Alors que les négociations avec le Hamas pour une trêve et la libération des otages se poursuivent au Caire, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, reste déterminé à mener son offensive sur le sud du territoire palestinien, où plus d’un million de personnes ont trouvé refuge. Et ce, malgré les pressions internationales.
Moins d’un mois après avoir été investi pour un second mandat, le chef de l’État congolais est mis à mal par les difficultés de son armée à contrer le mouvement rebelle qui sévit dans l’est de son pays.
Voilà bientôt deux ans que le dernier Premier ministre d’Alpha Condé a été arrêté. Pourtant, son procès s’enlise et sa remise en liberté, ordonnée par la Cour de justice de la Cedeao, est restée lettre morte.
Ce 14 février, Hervé Bopda a comparu devant le tribunal de grande instance (TGI) du Wouri, à la suite du dessaisissement du tribunal militaire de Douala pour « incompétence ». Mais le TGI s’est à son tour déclaré incompétent et a renvoyé l’affaire devant le tribunal de première instance de Douala, qui hérite donc de l’affaire.
Alors que s’achève la Reconquista et que les lumières de la Renaissance commencent à éclairer l’Europe, c’est en Méditerranée que se déplace la lutte entre royaumes chrétiens et musulmans. Une épopée faite de grandes batailles, mais surtout de modestes coups de main.
Personnages célèbres de l’histoire immortalisés notamment par Cervantès, les pirates barbaresques, qui écumaient la Méditerranée au XVIe siècle, le faisaient aussi au nom de l’islam. Sans oublier de s’enrichir au passage.
D’abord aux ordres de l’Empire ottoman, les frères Barberousse vont ensuite se mettre au service de Tunis et d’Alger, attaquant les navires chrétiens et ravageant les côtes européennes. Aussi courageux qu’impitoyables, ils ont durablement marqué les mémoires en Méditerranée.
La longue lutte entre corsaires d’Afrique du Nord et flottes européennes au XVIe siècle a donné lieu à des alliances qui, aujourd’hui, peuvent paraître étonnantes. En particulier celle de la gouverneure de Tétouan et du chef de la flotte d’Alger, unis face aux Espagnols et aux Portugais.
La banque a exprimé sa volonté d’étendre ses activités en Guinée, en République du Congo et en Zambie, en y créant des succursales. Désireuse d’ouvrir son capital dans le cadre de ce projet, Sofibanque est actuellement à la recherche d’investisseurs.
Loin d’être une surprise, le retrait du Mali, du Burkina Faso et du Niger de la Cedeao est la conséquence des positions inconciliables des juntes au pouvoir et des représentants de l’organisation sous-régionale. Il faudra donc plus qu’un appel à l’unité pour les réconcilier.
Dans une nomination aussi tardive qu’inattendue, le président tunisien a nommé Fethi Zouhair Nouri à la tête de la Banque centrale de Tunisie. Un profil moins clinquant que celui de son prédécesseur.
Le mandat catastrophique de l’ancien gouverneur de la CBN s’est achevé avec son arrestation par la police. Son successeur, Olayemi Cardoso, veut faire table rase du passé.
Dans un contexte politique très clivé en raison du report de la présidentielle, le dialogue national voulu par Macky Sall suscite la défiance d’une frange de l’opposition.
Prédicateur haineux, homophobe et xénophobe ayant fui le Canada pour éviter une peine de prison, Paul Mukendi poursuit ses activités à Kinshasa. Il est l’un des hommes derrière les appels à manifester contre les chancelleries occidentales en RDC.
Selon les informations de Jeune Afrique, une nouvelle plateforme regroupant plus de 100 partis va être créée au Tchad, afin de soutenir la candidature du dirigeant de la transition à la prochaine élection présidentielle.
Après le chef du gouvernement marocain Aziz Akhannouch, certaines sources indiquent que le Nigérien pourrait être reçu par le roi. Un signe clair du désir de dialogue entre Rabat et Niamey, et plus largement avec les juntes au pouvoir Sahel.
Avant d’arriver à Addis-Abeba, où il doit assister au sommet de l’Union africaine, le président brésilien a fait étape au Caire. Un nouveau signe de l’intérêt des grands pays émergents pour le conflit à Gaza, mais aussi une façon de saluer l’entrée de l’Égypte et de l’Éthiopie au sein des Brics.
Les combats entre les rebelles du M23 et les Forces armées de la RDC ont redoublé d’intensité autour de Goma, la capitale de la province du Nord-Kivu, dans l’est du pays.
Des informaticiens maliens ont assuré, mardi 13 février, avoir “récupéré” les données biométriques indispensables à la tenue d’élections conservées par le groupe français Idemia.
La conquête de la troisième CAN, le 11 février à Abidjan face au Nigeria, est avant tout un succès collectif de la Côte d’Ivoire. Mais plusieurs joueurs ont activement participé à cette folle aventure à domicile, qui restera dans les annales du football africain. Jeune Afrique en a retenu six.
Au Maroc, le parti d’Abdelilah Benkirane profite du scandale pour régler de vieux comptes avec son rival centriste et se poser en grand défenseur de la lutte contre la corruption. Le groupe parlementaire islamiste vient de déposer une proposition de loi plus sévère sur le sujet.
Le groupe, concurrent de Veolia et de Suez, pourrait traverser une période difficile. Son fondateur, Aziz El Badraoui, est en effet emprisonné dans le cadre d’une affaire de détournement de fonds.
Les séparatistes touaregs du nord du Mali accusent l’armée et le groupe paramilitaire russe d’avoir tué sept civils tchadiens et nigériens lors de frappes de drone à la frontière algérienne.
Développée par l’ONG Women Environmental Programme, Yamaro sensibilise les Nigériennes à leur santé sexuelle et reproductive. Mais l’application n’a pas reçu les autorisations nécessaires du gouvernement.
Le président de la transition du Niger, Abdourahamane Tiani, l’a affirmé : les trois pays de l’Alliance des États du Sahel sont engagés dans la mise en place d’une future monnaie commune. Décryptage en vidéo de la crédibilité de cette annonce et des risques que cela implique.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré vouloir d’abord faire évacuer la ville située dans le sud de la bande de Gaza. De plus en plus de pays et d’organisations internationales s’inquiètent des conséquences désastreuses d’une telle attaque sur le territoire contrôlé par le Hamas palestinien.
Au Cameroun, alors que les français Fayat et Egis s’apprêtaient à assurer la gestion logistique des 14 péages automatiques, le pouvoir a décidé de récupérer le dossier en mettant fin au contrat du consortium.
Alors que se poursuivent les enquêtes, les associations s’organisent pour accompagner les victimes, lesquelles redoutent toujours de sortir de l’ombre.