Le Brésil, ancien partenaire commercial et politique de plusieurs pays africains, pourrait décider d’abandonner définitivement le continent avec l’élection du nouveau président d’extrême droite. Ses déclarations choc et ouvertement racistes continuent à faire polémique, au Brésil comme en Afrique.
Pour Julius Malema, le président des Economic Freedom Fighters (EFF, gauche radicale), l’arrivée au pouvoir de Cyril Ramaphosa, en février dernier, « n’a rien changé ». Interview.
Les représentants des sept principaux partis de l’opposition congolaise ont signé le 25 octobre un communiqué, au terme de deux jours de discussions, dans lequel ils s’engagent à désigner un candidat commun en vue de la présidentielle avant le 15 novembre. Ils ne boycotteront pas ce scrutin prévu pour le 23 décembre, affirment-ils également.
Richard Brasher, directeur général de Pick n Pay et Pieter Engelbrecht, directeur général de Shoprite, se livrent une concurrence acharnée dans le secteur de la distribution sur le continent.
Le nouveau ministre sud-africain des Finances, Tito Mboweni, a confirmé mercredi 24 octobre devant le Parlement la mauvaise passe économique que traverse le pays.
Les grands partis de l’opposition congolaise se réunissent depuis mercredi à Johannesburg. À l’origine de cette initiative, une discrète ONG sud-africaine, dirigée par d’anciens négociateurs de la fin de l’apartheid.
Une adaptation théâtrale du roman d’André Brink, « Au plus noir de la nuit », ressuscite l’injustice et la folie du régime de Pretoria, l’apartheid en contant l’impossible idylle entre un Noir et une Blanche.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a symboliquement rendu dimanche ses terres à une population noire qui en avait été dépossédée sous l’apartheid, et promis d’accélérer ce type de transfert dans le cadre de sa future réforme agraire.
Roelof « Pik » Botha , ancien ministre sud-africain des Affaires étrangères pendant l’apartheid ségrégationniste (1948-1991), est décédé à Pretoria à l’âge de 86 ans.
Le ministre sud-africain des Finances, Nhlanhla Nene, a démissionné mardi 9 octobre après sa mise en cause dans une enquête pour corruption. Son successeur a été nommé et investi dans la même journée.
Les appels à la démission du ministre sud-africain des Finances, Nhlanhla Nene, se sont multipliés depuis qu’il a reconnu s’être entretenu avec les sulfureux Gupta, hommes d’affaires proches de l’ex-président Jacob Zuma accusés d’avoir détourné des fonds publics. Il est également visé par une enquête.
Il y a deux ans, le géant britannique évoquait la cession de la plupart de ses actifs dans la nation Arc-en-Ciel. La remontée des cours rend ces opérations délicates moins urgentes.
Sept mois après son accession au pouvoir en Afrique du Sud, l’état de grâce est déjà terminé pour le président Cyril Ramaphosa. L’économie est en récession, sa réforme agraire suscite des résistances, et il ne contrôle pas totalement l’ANC.
Nhlanhla Nene, le ministre sud-africain des Finances, a apporté mercredi un témoignage supplémentaire au flot de révélations sur les turpitudes de l’ex-président du pays Jacob Zuma. Il a expliqué avoir été congédié du gouvernement pour s’être opposé à un juteux contrat nucléaire avec la Russie.
Si le Royaume-Uni, l’Australie ou les États-Unis restent en tête des pays d’émigration pour les fermiers sud-africains blancs, une nouvelle destination semble émerger : la Russie. Ils y sont accueillis à bras ouverts, sur fond de mythe d’un « génocide blanc » en cours en Afrique du Sud.
En jugeant « anticonstitutionnelle » la législation actuelle, la justice sud-africaine vient de décriminaliser la consommation du cannabis par des adultes à titre privé.
La justice sud-africaine a décriminalisé mardi la consommation de la marijuana à titre personnel pour les adultes, épilogue judiciaire d’un dossier qui suscite la polémique depuis des années dans le pays.
Artistes, scribes ou simples gribouilleurs ? Les premiers dessinateurs pourraient être africains. C’est dans une grotte d’Afrique du Sud qu’à été découvert le plus ancien exemple de dessin abstrait, exécuté sur de la roche siliceuse.
Le géant pétrolier chinois Sinopec et son rival suisse Glencore, associé à des actionnaires noirs et minoritaires, s’affrontent pour le rachat de Chevron South Africa.
Cyril Ramaphosa a défendu mardi 11 septembre son projet de réforme agraire devant le Parlement. Le président sud-africain écarte tout risque de sanctions internationales sur ce texte, qui prévoit des expropriations sans indemnisation au profit de la majorité noire.
Basée en Afrique du Sud, la start-up Yoco, dont le cœur de métier est les terminaux de paiements et les logiciels de caisse, vient de lever 16 millions d’euros, au terme d’un tour de table mené par le fonds Partech Africa.
L’application Wala, lancée en avril dernier, permet aux utilisateurs de transférer de l’argent gratuitement de téléphone portable à téléphone portable. Présents en Afrique du Sud, en Ouganda et au Zimbabwe, ses concepteurs ont de grandes ambitions : « Pousser une population entière à passer de l’argent liquide au digital ».
L’Afrique du Sud a annoncé le 4 septembre un recul de son produit intérieur brut (-0,7%) pour le second trimestre consécutif. Le pays replonge pour la seconde fois en deux ans dans la récession, illustrant ainsi une fragilité récurrente.
Au nom de la défense des droits légitimes de la minorité afrikaner, des groupes d’extrême droite agitent le spectre d’une guerre raciale, parvenant même à se faire entendre jusqu’à Washington.
La commission d’enquête du Parlement sud-africain a débuté ses auditions sur l’affaire Steinhoff par le témoignage des dirigeants du groupe. Selon eux, le groupe a réussi à éviter la faillite grâce à un accord avec ses créanciers, qui ouvre la voie à une restructuration de sa dette. L’ex-DG Markus Jooste doit être entendu prochainement.
En remettant sur les rails la réforme agraire et en se faisant le chantre d’un rééquilibrage des inégalités héritées de l’apartheid, Cyril Ramaphosa a coupé l’herbe sous le pied du très remuant Julius Malema.
Dans un tweet s’inquiétant des « confiscations de terres » et des « meurtres à grande échelle de fermiers blancs » en Afrique du Sud, le président américain Donald Trump reprend une théorie du complot devenue un marronnier dans les cercles d’extrême-droite.