Le nouvel accord de paix signé mercredi 12 septembre par le président Salva Kiir et le chef rebelle Riek Machar est accueilli avec un mélange de prudence et de scepticisme, aussi bien dans le pays qu’au sein de la communauté internationale.
Gounoko Haounaye, le président du conseil d’administration de l’Autorité portuaire nationale, a été mis en demeure de quitter son logement dont le loyer était impayé depuis 2015.
Le limogeage de la secrétaire d’État chargée de l’Eau déclenche les foudres du plus fidèle allié des islamistes. Mais la rupture n’est pas pour autant consommée entre le PJD et le PPS.
L’artiste algérien Rachid Taha, décédé d’un arrêt cardiaque le 11 septembre en banlieue parisienne, a toujours cherché en vain la reconnaissance du pays qui l’a vu naître.
Lancée en 2015, la start-up burkinabè spécialisée dans la confection artisanale d’emballages en papier affirme avoir permis de remplacer au moins 150 000 sachets plastique. L’entreprise compte désormais franchir un nouveau palier : étendre son rayon de distribution au Mali et au Niger.
De retour au poste de sélectionneur de la Tunisie après un premier passage en 2009-2010, Faouzi Benzarti a pour premier objectif de qualifier son équipe pour la CAN 2019. Interview de l’entraîneur le plus titré du pays.
La marine camerounaise a intercepté, dans la nuit du 6 au 7 septembre, trois navires nigérians, dans lesquels des armes ont été saisies. Depuis, l’enquête est en cours et les regards se tournent vers le port de Calabar, au Nigeria.
Le président français Emmanuel Macron s’est rendu au domicile de madame Audin le 13 septembre, pour lui remettre une lettre dans laquelle il reconnaît que le mathématicien et militant Maurice Audin est « mort sous la torture du fait du système institué alors en Algérie par la France ».
Un mois après l’ordonnance d’amnistie prise par le président Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire, la plupart des personnes détenues suite aux événements de la crise postélectorale de novembre 2010 à avril 2011 ont été libérées. Quant aux exilés politiques, la majorité est encore hésitante.
Les funérailles nationales de l’ancien secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, auxquelles participent des dirigeants du monde entier ainsi que des chefs traditionnels, ont démarré jeudi à Accra.
L’anthropologue Mohamed Fall Ould Bah, secrétaire général du Centre d’études et de recherches de l’ouest saharien (Ceros) de Nouakchott, analyse les positions respectives des partis présidentiel et islamiste aux trois élections mauritaniennes.
Selon le Rwanda Development Board, les engagements d’investissements s’établissent à 1,67 milliard de dollars (1,44 milliard d’euros) en 2017. Mais la Cnuced, qui chiffre les flux entrants d’investissements directs à l’étranger, ne signale que 366 millions de dollars effectivement décaissés.
Bathia Mamadou Diallo, ministre de la Défense et président de la commission de redynamisation de l’Union pour la République (UPR), se dit satisfait du premier tour des élections du 1er septembre en Mauritanie.
Drame humanitaire, bavures à répétition, objectifs flous, divergences entre alliés… Le bourbier yéménite commence à faire pâlir l’étoile du prince héritier Mohamed Ibn Salman, dont la plupart des choix se sont pour l’instant révélés hasardeux, sinon désastreux.
Les lignes continuent de bouger dans le champ politique tunisien : les membres du parti Tounes Awalan ont fusionné le 12 septembre avec Al Badil Ettounsi. La formation de l’ex-Premier ministre Mehdi Jomâa ambitionne de lutter contre l’éparpillement politique en gonflant ses rangs.
Cinq ténors de l’opposition congolaise se sont réunis le 12 septembre à Bruxelles afin de « dresser l’évaluation du processus électoral en cours ». Ils ont également évoqué la question du candidat commun en vue de battre Emmanuel Ramazani Shadary, du parti au pouvoir, en décembre prochain.
Muhammadu Buhari devrait être le candidat de son parti à participer à la prochaine élection présidentielle prévue en février prochain. Sans surprise, il a officiellement déposé mercredi sa candidature à la primaire, dont il est l’unique participant.
Un candidat, Karim Wade, empêché de se présenter. Les premiers signes de désunion rendus publics dans la presse. On s’attendait à ce que le lancement de la récolte des parrainages en vue de la présidentielle, le 11 septembre, revête des airs de réunion de crise pour le PDS d’Abdoulaye Wade. Il n’en fut rien.
À l’ouverture de la troisième conférence minière de la RDC, le président congolais Joseph Kabila a insisté le 12 septembre sur la « mise en œuvre effective du nouveau code minier » et l’application de certaines mesures de préférence nationale.
Après des années de vifs débats et au moment où une affaire de viol collectif suscite l’émoi dans le pays, une loi contre les violences faites aux femmes est entrée officiellement en vigueur mercredi 12 septembre au Maroc. Une victoire toutefois relative pour les féministes.
Mohamed Jemil Ould Mansour, ancien président du parti islamiste Tawassoul et candidat au conseil régional de Nouakchott, dénonce des élections organisées sans concertation avec l’opposition. Il se félicite des gains de son parti et des ballottages infligés au parti présidentiel.
La Commission électorale indépendante ivoirienne (CEI) a publié mardi 11 septembre les listes officielles des candidats aux élections municipales et régionales, prévues le 13 octobre. Décryptage des forces en présence.
Placée en détention provisoire depuis le 29 août, l’activiste bukinabè Safiatou Lopez, poursuivie par la justice militaire pour « complot », a été interrogée mardi 11 septembre par le juge d’instruction.
Le géant pétrolier chinois Sinopec et son rival suisse Glencore, associé à des actionnaires noirs et minoritaires, s’affrontent pour le rachat de Chevron South Africa.
Contestant l’idée que le boycott au Maroc puisse être le fait de robots ou d’une concurrence déloyale, une étude menée par une agence française, que JA a pu consulter en exclusivité, souligne que la campagne a bien été menée par des internautes activistes et politisés.
Le CDR du militant contestataire et homme de radio malien Ras Bath a annoncé mardi 11 septembre la fin de son « accord politique » avec l’opposant Soumaïla Cissé, qu’il avait soutenu lors de la présidentielle. Il revient pour Jeune Afrique sur les raisons de cette décision.
L’écrivain franco-congolais Alain Mabanckou affirme être « interdit de séjour depuis cinq ans » dans son pays d’origine et que ses livres seraient, eux aussi, « indésirables » au Congo. Le ministère congolais de la Justice dément.
Le médiatique écrivain entend donner à son œuvre une dimension d’engagement. Dans son dernier roman, Les cigognes sont immortelles, il revient sur l’assassinat de Marien Ngouabi, en 1977.