Ce mercredi 23 août, 325 Sénégalais renvoyés du Maroc rentrent dans leur pays d’origine. Alors que les réfugiés vivent de plus en plus de drames, Rabat et Dakar assurent que ce retour s’est opéré dans les meilleures conditions possibles.
En visite dans le nord du pays, le président de la transition tchadienne a adopté un discours martial après la reprise des hostilités avec deux groupes rebelles. Il affirme leur laisser le choix : la paix ou la guerre.
Cette coalition d’organisations de la société civile est dirigée par Abdoulaye Seydou, qui vient de sortir de prison après sa condamnation pour avoir accusé les forces de défense de massacres de populations civiles.
Les Zimbabwéens élisent leur président, leur Parlement et leurs élus locaux. La Zanu-PF, au pouvoir depuis l’indépendance en 1980, compte bien y rester.
Le vice-ministre russe de la Défense a discuté de coopération militaire avec les hommes du clan Haftar, qui a eu recours au groupe Wagner dans sa lutte pour le pouvoir en Libye.
Ébranlé par la mort de son président survenue le 1er août, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire ne compte pas pour autant passer à côté des élections du 2 septembre.
La direction de la cinématographie et des productions audiovisuelles (DCPA) du ministère de la Culture du Cameroun a interdit « oralement » la diffusion du film à succès « Barbie ».
L’ancien président ivoirien s’est néanmoins dit disponible pour la présidentielle de 2025. C’était lors d’une conférence de presse organisée ce mardi, lors de laquelle il s’est également prononcé contre une intervention de la Cedeao au Niger.
L’état-major des armées françaises dément l’information de la radio d’État algérienne selon laquelle Paris aurait introduit une demande de survol de l’espace aérien algérien pour ses avions en partance vers le Niger.
En RDC, l’ancien conseiller de Félix Tshisekedi était accusé de trahison et d’atteinte à la sûreté de l’État. La chute de cet influent sécurocrate, en janvier dernier, avait été retentissante.
Depuis le coup d’État du 26 juillet contre le président Mohamed Bazoum, le rôle, supposé ou réel, de son prédécesseur, Mahamadou Issoufou, fait l’objet de toutes les spéculations.
L’ONG décrit « un contexte de tensions politiques accrues » et pointe des « intimidations » récurrentes, notamment à l’encontre du parti de Moïse Katumbi, Ensemble pour la République.
Le 27 juillet, la création d’une nouvelle société pétrolière baptisée PétroNiger devait être validée en conseil des ministres. Mais, la veille, le président Mohamed Bazoum était renversé. Enquête sur ce qui pourrait être tout sauf une coïncidence.
Le général Abdourahamane Tiani a renversé le 26 juillet le président Mohamed Bazoum. Le premier s’est autoproclamé chef de l’État, tandis que le second refusait toujours, au 22 août, de démissionner. Si l’épilogue de leur histoire n’est pas connu, celle-ci n’en est pas à son premier rebondissement.
Longtemps, le président renversé et son prédécesseur ont affiché leur proximité, s’appliquant l’un et l’autre à démentir ceux qui faisaient état de leurs différends. Mais aujourd’hui, les langues se délient.
Alors que la menace d’une intervention militaire de la Cedeao à l’encontre des putschistes plane toujours, l’Union monétaire ouest-africaine a lancé un ultimatum aux institutions financières pour s’assurer que les sanctions financières sont bien appliquées.
Entre une annonce de candidature avancée par la diplomatie sud-africaine et les dénégations de son homologue marocaine, le sommet des Brics commence sur un air de polémique.
Des centaines de migrants éthiopiens auraient été abattus en tentant de franchir la frontière qui sépare le Yémen de l’Arabie saoudite, selon Human Rights Watch. Addis-Abeba annonce une enquête conjointe avec Riyad.
Une personne a été interpellée dans le cadre de l’enquête sur la mort du vice-consul de France à Douala, dont la dépouille avait été découverte à son domicile le 18 août. Insuffisant à ce stade pour lever le flou qui entoure ce drame.
Samedi 26 août, trois scrutins doivent se dérouler simultanément, dont l’élection du président de la République, un poste convoité à nouveau par Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 2009. Face à lui, l’économiste Albert Ondo Ossa, candidat de la plateforme d’opposition Alternance 2023.
La Cour constitutionnelle a validé le 21 août la victoire du « oui » lors du référendum constitutionnel organisé le 30 juillet. Une nouvelle bataille perdue pour l’opposition, qui va devoir se trouver de nouveaux objectifs.
Le Togo a souscrit à 600 000 actions d’Asky pour permettre à la compagnie aérienne de renforcer sa position dans l’espace aérien africain. Explications.
Quelque 300 camions sont arrivés à Niamey le 20 août, chargés de produits alimentaires. Le blocus économique décrété après le coup d’État du 26 juillet commence à toucher les denrées vitales et les fournitures médicales.
Les autorités libyennes affirment que les migrants rapatriés après leur interpellation à la frontière avec la Tunisie, le sont sur la base du volontariat.
Choisi comme candidat du consensus par la plateforme d’opposition Alternance 2023 le 18 août, l’économiste Albert Ondo Ossa a bénéficié de l’appui d’Alexandre Barro Chambrier pour favoriser sa candidature.