Le président sud-africain a débuté officiellement son second mandat. Au cours de la cérémonie, il a souligné que le pays entrait dans « une nouvelle ère ».
Au pouvoir depuis 2018, le chef de l’État sud-africain a été réélu par les députés pour un second mandat, malgré la déroute électorale de son parti. Il sera investi mercredi.
Fragilisé après le recul historique du Congrès national africain (ANC) lors des élections générales du 29 mai, Cyril Ramaphosa est tout de même parvenu à se faire réélire à la tête de l’Afrique du Sud. Le nouveau gouvernement, fruit d’une alliance inédite entre l’ANC et la DA libérale, gravitera « autour du centre ».
Les pourparlers se poursuivent entre partis pour former un gouvernement de coalition, alors que le nouveau Parlement élira vendredi 14 juin le prochain président sud-africain. Cyril Ramaphosa espère être reconduit.
En Afrique du Sud, la perte d’influence du Congrès national africain, soutien traditionnel du Zimbabwe, pourrait induire des changements diplomatiques, en même temps qu’elle signe la fin de la toute-puissance des derniers mouvements de libération d’Afrique australe.
Après avoir perdu la majorité absolue lors des élections générales du 29 mai, le Congrès national africain (ANC) cherche des partenaires pour pouvoir gouverner le pays. Le compte à rebours a commencé.
C’est ce vendredi 14 juin que les nouveaux députés se réuniront, à l’occasion de la première session de l’Assemblée nationale, pour élire le prochain président d’Afrique du Sud.
En à peine six mois d’existence, l’uMkhonto We Sizwe (MK) est devenu la troisième force politique d’Afrique du Sud, ainsi qu’en témoignent les résultats des élections du 29 mai.
Zizi Kodwa, membre éminent du Congrès national africain (ANC), a comparu mercredi devant un tribunal de Johannesburg dans le cadre d’une vaste enquête sur l’ère de l’ex-président Jacob Zuma, au moment où son parti cherche une coalition après son revers aux élections générales.
Face à un ANC à bout de souffle, le parti de l’ancien président a fait une percée électorale en tenant un discours réactionnaire et anti-démocratique. Décryptage.
Longtemps considéré comme politiquement fini, l’ancien président de l’Afrique du Sud a réussi son pari en captant la lumière, lors des élections du 29 mai. Un pouvoir de nuisance plus qu’une perspective de retour aux affaires ?
Qui va gouverner l’Afrique du Sud ? Sans majorité claire au Parlement, une coalition entre de grands partis pourrait voir le jour. Et possiblement entre l’ANC et l’Alliance démocratique. The Africa Report a pu s’entretenir avec la cheffe de file de ce parti, Helen Zille.
Coup de tonnerre en Afrique du Sud : après trente ans de règne, le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis l’avènement de la démocratie et l’élection de Nelson Mandela en 1994, a perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale.
L’ANC, au pouvoir depuis trente ans, se dirige vers un revers historique aux législatives : les résultats à 85% du dépouillement annoncent la perte de sa majorité absolue à l’Assemblée et l’obligation de former un gouvernement de coalition.
L’ANC est donnée en tête des élections générales, mais d’une très courte avance. Pour la première fois depuis la fin de l’apartheid, le parti devrait, selon toute vraisemblance, perdre sa majorité au Parlement, selon des résultats encore partiels. Le décompte continue, mais déjà se pose la question de l’avenir du président actuellement en poste.
La cantatrice sud-africaine est en tournée en Europe, un an après avoir chanté à l’occasion du couronnement du roi Charles III, au Royaume-Uni. Très appréciée dans le milieu, elle a aussi su gagner l’affection du public.
Le décompte des voix se poursuit ce 30 mai, au lendemain d’élections générales cruciales pour le parti au pouvoir. Pour la première fois de son histoire, la formation de Cyril Ramaphosa pourrait perdre sa majorité absolue.
L’australien BHP a renoncé à faire une offre ferme de rachat sur son rival Anglo American, et à son projet de former un titan du cuivre, suite au refus de ce dernier de poursuivre les discussions.
Deuxième province en termes d’électeurs, le KwaZulu-Natal aura été au centre des attentions des partis qui se présentent aux élections générales du 29 mai. Reportage à Nongoma, dans le Zululand.
Les Sud-Africains sont appelés aux urnes le 29 mai pour un scrutin qui compte pour la composition de l’Assemblée nationale et des gouvernements provinciaux.
Le leader des Combattants pour la liberté économique (EFF) séduit autant qu’il effraie par sa radicalité. Il vise pourtant à rassembler au-delà de sa base électorale en vue des élections générales du 29 mai.
L’ANC au pouvoir mise sur son dernier grand meeting, ce samedi, pour rallier les indécis, jouant sur la carte sensible des progrès accomplis depuis la fin de l’apartheid. Les partis d’opposition déploient eux aussi les grands moyens en ce dernier week-end précédant le scrutin du 29 mai.
La province, défavorablement connue pour les meurtres de conseillers municipaux, connait une campagne électorale paisible avant le scrutin national du 29 mai.
Le minier britannique, qui a refusé la seconde offre de 38 milliards de livres de BHP, vient de lui accorder une semaine pour faire une offre définitive. Un nouveau développement dans cette série qui tient en haleine le marché minier mondial.
Pour le deuxième mois consécutif, l’inflation en Afrique du Sud a légèrement baissé à 5,2 % en avril, contre 5,3 % en mars, à une semaine d’élections générales décisives pour le parti au pouvoir.
Avant les élections du 29 mai, l’Alliance démocratique fait de la région du Cap-Occidental et de la ville du Cap, qu’elle dirige, l’exemple de ce que le pays pourrait devenir si elle était au pouvoir.
Pretoria, qui accuse Israël de commettre un « génocide » à Gaza, a de nouveau saisi la Cour internationale de justice, le 10 mai. Pourquoi l’Afrique du Sud se fait-elle ainsi le porte-voix de la cause palestinienne ? Décryptage en vidéo.