Avec près d’un an et demi de retard, le groupe sud-africain Steinhoff, englué dans un scandale d’irrégularités comptables, vient de publier ses résultats financiers pour l’année 2017. Au compteur : 4,14 milliards de dollars de pertes.
Le Congrès national africain (ANC) semblait assuré de remporter les élections législatives selon des résultats provisoires jeudi mais avec un score en net recul qui va compliquer la tâche du président Cyril Ramaphosa pour réformer le pays.
Le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis 1994 en Afrique du Sud, arrive en tête des élections législatives, selon des premiers résultats partiels présentés ce jeudi par la Commission électorale indépendante, portant sur près d’un quart des districts du pays.
Les Sud-Africains votaient mercredi pour des élections législatives et régionales dont le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis 1994, devrait encore sortir vainqueur malgré le chômage, la corruption et la pauvreté qui gangrènent le pays.
Le leader des Combattants pour La liberté économique (EFF), a mené une campagne à son image : tonitruante. Si son parti n’a que très peu de chance de remporter la majorité face à une ANC toute puissante, Julius Malema s’est forgé un statut d’incontournable, à coups de diatribes radicales contre des élites corrompues coupables à ses yeux d’avoir creusé les inégalités sociales.
Piliers économiques du secteur tertiaire, MTN et Airtel sont en passe de concrétiser l’introduction en bourse de leurs filiales africaines, au Nigeria Stock Exchange pour MTN Nigeria et à la bourse de Londres pour Airtel Africa.
Alors que le groupe sud-africain Massmart compte ouvrir 43 magasins d’ici 2021, dont 13 hors des frontières du pays, le directeur général du groupe, Guy Hayward, a annoncé son départ.
Un quart de siècle après la fin de l’apartheid, la question raciale est encore marqueur politique fort entre les trois principaux partis sud-africains.
Le groupe français Total vient de dévoiler un accord lui permettant de contrôler les actifs d’Anadarko en Afrique, si ce dernier choisit d’être racheté par son compatriote américain Occidental Petroleum, face à son concurrent Chevron.
Les Sud-Africains sont appelés aux urnes mercredi pour les premières élections générales depuis le départ de Jacob Zuma et l’arrivée au pouvoir de Cyril Ramaphosa, en février 2018. Bien que favori à sa propre réélection, Ramaphosa et son parti l’ANC restent vivement critiqués pour la lenteur de la réforme agraire, censée réparer les inégalités héritées de l’Apartheid.
Le Congrès national africain (ANC – au pouvoir en Afrique du Sud) et la gauche radicale en pleine progression ont fait une démonstration de force dimanche en réunissant des dizaines de milliers de partisans avant les élections législatives et provinciales de mercredi.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa, chef du Congrès national africain (ANC), a assuré dimanche que la victoire était « certaine » lors des élections générales de mercredi, malgré les « erreurs » commises par son parti.
Le chef du principal parti de l’opposition en Afrique du Sud, Mmusi Maimane, a appelé samedi à « donner une chance au changement » lors des élections générales de mercredi, dans un pays dirigé depuis un quart de siècle par le Congrès national africain (ANC).
Nelson Mandela était peintre à ses heures perdues. C’est en ce mois de mai 2019 que son œuvre la plus personnelle, représentant la porte de sa cellule à la prison de Robben Island, est mise aux enchères…
Vingt-cinq ans après les premières élections multiraciales en Afrique du Sud, le paysage politique du pays reste dominé par l’ANC. Donné favori aux élections générales du 8 mai prochain, le parti historique de la lutte contre l’apartheid devra néanmoins convaincre sur sa politique économique, un défi loin d’être gagné selon Thierry Vircoulon, spécialiste de l’Afrique australe.
Il y a 25 ans jour pour jour, l’Afrique du Sud organisait ses premières élections démocratiques, mettant un point final à l’apartheid. Un quart de siècle plus tard, la population n’est pourtant « pas libre » à cause de la pauvreté qui gangrène le pays, a déploré le président Cyril Ramaphosa.
Le 27 avril 1994, les premières élections multiraciales consacraient la fin de l’apartheid. Un quart de siècle plus tard, les tensions raciales persistent pourtant en Afrique du Sud.
En Afrique du Sud, 25 ans après la prestation de serment du président Nelson Mandela, la désillusion ambiante n’a rien d’une nostalgie amnésique. Les faits démontrent que les espoirs suscités par « Madiba » ont été légitimement déçus.
Retiré de la scène politique, Jay Naidoo, figure de la lutte anti-apartheid, n’en a pas pour autant perdu sa verve révolutionnaire. Vingt-cinq ans après l’élection de Nelson Mandela, le 27 avril 1994, celui qui fut son ministre continue à dénoncer un système gangrené par la corruption et la mauvaise gouvernance.
Dans deux semaines, les Sud-Africains sont appelés à élire leur président. Comme depuis 1994, la victoire semble assurée au parti au pouvoir, l’African National Congress, et son candidat Cyril Ramaphosa. Et comme depuis une quinzaine d’années déjà, c’est dans la rue que se noue la relation toute particulière que le mouvement de libération entretient avec ces partisans.
L’élection en avril 1994 de son premier président noir, Nelson Mandela, a suscité d’immenses espoirs dans une Afrique du Sud meurtrie par plusieurs décennies de répression sous l’apartheid. Vingt cinq ans plus tard, beaucoup ont été déçus.
Même divisé, l’ANC devrait remporter aisément les élections générales du 8 mai. Essentiellement grâce à Cyril Ramaphosa, un leader aussi doué qu’insaisissable.
Le président français à prévu de se rendre en Afrique du Sud début 2020. Cyril Ramaphosa sera pour sa part en France, fin août, où il a été invité pour le G7.
Le président Cyril Ramaphosa a beau promettre le grand ménage, rien n’y fait. À moins d’un mois des élections générales en Afrique du Sud, les scandales de corruption n’en finissent pas de pourrir la campagne de son parti, le Congrès national africain (ANC).
À 48 ans, ce Sud-Africain, diplômé de l’université de Cape Town et de Harvard, a passé treize ans au sein du groupe Old Mutual Ltd. Après avoir dirigé Liberty Holdings pendant trois ans et cofondé son holding d’investissement Sithega Holdings, il est nommé directeur non exécutif et président du conseil d’administration d’African Bank.
Matshepo More vient d’être suspendue de la direction générale du fonds de gestion PIC, un poste qu’elle occupait par intérim depuis novembre 2018. Le fonds sud-africain évoque une « mesure préventive » afin d’éviter des interférences dans l’enquête actuellement en cours.
Nommé CEO par intérim à la suite du départ à la retraite de Maria Ramos, ce Sud-Africain de 61 ans, membre du conseil d’administration de la banque depuis 2017, a pris ses fonctions le 1er mars. Diplômé des universités de Johannesburg et d’Afrique du Sud, il a commencé sa carrière chez KPMG et a passé dix ans chez NedBank Group.
Des fausses transactions, à hauteur de 6,5 milliards d’euros, pour gonfler artificiellement la valeur de l’entreprise : c’est le résultat de l’enquête de quatorze mois menée par PwC, après l’effondrement spectaculaire du géant sud-africain de la distribution Steinhoff. La direction actuelle pointe la responsabilité de Markus Jooste, l’ancien directeur général.
Eskom a initié le 14 mars un cycle de coupures de courant sur l’ensemble du réseau national, qui doit durer au moins jusqu’au 17 mars. La compagnie nationale de production et de distribution d’électricité est en proie à de graves difficultés financières qui pèsent sur l’économie nationale.