Si les entrepreneurs africains commencent à être séduits par le secteur des banques pour diversifier leurs activités c’est parce qu’elle apparaissent comme des valeurs solides. Ce n’est pas forcement le cas au Cameroun où des grands noms du secteur bancaire ont connu des échecs marquants.
Le procès des auteurs du putsch manqué de septembre 2015 doit reprendre ce 21 mars. Sur le banc des accusés : 83 Burkinabè, mais aussi un Malien membre du Mouvement arabe de l’Azawad, un groupe armé actif dans la région de Tombouctou.
Quatre employés d’un chantier BTP, dont deux Tunisiens et deux Camerounais, ont été enlevés par un groupe armé, le 15 mars dans le sud-ouest anglophone du pays. Le gouvernement camerounais vient d’annoncer la mort d’un des otages tunisiens et le sauvetage des trois autres.
Le 19 mars, dans un hôtel parisien cossu, se tenait la seconde cérémonie de remise des « Prix Mandela ». Des récompenses honorifiques décernées par l’Institut éponyme, un think-tank qui revendique la promotion des valeurs de l’ancien président sud-africain… mais dont la crédibilité, remise en cause par plusieurs de ses « partenaires », ne laisse pas d’interroger.
Dominique Calace de Ferluc, Alain Juillet, Stéphane Ravion et un certain David Loucacio sont soupçonnés par la justice équato-guinéenne d’être impliqués dans le « putsch de Noël » avorté.
Deux jihadistes présumés sont morts lundi alors qu’ils étaient poursuivis par les forces de l’ordre, à Ben Guerdane, ville frontalière avec la Libye, qui a été profondément marquée par un assaut jihadiste en 2016.
Avec le programme Élite, la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) va accompagner dix entreprises de la sous-région, choisies en fonction de leur fort potentiel de croissance, vers la cotation.
Tirs à balles réelles dans la foule, arrestations arbitraires, dissimulation de cadavres… Un rapport des Nations unies revient sur la répression menée pendant un an par les forces de sécurité congolaises face aux manifestations contre le régime du président Joseph Kabila.
Zone libre-échange, accords régionaux, situation à Mayotte et relations avec Paris… En marge du sommet extraordinaire de l’Union africaine de Kigali, Souef Mohamed El-Amine, ministre des Affaires étrangères des Comores, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Présidé par un ancien parlementaire socialiste français, ce Groupe de liaison des amis de la Mauritanie (Glam) entend faire du lobbying en faveur des intérêts mauritanien dans l’Hexagone. parmi les membres du conseil d’administration : Éric Besson, l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy.
Lago 54 est en passe de devenir la plateforme de luxe africain de référence. Ce concept store en ligne répond à un réel besoin pour les créateurs du continent.
Extrêmement sévère avec les gouvernants actuels, l’ancien Premier ministre tunisien, Mehdi Jomâa, veut incarner une troisième voie, ni de droite ni de gauche, mais fondée sur une vision stratégique claire. Entretien.
L’icône ivoirienne du reggae, Tiken Jah Fakoly, qui se présente comme le porte-voix de la population, est prêt à « peser sur l’actualité politique » en Côte d’Ivoire. Inquiétudes de la société civile, mesures d’Alassane Outtara, libération de Laurent Gbagbo… L’artiste répond à JA et à ses détracteurs.
Après l’arrivée au pouvoir de Cyril Ramaphosa, officiellement élu le 15 février, la mise en place d’une nouvelle administration en Afrique du Sud pourrait ouvrir la porte à une amélioration des relations avec le gouvernement rwandais.
L’homme d’affaires béninois souhaitait organiser samedi au stade de l’Amitié un meeting marquant le lancement du parti qu’il veut porter sur les fonds baptismaux. L’autorisation lui a été retirée par le ministère du Tourisme.
Le football ivoirien est secoué par une crise depuis plusieurs mois. Une situation amplifiée par l’élimination des Éléphants de la Coupe du monde 2018 et la défiance de plusieurs présidents de clubs à l’égard de Sidy Diallo, le président de la fédération. Même le chef de l’État, Alassane Ouattara, s’en inquiète.
« Plus de 200 individus » ne remplissant pas les conditions d’accès à la magistrature congolaise ont été identifiés par une commission d’enquête mise en place fin 2017. Les faussaires seront poursuivis, a annoncé ce mardi Alexis Thambwe Mwamba, le ministre de la Justice.
Le président Paul Biya effectue une visite en Chine les 22 et 23 mars avec, en point d’orgue, une rencontre avec son homologue chinois Xi Jinping. Un forum d’affaires était également prévu, avec une centaine d’entrepreneurs camerounais présents, mais celui-ci a été annulé.
L’ancien président français Nicolas Sarkozy a été placé ce mardi en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre. Il est entendu sur les soupçons de financement libyen de sa campagne lors de l’élection présidentielle de 2007.
Le maréchal Abdel Fattah al-Sissi est-il aussi populaire que ses partisans le prétendent ? Sa réélection à la fin du mois fait en tout cas peu de doute.
Deux anciens ministres, des hauts fonctionnaires influents, l’ombre d’un ex-conseiller tout-puissant, un homme d’affaires italien… Le premier procès de l’opération Mamba, qui reprend ce mardi, pourrait marquer un tournant politique autant que juridique.
Désireux de « renverser le cours de la corruption » des institutions étatiques, entachées par les affaires qui ont rythmé les deux mandats de son prédécesseur Jacob Zuma, le nouveau président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a suspendu avec effet immédiat le patron du fisc.
Chaque semaine, Jeune Afrique rouvre ses dossiers : un an, deux ans après, où en sont les différents sujets que nous avons traités dans nos colonnes ? Cette semaine, la Société africaine de plantations d’hévéas en Côte d’Ivoire, qui affiche des biens meilleurs résultats en 2017 après des années de difficultés.
À sept mois de la présidentielle, le chef de l’État camerounais, Paul Biya, réorganise ses troupes. Et tout laisse à penser qu’il va briguer un septième mandat.
René Emmanuel Sadi, souvent présenté comme un potentiel successeur de Paul Biya à la tête du Cameroun, est de retour au bureau de la présidence suite au remaniement de début mars 2018.
Des milliers de personnes en larmes ont suivi lundi à Conakry la procession funéraire de quatre personnes tuées la semaine dernière lors de manifestations de l’opposition.
L’opposition ivoirienne ne reconnait plus la Commission électorale indépendante (CEI), qu’elle juge inféodée au pouvoir. Elle appelle à des manifestations cette semaine, à la veille des premières sénatoriales de l’histoire du pays qui doivent se tenir ce samedi 24 mars.
Un courant qui se veut « réformateur » se positionne contre la réélection, en mai prochain, de l’actuel secrétaire général, Nabil Benabdellah. Ce dernier dénonce des manœuvres personnelles de ses opposants.
Moïse Katumbi, qui a lancé son mouvement début mars, avait convié plusieurs figures de l’opposition, qui ont préféré décliné tout net l’invitation, ou ont avancé des problèmes d’organisation.