Pour la ministre sud-africaine des Affaires étrangères, Maite Nkoana-Mashabane, il serait juste que la candidate de l’Afrique australe – la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma – succède à Jean Ping à la tête de la Commission de l’Union africaine (UA), en juillet.
À la tête des principales filiales du groupe sud-africain MTN, Ahmad Farroukh, un expert-comptable libanais, doit optimiser leur rentabilité opérationnelle.
Au départ, une simple manifestation d’élèves pour protester contre une décision administrative. À l’arrivée, un massacre qui va choquer la conscience universelle et affaiblir le système d’apartheid. Récit de la journée de révolte du 16 juin 1976 à Soweto. Et du crime contre l’humanité commis par les autorités sud-africaines de l’époque.
Comme chez les présidents occidentaux, les déclarations de patrimoine font leur apparition sur le continent. Mais le flou entoure encore la rémunération totale.
La politique a horreur du vide. Comme les anciens présidents sont aux abonnés absents, de nouvelles figures de la contestation malgache apparaissent, dont la turbulente journaliste Lalatiana Rakotondrazafy.
L’ex-femme de Jacob Zuma s’accroche à sa candidature à la tête de la Commission de l’Union africaine. Le bras de fer continue donc avec le président sortant, le Gabonais Jean Ping.
Soupçonné de corruption en Iran, l’opérateur MTN faisait déjà l’objet d’une plainte aux États-Unis. Le voici désormais l’objet d’une enquête de la part des « faucons », une unité d’élite sud-africaine.
C’est l’oeuvre par laquelle le scandale est arrivé. Exposée à Johannesburg, elle met en scène le chef de l’État sud-africain Jacob Zuma et a déclenché une violente controverse. Un article paru dans J.A. n°2681, daté du 27 mai au 2 juin 2012.
Dans le principal hôpital de Soweto, Nandi serre sa petite fille dans ses bras. Elle est séropositive, mais l’enfant a été épargnée, grâce à un programme gouvernemental qui a permis de réduire de façon spectaculaire la transmission du VIH de la mère à l’enfant.
Le tennis n’est assurément pas le sport le plus pratiqué d’Afrique. Les joueurs du continent sont donc peu nombreux à participer, à partir de dimanche 27 mai, à la grand messe du tennis sur la terre battue ocre de Roland Garros, à Paris. Jeune Afrique fait les présentations des trois seuls Africains du tournoi, les Sud-Africains Kevin Anderson et Chanelle Scheepers et le Tunisien Malek Jaziri.
Chris Mahlangu, un jeune ouvrier agricole, a été reconnu coupable du meurtre d’Eugène Terreblanche, le sud-africain fondateur d’un mouvement pro-apartheid, retrouvé battu à mort dans sa ferme en 2010. Il risque la peine capitale, tandis que son coaccusé à lui, seulement été reconnu coupable de cambriolage.
La peinture polémique, qui représente le président sud-africain Jabob Zuma avec les parties génitales exhibées, a été vandalisée mardi 22 mai, dans la Goodman Gallery de Johannesburg. La zone de la toile représentant le sexe du président est désormais recouverte de peinture noire et rouge.
Les chefs d’État accueillent diversement l’alternance française. Si le Nigérien Mahamadou Issoufou et le Guinéen Alpha Condé sont tout sourire, leurs homologues d’Afrique centrale se méfient de François Hollande.
Le ton monte en Afrique du Sud entre le Congrès national africain (ANC) et la Goodman Gallery de Johannesburg. Le parti au pouvoir s’est insurgé contre une œuvre de l’artiste Brett Murray qui y est exposée. Elle représente le chef de l’État, Jacob Zuma, dans une posture à la Lénine et le pénis exhibé. L’ANC a décidé de porter l’affaire devant les tribunaux
L’ancien président sud-africain, Frederik de Klerk, a tenté d’éteindre, dans un communiqué publié mercredi 16 mai, la polémique née de son refus de s’excuser pour la politique des bantoustans, territoires assignés aux Noirs durant l’apartheid. Pour l’ancien président, il s’agit d’un malentendu.
La France connaît le nom de son nouveau Premier ministre. Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale et maire de Nantes, remplace François Fillon à Matignon. Ses atouts : sa germanophilie et, peut-être, ses relations avec l’Afrique de l’Ouest.
Réunis lundi 14 mai à Cotonou, les huit dirigeants du comité ad hoc de l’Union africaine ne sont pas parvenus à trouver une solution face à l’épineuse question du choix d’un nouveau président de la Commission. L’Afrique du Sud et le Gabon ne veulent pas renoncer à leur candidats respectif. Et l’organisation continentale n’a pas l’air prête de sortir du blocage de ses institutions.
Né au Sénégal, Momar Nguer, le directeur marketing et distribution pour l’Afrique et le Moyen-Orient, est le premier Africain à accéder à un tel niveau de responsabilité au sein du groupe français Total.
Des experts ont recommandé, jeudi 10 mai, la mise sur le marché d’un traitement préventif contre le Sida, malgré les craintes de certaines associations. Ces dernières redoutent que la mise en vente d’un tel médicament implique des comportements sexuels plus risqués.
Le président Bongo Ondimba souhaite investir 18 milliards d’euros en cinq ans via l’Agence nationale des grands travaux. C’est deux fois plus que ce qu’il avait annoncé en octobre.
L’Afrique subsaharienne voit l’écart se creuser entre sa demande et sa production. Une opportunité pour les compagnies sucrières, qui commencent à se redéployer, notamment au Nigeria.
Comme au premier tour, les électeurs français d’Afrique ont apporté majoritairement leur suffrage à François Hollande le 6 mai 2012. Le candidat socialiste termine en effet en tête avec 56,68% des voix sur le continent, selon les chiffres du ministère des affaires étrangères français, devant Nicolas Sarkozy avec 43,32%. Les résultats de la présidentielle française pays par pays.
Malgré la chute des prix des communications, le géant sud-africain MTN, leader sur le continent, garde la confiance des analystes. Il promet d’importants investissements pour préparer l’avenir.
Sous le triple effet d’une concurrence accrue, de la baisse des prix et d’un ralentissement de la hausse du nombre d’abonnés, les opérateurs africains voient leur rentabilité s’effriter. Pour beaucoup d’observateurs, le secteur a mangé son pain blanc.
Fini les aventures en Argentine et en Russie. Le groupe sud-africain Standard Bank se recentre sur l’Afrique. Et pour donner un coup de fouet à son développement, il va recruter entre 3 000 et 4 000 employés en deux ans.