Pour contrer la mobilisation des militants favorables à Laurent Gbagbo en marge du procès de ce dernier (et de Charles Blé Goudé, son ex-bras droit) devant la Cour pénale internationale, à La Haye (Pays-Bas), certaines victimes de la crise postélectorale de 2010-2011 réagissent.
Prévue le 18 février aux éditions du Moment, la parution de Revenge Porn, de Nathalie Koah, a été provisoirement suspendue par la justice à la suite d’une plainte de Samuel Eto’o pour atteinte à la vie privée. La lecture de ce livre est une expérience particulière.
La société italienne d’ingénierie et de services Global Service SNC a livré trois drones civils au Centre national de télédétection et d’information géographique (CNTIG), un organisme sous tutelle de la présidence ivoirienne.
L’autorisation mercredi au Niger du « vote par témoignage » (vote sans pièce d’identité mais avec deux personnes attestant de l’identité du votant) a suscité la colère de l’opposition et de la société civile au Niger, à quatre jours de la présidentielle.
Contrairement à plusieurs autres leaders de l’opposition congolaise, Delly Sessanga estime qu’il faut d’ores et déjà se pencher sur une candidature commune de l’opposition face au camp Kabila. Le président de l’Envol s’en explique.
Sur le papier, Yoweri Museveni reste le favori de l’élection présidentielle de jeudi, même si son avance fond dans les sondages. Au pouvoir depuis 1986, le « Mzee » (le vieux) se présente pour un quatrième mandat et doit affronter sept autres candidats, dont deux pourraient l’obliger à disputer un second tour, autrement plus incertain.
À huit mois de la présidentielle, c’est l’heure du bilan. Et celle des déclarations assassines. L’image du pays sera-t-elle à nouveau ternie par une campagne où, comme en 2009, tous les coups seront permis ?
Pour le Premier ministre, aucun doute : l’émergence est en marche grâce aux réformes engagées. Et selon lui, seul le chef de l’État sortant est de taille à les poursuivre.
À l’approche de l’élection présidentielle, les vieux routiers de la politique se sentent pousser des ailes. Les voilà tous sur le plot de départ. Et les jeunes, dans tout ça ?
La « maladie hollandaise » dont souffre le Gabon depuis des décennies le met en danger au moment où l’effondrement des cours du pétrole sous la barre des 30 dollars nécessiterait le renfort d’autres secteurs.
Ils irriguent tous les secteurs de l’économie. « Ils » ? Les capitaux qui, de Pékin à Delhi en passant par Ankara, affluent à Libreville. Et montrent que le pays s’est ouvert.
Arnauld Engandji Alandji a été nommé à la tête de Gabon Oil Company (GOC) le 8 octobre 2015 pour assurer l’intérim de Brice Toulekima, suspendu par le conseil d’administration.
Après avoir mesuré l’ampleur des irrégularités et des abus, l’État a resserré les cordons de la bourse. Avec, depuis janvier, des comptes mieux encadrés.
Affaiblie au sein du ZANU-PF (parti au pouvoir) depuis fin 2014, l’ex vice-présidente de Robert Mugabe qui a fêté ses 92 ans dimanche a annoncé ce mercredi la formation d’un nouveau parti.
S’il peut s’enorgueillir de son patrimoine naturel exceptionnel, le pays peine à développer l’écotourisme auprès des tour-opérateurs étrangers. Mais celui-ci séduit déjà les Gabonais…
Enlevée alors qu’elle n’avait que 14 ans et mariée de force à un « marabout » de Boko Haram, Assiatou a choisi de raconter son histoire pour se délester de sa douleur et de ses angoisses.
Quatre équipes gabonaises ont participé au concours Junior Achievement pour l’Afrique, une compétition destinée à récompenser des projets conçus par des jeunes défavorisés ou des lycéens.
Avec ses 22 millions d’hectares de forêt tropicale, le pays dispose d’une biodiversité unique et de ressources inestimables. Comment les exploiter sans les épuiser ?
Cinq ans après le début de la révolution qui a précipité la chute du « Guide », la traque des membres de son clan et de ses milliards continue d’alimenter tous les fantasmes. Que font-ils, que savent-ils et surtout où sont-ils ? Enquête.
Après son homologue new-yorkaise Moody’s, c’est au tour de l’agence de notation Fitch Ratings de faire basculer la note du groupe minier britannique en catégorie « investissement spéculatif ». En cause : les incertitudes entourant son plan de désendettement.
La justice libanaise veut l’entendre au sujet de la disparition, en 1978, de Moussa Sadr, dans laquelle son père est directement impliqué. Cette fois, l’enfant terrible aura bien du mal à se tirer d’affaire…
Accueillis par Bouteflika en août 2011, la seconde épouse du dictateur et trois de ses enfants ont été une réelle source d’embarras pour les services algériens.