Alors que le récent rapport onusien sur les atteintes aux droits humains se gardaient de trop nommer de suspects, le rapport de l’ONG les cible directement. HRW donne les noms des groupes armés suspectés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Parmi eux, le FPRC, principal groupe issu de l’ex-Séléka.
Il était fonctionnaire dans le tourisme au Niger, et il a tout quitté pour lancer sa marque de vêtements. Aujourd’hui, Alphadi possède plusieurs boutiques sur le continent, il a monté un festival de mode panafricaine et habille même les hôtesses de l’air de Niger airlines. Comment en est-il arrivé là ? La réponse dans un reportage de “Réussite”, l’émission coproduite par le groupe Jeune Afrique, Canal + et Galaxie presse, à découvrir ici.
Trois mois après que la RDC a rompu sa coopération militaire avec la Belgique, douze soldats belges, au moins, sont encore bloqués dans le pays. Ils gardent un stock de matériel militaire, en attendant de pouvoir l’évacuer.
Carlos Kameni (33 ans) pensait sans doute terminer sa carrière à Malaga, en Espagne. Mais le nouvel entraîneur du club andalou, qui ne comptait pas sur lui, a précipité le départ du gardien international camerounais vers la Turquie et Fenerbahçe Istanbul, un des trois meilleurs clubs du pays.
Des affrontements armés entre la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et les groupes armés pro-gouvernementaux réunis au sein de la « Plateforme » ont fait au moins trois morts jeudi au sud d’Aguelhok, dans la région de Kidal. Une nouvelle violation du cessez-le-feu par ces deux signataires de l’accord de paix de juin 2015 qui a été aussitôt condamnée par la Mission de l’ONU au Mali (Minusma).
Une stèle en mémoire de l’esclavage a été inaugurée par le vice-président ivoirien Daniel Kablan Duncan jeudi 6 juillet à Kanga-Gnianzé, près de Tiassalé. Une cérémonie à laquelle ont assisté l’ancien président béninois Nicéphore Soglo, l’historien Elikia M’Bokolo, mais aussi l’ex-footballeur Lilian Thuram.
L’opération anticorruption dont il a pris la tête lui assurant une certaine popularité, Youssef Chahed est désormais certain de se maintenir à son poste.
Dans un rapport rendu public début juillet, le groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire demande la « libération immédiate » de Djibrill Bassolé. Son avocat, Me Varaut, espère désormais que les autorités burkinabè vont se plier à cette requête.
Amadou Gon Coulibaly a précisé jeudi 6 juillet les contours de l’accord que le gouvernement ivoirien espère signer avec les syndicats de la fonction publique, évoquant une trêve sociale de cinq ans. Surpris par cette déclaration, les syndicats affirment que les négociations restent en cours.
Le procès des biens-mal-acquis se poursuivait jeudi à la 32e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. Alors que le procureur a requis trois ans de prison et 30 millions d’euros d’amende contre Teodoro Nguema Obiang Mangue, la défense jouait ses dernières cartes avant le jugement, que le tribunal prononcera le 27 octobre. Récit.
Trois chercheurs en sciences sociales, dont deux anciens militants marocains du Mouvement du 20 Février, dénoncent les exécutions extrajudiciaires de Français partis se battre dans les rangs des jihadistes qui seraient, selon le Wall Street Journal, commanditées par les autorités françaises auprès de l’armée irakienne.
L’ex-Hôtel Impérial Marhaba, le palace de Sousse dans lequel 38 touristes internationaux avaient été tués le 26 juin 2015 a rouvert en avril. À l’intérieur, les mesures de sécurité ont été multipliées et les réservations affichent déjà quasi complet dans un contexte de reprise des arrivées de touristes internationaux en Tunisie.
La Cour pénale internationale (CPI) a jugé ce jeudi 6 juillet que l’Afrique du Sud avait manqué à ses obligations internationale en n’arrêtant pas sur son sol le président soudanais Omar el-Béchir, en juin 2015.
Mercredi 5 juillet, dans la région de Diffa, une zone instable dans le sud-est du pays, l’armée nigérienne a tué, par erreur, 14 paysans qu’elle a pris pour des jihadistes de Boko Haram.
Jugés pour le meurtre de civils dans la province du Kasaï, en République démocratique du Congo, huit militaires ont été condamnés ce jeudi 6 juillet à des peines de prison allant de douze mois à la perpétuité, selon la défense.
Des centaines de policiers se sont rassemblés ce jeudi 6 juillet devant le Parlement tunisien pour réclamer une loi les protégeant davantage lorsqu’ils sont en opération. Cette manifestation intervient quelques jours après un appel de l’ONG Human Rights Watch à la suppression du délit « d’outrage ».
Plus de trois mois après le début de l’affaire opposant Cevital, premier groupe privé d’Algérie, à l’Entreprise Portuaire de Béjaïa, le comité de soutien des travailleurs de Cevital reste mobilisé pour trouver une issue à la crise.
Comme tant d’autres, cinq jeunes Gambiens n’ont pas obtenu de visa pour aller aux États-Unis. Mais, auréolés d’un statut d’inventeurs en herbe invités à un concours de Washington, ils suscitent un fort mouvement de sympathie médiatique.
Peter Ayodele Fayose, le gouverneur de l’État d’Ekiti, dans le sud-ouest du pays, a appelé, pour la deuxième fois, à la démission du président nigérian mercredi 5 juillet.
Proposée lors de la dernière conférence de l’African National Congress, mercredi 5 juillet, la nationalisation de la banque centrale sud-africaine provoque des débats houleux dans le pays. La proposition doit encore être ratifiée lors de la prochaine conférence électorale du parti au pouvoir, en décembre prochain.
Taormina. Sicile. 26 mai 2017. Les chefs d’État des pays les plus puissants de la planète se réunissent au sein du G7. Parmi leurs invités : Mahamadou Issoufou. Le président nigérien serre des mains ; celle d’Emmanuel Macron, nouvellement élu en France, ou celle de l’Américain Donald Trump, à la poigne si redoutée.
Réélu en mars 2016, Mahamadou Issoufou semble avoir les coudées franches pour son second mandat. Gouvernance, sécurité, croissance et, surtout, lutte contre la corruption… Le président nigérien est sur tous les fronts.
Créé en août 2016 après le ralliement du MNSD-Nassara à la majorité présidentielle, le FRDDR, qui rassemble une dizaine de formations, surfe sur la vague du mécontentement populaire.
Petit-fils de l’ancien président Seyni Kountché, Aziz Kountché est depuis 2016 à la tête de Drone Africa Service. Une start-up unique dans la région qui n’a pas tardé à trouver sa clientèle.
Terrorisme et trafic de cocaïne avaient mis à mal sa réputation commerciale. L’État investit pour que la « porte du Sahara » retrouve tout son attrait.