La participation du Premier ministre israélien Benyamin Netanyaou au 51ème sommet de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) du 4 juin 2017 n’est que le point d’orgue de l’offensive diplomatique de l’État hébreu en Afrique. Elle avait débuté bien avant les élections des présidents Trump et Macron.
Une collision ente un train d’une filiale du groupe Bolloré et un bus, au niveau de la commune de Savè, a fait au moins quatre morts et des dizaines de blessés graves mardi tôt dans la matinée.
Le chef de l’État algérien Abdelaziz Bouteflika, dont l’état de santé fait l’objet de spéculations récurrentes, a présidé mercredi le premier Conseil des ministres de l’année 2017, a indiqué une source gouvernementale à l’AFP.
Les internationaux gabonais sont en conflit avec la ministre des Sports pour des problèmes de primes. Le tout dans un contexte sportif tendu : les résultats sont mauvais – le Gabon a perdu (1-2) face au Mali le 10 juin lors des qualifications pour la CAN 2019 –, et l’investissement de Camacho, le sélectionneur espagnol, est jugé insuffisant.
Vingt-cinq manifestants et militants présumés de la fronde populaire qui secoue la région du Rif ont été condamnés à 18 mois de prison ferme, à l’issue de leur procès mercredi à Al Hoceïma, dans le nord du pays, a-t-on appris auprès de leur défense.
Le Parlement égyptien a approuvé ce mercredi un accord controversé, prévoyant la rétrocession de deux îles de la mer Rouge à l’Arabie saoudite : Tiran et Sanafir.
Alors qu’un groupe armé libyen a affirmé avoir libéré le fils de l’ex-dictateur Mouammar Kadhafi, Seif al-Islam, celui-ci est toujours activement recherché en Libye. Dans un communiqué publié ce mercredi, la Cour pénale internationale a exigé son arrestation immédiate, afin qu’il soit jugé pour crimes contre l’Humanité.
Une plainte pour crime contre l’humanité a été introduite en Belgique contre le ministre d’État congolais en charge de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba. Bruxelles a décidé d’ouvrir une enquête.
En l’an 1956, à peine sorti du long sommeil – toutefois bien agité – de la colonisation, mon pays donnait à la génération de l’ado que j’étais un formidable rêve. Et un rêve éveillé, cette fois ! Nous nous y sommes engagés, mes camarades et moi, dès nos premiers pas dans le prestigieux collège Sadiki, parfaitement plurilingue.
Il suffit d’un rien. Une rumeur, une information mal présentée ou incomplète et les Tunisiens s’inquiètent. Citoyens, milieux d’affaires, communauté internationale… Dès qu’un événement inattendu survient en politique ou qu’un mouvement social s’intensifie, tout le monde est en alerte.
C’est le 17 décembre qu’auront lieu les prochaines élections locales en Tunisie. S’il reste encore sept mois avant le scrutin, des dysfonctionnements restent toutefois à corriger.
La politique, l’économie, la société… Rien ne va ? Pourtant, un réel changement est en cours. De nouvelles têtes émergent, qui avancent avec d’autres références et ont une vision moderne du pays.
La mode est lancée, cet été les Tunisiennes s’habilleront « tunisien ». Une manière d’affirmer son identité et, pour les stylistes, de revisiter la tradition.
Le 11 juin, à Béni, 930 détenus s’évadaient de la prison de Kangbayi, après une attaque à l’arme lourde. Pour Omar Kavota, président du Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’Homme (CEPADHO), la rébellion ougandaise des ADF serait derrière ces événements.
Institutions bloquées, lois obsolètes, juges corrompus… Et si tous ces travers étaient bientôt du passé ? Le ministre de la Justice Ghazi Jeribi dévoile quelques mesures de la refonte, très attendue, du système judiciaire.
Les premières locales de l’après-révolution se tiendront le 17 décembre, sept ans tout juste après l’immolation de Mohamed Bouazizi. Même si ni les formations politiques ni les institutions chargées de l’encadrer ne sont tout à fait prêtes, le scrutin est très attendu.
Le nouveau chef de la diplomatie chérifienne vient de boucler avec succès la phase politique préalable à l’adhésion du Maroc à l’organisation continentale. Mais le processus ne fait que commencer…
A 40 ans, Ghazi Mrabet est sans nul doute l’avocat préféré des jeunes Tunisiens pour avoir fait de l’abrogation de la loi 52, qui pénalise lourdement les consommateurs de stupéfiants, son cheval de bataille.
Depuis 2011, les institutions internationales suivent le pays de près, jusque sur le terrain. Reportage à Sidi Bouzid, en compagnie de l’ambassadeur de l’Union européenne, Patrice Bergamini.
Les motions de défiance déposées mardi à l’Assemblée nationale de la RD Congo contre Emmanuel Ramazani Shadary, vice-Premier ministre chargé de l’Intérieur et de la Sécurité et de son collègue de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, ne seront pas examinées avant… trois mois.
Deux ans après la signature des accords d’Alger, les tensions tribales rattrapent le Nord Mali et la région de Kidal est de nouveau le théâtre d’affrontements armés.
Le Dr Pierre Sans, psychiatre français à la retraite, se rend régulièrement à Madagascar et en Côte d’Ivoire. Il y a trois ans, il a travaillé dans les centres de la Saint-Camille-de-Leillis, une ONG très implantée en Afrique de l’Ouest, et dont il critique vigoureusement le fonctionnement.
La Mission de l’ONU en RDC (Monusco) s’est déclarée préoccupée mercredi après avoir documenté, du 5 au 9 juin, 62 cas de violations graves des droits des enfants, dont des viols sur mineures par des miliciens dans l’est et le centre de la République démocratique du Congo.
La création contemporaine africaine est partout, cette année, en France. Musées, fondations, médias… et enseignes commerciales. Avec deux événements organisés coup sur coup à Paris, « Africa Now » et « South Africa » (BHV Marais), le groupe Galeries Lafayette entend bien surfer sur la vague. Effet marketing ou lame de fond ?
Après avoir engagé une série de réformes et ouvert son marché via des partenariats stratégiques, la place tunisienne gagne en compétitivité, même si le nombre de sociétés cotées reste modeste.
Empêtré dans une crise avec ses voisins, le Qatar a annoncé ce mercredi le retrait de sa force d’observation déployée depuis 2010 entre l’Érythrée et Djibouti dans le but d’empêcher qu’un conflit entre les deux pays africains ne dégénère.