L’Ivoirien Jacques Anouma est dans l’attente d’une décision du Tribunal arbitral du sport (TAS), qui pourrait lui reconnaître le droit de se présenter face à Issa Hayatou, le 10 mars prochain à Marrakech, lors de l’élection du président de la Confédération africaine de football (CAF). Suspense…
Dans un communiqué publié le 28 février, le chef militaire du Mouvement du 23 mars (M23), Sultani Makenga, annonce la destitution de Jean Marie Runiga, le coordonnateur politique du groupe rebelle, accusé de connivence avec le général Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale.
Zeus Ajavon, le numéro un de Sauvons le Togo et deux autres membres du collectif ont été inculpés, le 26 février, dans l’affaire des incendies de deux marchés du pays (Lomé et Kara). La défense dénonce une procédure judiciaire qui viserait l’ensemble de cette coalition regroupant plusieurs partis d’opposition et des membres de la société civile togolaise.
Grâce à l’action de « Conflict Free Tin Initiative », une organisation mise en place par les industriels du secteur, de l’étain équitable issu du Sud-Kivu va bientôt être commercialisé.
Mercerdi 27 février, à Conakry, la marche de l’opposition guinéenne ne s’est pas déroulée pacifiquement. Des affrontements avec les forces de l’ordre ont fait, en tout, quelque 130 blessés.
Alors que l’audience de confirmation des charges de Laurent Gbagbo se poursuit devant la CPI, les anciens dignitaires du régime se passionnent pour les débats. Parmi eux, d’anciens ministres en exil, des proches emprisonnés ou d’autres qui ont retrouvé la liberté. Découvrez, avec notre carte interactive, les membres d’une galaxie Gbagbo qui tente toujours d’exister.
Après plus de huit mois de tractations, Ennahdha a finalement fait une concession importante aux autres partis de la troïka et de l’opposition. En renonçant à vouloir contrôler quatre ministères régaliens, qui devraient être confiés à des indépendants, Rached Ghannouchi ouvre ainsi la voie à un règlement de la crise gouvernementale.
Compagne du défunt Steve Biko et égérie de la lutte antiapartheid, la femme d’affaires Mamphela Ramphele, ex-directrice générale à la Banque mondiale, se lance dans la bataille pour les élections générales de 2014.
Hier, l’ex-chef de la diplomatie israélienne Tzipi Livni, n’avait pas de mots assez durs envers Netanyahou. Aujourd’hui, elle accepte de devenir sa ministre.
Idriss Déby Itno donne de la voix. Le président tchadien a exhorté, mercredi 27 février à Yamoussoukro, ses homologues ouest-africains à hâter le pas dans le déploiement de la force ouest-africaine au Mali, où les troupes tchadiennes combattent les jihadistes dans le massif des Ifoghas.
Liberian Palm Development a choisi Afreximbank, la banque d’import-export africaine, comme conseil pour trouver un investissement de 140 millions de dollars qui doit servir à financer une plantation de palmiers à huile non loin du port en eau profonde de Buchanan, au Liberia.
À l’occasion du congrès mondial du mobile à Barcelone, l’opérateur qatari Qtel confirme son intérêt pour la filiale mise en vente par le groupe français Vivendi.
Des islamistes radicaux ont tenté d’empêcher, mercredi 27 février, la tenue d’un « Harlem Shake » organisé par des étudiants à Tunis. Le tournage a quand même eu lieu malgré une bagarre entre les deux camps.
En près de quarante ans, Brahim Hasnaoui a mis sur pied l’un des groupes de BTP les plus prospères d’Algérie. C’est lui qui mène le mégaprojet d’El Ryad, dans l’est d’Oran.
Le procès des Sahraouis, dans l’affaire du démantelement du camp protestataire de Gdim Izik, en 2010, se déroule dans une atmosphère inimaginable au Maroc, il y a peu encore.
Après des années de silence, les Tunisiens parlent, dissertent, débattent, analysent. Certains préfèrent se taire et danser. Une autre manière d’investir l’espace public et de résister.
La centrale électrique au gaz de Kribi, d’une puissance de 216 mégawatts, détenue en majorité par l’américain AES, commencera ses opérations commerciales à la fin mars.
Après plus de deux mois de suspension, le procès de Jean-Pierre Bemba a repris le 25 février, à huis clos. L’ancien vice-président de la RDC est poursuivi par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité en Centrafrique alors qu’il était chef d’un mouvement rebelle congolais. Son avocat, Me Aimé Kilolo, revient sur les raisons qui pourraient justifier l’acquittement de son client.
Alors que le cours du minerai rouge connaît une forte hausse, le Katanga et la Zambie sont en concurrence pour attirer les investisseurs. Mais en matière d’infrastructures, les deux sont forcés de s’entendre.
Le milliardaire sénégalais s’associe à un homme d’affaires local pour bâtir un hôtel de classe internationale dans la capitale économique du Cameroun. D’un coût de 15 milliards de francs CFA (22,9 millions d’euros), le projet s’inscrit dans une stratégie plus large visant à construire onze établissements à travers l’Afrique.
Après les incendies à la mi-janvier de deux marchés du pays, les autorités togolaises ont mis aux arrêts plusieurs membres de l’opposition, soupçonnés d’être derrière ces « actes criminels ». Parmi ces derniers, l’ancien Premier ministre Agbéyomé Kodjo, a finalement été remis en liberté, le 25 février.
Manuel Amoros, le sélectionneur du Bénin, déplore que son équipe soit restée inactive depuis juin, faute de moyens. Un mois avant un déplacement en Algérie en qualification pour la Coupe du Monde 2014 (le 26 mars), le technicien français tente, malgré tout, de positiver.
Un attentat-suicide à la voiture piégée a visé un point de contrôle à l’entrée de la ville de Kidal, dans le nord du Mali, mardi 26 février au soir. Bilan provisoire : sept morts, dont le kamikaze, et plusieurs blessés, mais pas de civils touchés.
Cette fois, c’est la bonne. Loïk Le Floch-Prigent a été placé en liberté provisoire par la justice togolaise. Détenu depuis septembre 2012, il a pris un vol à Lomé, mardi 26 février dans la soirée, et est arrivé à Paris dans la matinée.
Le cofondateur et vice-président du mouvement islamiste Ennahdha ne mâche pas ses mots à l’égard de sa famille politique. Abdelfattah Mourou la tient tout simplement pour responsable de la crise. Interview.