L’opposante togolaise Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, secrétaire générale de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA), affirme être confiante quant à l’issue des élections législatives et régionales, qui doivent se tenir le 20 avril prochain.
Publié le 6 février dernier par l’organisation islamiste, « Le Document politique » semble être l’ébauche d’un programme électoral. Est-ce le signe d’une rupture avec la position classique de ce puissant acteur de la société marocaine ? Réponse d’Omar Iharchane, membre du Cercle politique de la Jamaâ.
Les chefs d’État des pays membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, réunis samedi 24 février à Abuja, ont décidé la levée d’une grande partie des sanctions visant Niamey.
L’ancien chef de l’État Moncef Marzouki, critique virulent de l’actuel président, Kaïs Saïed, a été condamné par contumace à huit ans de prison ferme pour tentative de « provoquer le désordre » dans le pays.
Comment vivent les icônes de l’afro-pop, qui s’affichent diamants autour du cou et bagouses en or aux doigts ? En marge des concerts et des streams, quel est leur modèle économique et comment construisent-elles leur empire ?
Les avocats de notre correspondant à Kinshasa ont déposé, ce 23 février, une nouvelle demande de mise en liberté. Au lendemain d’une déclaration du président Félix Tshisekedi, qui l’a estimé « peut-être victime » des « tergiversations » de la justice.
Le fondateur et PDG du groupe Voodoo – qui s’apprête à fêter ses 25 années d’existence en Côte d’Ivoire – est le Grand Invité de l’économie RFI-Jeune Afrique.
Huit semaines après sa disparition, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré est apparu dans une vidéo, tenue militaire dépareillée et kalachnikov à la main. À 70 ans passés, il a rejoint contre son gré le rang des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) du capitaine IB.
Malgré la décision du Conseil constitutionnel qui enjoint le gouvernement d’organiser les élections présidentielles dans les meilleurs délais, le Parti démocratique sénégalais (PDS) et ses alliés s’activent pour faire reprendre l’ensemble du processus électoral.
Fondée par cheikh Abdessalam Yassine, la très populaire association islamiste est à la croisée des chemins. Son nouveau « Document politique », présenté le 6 février dernier, va dans le sens d’une prochaine institutionnalisation, voire d’une participation au jeu électoral.
En initiant un forum sur une supposée famine dans le Grand-Nord, Cavayé Yéguié Djibril, président de l’Assemblée nationale, semblait déterminé à décrédibiliser le ministre de l’Agriculture Gabriel Mbaïrobe. Mais Paul Biya et Ferdinand Ngoh Ngoh ont interdit l’événement.
Dans ce documentaire bouleversant, la réalisatrice brosse le portrait de sa mère, l’actrice palestinienne Hiam Abbass, et de toute une lignée de femmes, dont les histoires ont été tues.
Le chef de l’État sénégalais a appelé à l’ouverture, le 26 février, de « concertations nationales » pour déterminer la date et les modalités de l’élection présidentielle. Problème : la quasi-totalité des candidats refusent d’y participer.
L’organisation sous-régionale se réunira de nouveau le 24 février afin de se pencher sur le retrait de l’Alliance des États du Sahel. Ils aborderont aussi la question de la levée des sanctions qui frappent le Niger, à laquelle certains présidents demandent une contrepartie.
« C’est comme si l’Union européenne nous faisait la guerre par procuration » : le président de la RDC, Félix Tshisekedi, a vivement critiqué jeudi 22 février le protocole d’accord signé cette semaine entre l’Union européenne et le Rwanda.
Le 4 mars marquera la fin du délai légal de détention provisoire des principaux suspects inculpés dans l’assassinat du journaliste. Le juge d’instruction va-t-il transmettre le dossier au tribunal pour qu’il y ait procès, les relaxer… ou prolonger une nouvelle fois leur détention ? Jeune Afrique fait le point.
Imposées il y a trois mois, elles ont été levées dans la nuit de jeudi à vendredi 23 février, quatre jours après la dissolution du gouvernement de Bernard Goumou.
Le youtubeur Mohamed Reda Taoujni a été reconnu coupable d’« outrage à un fonctionnaire public » et de « diffamation ». On lui reprochait de s’être interrogé, dans ses vidéos, sur les éventuels liens entre un ministre et le scandale du « Pablo Escobar du Sahara ».
Au lendemain du voyage du chef du gouvernement espagnol à Rabat, les réactions parfois agacées se multiplient. Alors qu’en Espagne, les députés du Parti populaire espagnol demandent des comptes, la réaffirmation du soutien au plan d’autonomie marocain sur le Sahara a rallumé les tensions avec Alger.
Propriété du magnat et chef du gouvernement marocain, le magazine français a connu de fortes pertes. Et l’arrivée de Mohamed Lioeddine à la direction ne semble pas avoir permis de redresser la barre.
Au lendemain de l’évocation par le président Félix Tshisekedi de l’incarcération de notre confrère Stanis Bujakera Tshiamala, le directeur de la rédaction de Jeune Afrique réclame sa remise en liberté immédiate.
En Tunisie, la société d’ingénierie traverse une forte période de turbulences après l’arrestation de son fondateur Mohamed Frikha. Les investisseurs craignent l’arrêt de ses ambitieux projets spatiaux et technologiques.
Le directeur général de la télévision Vision 4 est de nouveau présenté au juge d’instruction ce 23 février. Le journaliste se défend d’avoir incité à l’insurrection. Mais son sort dépend davantage de la clémence ou non du président Paul Biya.
Quelques jours après la dissolution du gouvernement par le général Mamadi Doumbouya, d’intenses négociations se poursuivent. Et le choix du futur Premier ministre fait particulièrement débat.
Déradicalisation, démantèlement de l’Unrwa et gestion par des fonctionnaires civils : les objectifs du Premier ministre israélien sont en contradiction totale avec les déclarations de la communauté internationale.
Entre Rabat et Alger, les tensions persistent. Pour créer un climat de confiance et poser les bases d’une entente durable, historiens, chercheurs et intellectuels des deux pays doivent s’impliquer.
Durant toute la semaine du 18 février, États et organisations internationales se sont succédé devant la Cour internationale de justice pour discuter des effets juridiques de « l’occupation par Israël des territoires palestiniens ». Que peut-on attendre de cette grande première ?
Rien ne va plus entre la maire de Rabat et les conseillers communaux – y compris ceux de son propre parti, le RNI –, qui appellent désormais à sa démission. Le 20 février, le dépôt d’une demande de convocation d’une session extraordinaire du Conseil de la ville a donné lieu à une nouvelle échauffourée devant le bureau de la première édile.