti le Congrès national africain (ANC) allait «tirer les leçons» de sa victoire en demi-teinte aux législatives du 8 mai et promis de créer des emplois et d’éradiquer la corruption.
La Commission électorale sud-africaine (IEC) doit confirmer samedi le succès en demi-teinte du Congrès national africain (ANC) aux élections législatives, qui offre un mandat fragile au président Cyril Ramaphosa pour sortir le pays de la crise.
Avec près d’un an et demi de retard, le groupe sud-africain Steinhoff, englué dans un scandale d’irrégularités comptables, vient de publier ses résultats financiers pour l’année 2017. Au compteur : 4,14 milliards de dollars de pertes.
Le Congrès national africain (ANC) semblait assuré de remporter les élections législatives selon des résultats provisoires jeudi mais avec un score en net recul qui va compliquer la tâche du président Cyril Ramaphosa pour réformer le pays.
Le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis 1994 en Afrique du Sud, arrive en tête des élections législatives, selon des premiers résultats partiels présentés ce jeudi par la Commission électorale indépendante, portant sur près d’un quart des districts du pays.
Les Sud-Africains votaient mercredi pour des élections législatives et régionales dont le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis 1994, devrait encore sortir vainqueur malgré le chômage, la corruption et la pauvreté qui gangrènent le pays.
Le leader des Combattants pour La liberté économique (EFF), a mené une campagne à son image : tonitruante. Si son parti n’a que très peu de chance de remporter la majorité face à une ANC toute puissante, Julius Malema s’est forgé un statut d’incontournable, à coups de diatribes radicales contre des élites corrompues coupables à ses yeux d’avoir creusé les inégalités sociales.
Piliers économiques du secteur tertiaire, MTN et Airtel sont en passe de concrétiser l’introduction en bourse de leurs filiales africaines, au Nigeria Stock Exchange pour MTN Nigeria et à la bourse de Londres pour Airtel Africa.
Alors que le groupe sud-africain Massmart compte ouvrir 43 magasins d’ici 2021, dont 13 hors des frontières du pays, le directeur général du groupe, Guy Hayward, a annoncé son départ.
Un quart de siècle après la fin de l’apartheid, la question raciale est encore marqueur politique fort entre les trois principaux partis sud-africains.
Le groupe français Total vient de dévoiler un accord lui permettant de contrôler les actifs d’Anadarko en Afrique, si ce dernier choisit d’être racheté par son compatriote américain Occidental Petroleum, face à son concurrent Chevron.
Les Sud-Africains sont appelés aux urnes mercredi pour les premières élections générales depuis le départ de Jacob Zuma et l’arrivée au pouvoir de Cyril Ramaphosa, en février 2018. Bien que favori à sa propre réélection, Ramaphosa et son parti l’ANC restent vivement critiqués pour la lenteur de la réforme agraire, censée réparer les inégalités héritées de l’Apartheid.
Le Congrès national africain (ANC – au pouvoir en Afrique du Sud) et la gauche radicale en pleine progression ont fait une démonstration de force dimanche en réunissant des dizaines de milliers de partisans avant les élections législatives et provinciales de mercredi.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa, chef du Congrès national africain (ANC), a assuré dimanche que la victoire était « certaine » lors des élections générales de mercredi, malgré les « erreurs » commises par son parti.
Le chef du principal parti de l’opposition en Afrique du Sud, Mmusi Maimane, a appelé samedi à « donner une chance au changement » lors des élections générales de mercredi, dans un pays dirigé depuis un quart de siècle par le Congrès national africain (ANC).
Nelson Mandela était peintre à ses heures perdues. C’est en ce mois de mai 2019 que son œuvre la plus personnelle, représentant la porte de sa cellule à la prison de Robben Island, est mise aux enchères…
Vingt-cinq ans après les premières élections multiraciales en Afrique du Sud, le paysage politique du pays reste dominé par l’ANC. Donné favori aux élections générales du 8 mai prochain, le parti historique de la lutte contre l’apartheid devra néanmoins convaincre sur sa politique économique, un défi loin d’être gagné selon Thierry Vircoulon, spécialiste de l’Afrique australe.
Il y a 25 ans jour pour jour, l’Afrique du Sud organisait ses premières élections démocratiques, mettant un point final à l’apartheid. Un quart de siècle plus tard, la population n’est pourtant « pas libre » à cause de la pauvreté qui gangrène le pays, a déploré le président Cyril Ramaphosa.
Le 27 avril 1994, les premières élections multiraciales consacraient la fin de l’apartheid. Un quart de siècle plus tard, les tensions raciales persistent pourtant en Afrique du Sud.
En Afrique du Sud, 25 ans après la prestation de serment du président Nelson Mandela, la désillusion ambiante n’a rien d’une nostalgie amnésique. Les faits démontrent que les espoirs suscités par « Madiba » ont été légitimement déçus.
Retiré de la scène politique, Jay Naidoo, figure de la lutte anti-apartheid, n’en a pas pour autant perdu sa verve révolutionnaire. Vingt-cinq ans après l’élection de Nelson Mandela, le 27 avril 1994, celui qui fut son ministre continue à dénoncer un système gangrené par la corruption et la mauvaise gouvernance.
Dans deux semaines, les Sud-Africains sont appelés à élire leur président. Comme depuis 1994, la victoire semble assurée au parti au pouvoir, l’African National Congress, et son candidat Cyril Ramaphosa. Et comme depuis une quinzaine d’années déjà, c’est dans la rue que se noue la relation toute particulière que le mouvement de libération entretient avec ces partisans.
L’élection en avril 1994 de son premier président noir, Nelson Mandela, a suscité d’immenses espoirs dans une Afrique du Sud meurtrie par plusieurs décennies de répression sous l’apartheid. Vingt cinq ans plus tard, beaucoup ont été déçus.
Même divisé, l’ANC devrait remporter aisément les élections générales du 8 mai. Essentiellement grâce à Cyril Ramaphosa, un leader aussi doué qu’insaisissable.
Le président français à prévu de se rendre en Afrique du Sud début 2020. Cyril Ramaphosa sera pour sa part en France, fin août, où il a été invité pour le G7.
Le président Cyril Ramaphosa a beau promettre le grand ménage, rien n’y fait. À moins d’un mois des élections générales en Afrique du Sud, les scandales de corruption n’en finissent pas de pourrir la campagne de son parti, le Congrès national africain (ANC).