Mustapha Ben Jaafar, président de l’Assemblée nationale constituante (ANC) et chef du parti laïc Ettakatol allié aux islamistes d’Ennahdha, a déclaré mardi 12 février soutenir le projet du Premier ministre, Hamadi Jebali, de former un cabinet apolitique.
Le groupe Louvre Hotels a annoncé le 12 février la signature d’un contrat de partenariat avec le groupe marocain Ynna Holding, d’une durée de huit ans renouvelables.
Confronté à des rumeurs faisant état de son départ d’Algérie, le géant mondial de l’acier a assuré qu’il n’avait aucun plan pour céder sa participation dans son site d’Annaba.
Les États-Unis soutiennent la proposition de l’ONU d’engager, en RDC, une force d’intervention sous les ordres de la Monusco, pour contrer les rebelles du M23 dans l’est du pays. La signature de ce projet d’accord de coopération pour la paix et pour la sécurité de l’ONU dans la région des Grands Lacs, a été repoussée sine die lors du sommet de l’Union africaine, le 28 janvier.
Le transporteur national Royal Air Maroc et le français Servair ont conclu une convention de partenariat stratégique pour l’exploitation de l’activité du catering aérien. Aux termes de cette convention, Servair acquiert 40% du capital d’ACAS (Atlas Catering Airlines Services) jusque-là filiale à 100% de la RAM.
Les présidents de l’association L’Arche de Zoé, Éric Breteau, et sa compagne Émilie Lelouch, ont été condamnés par la justice française à trois ans de prison, dont deux fermes. Le couple était jugé pour avoir tenté d’exfiltrer, en 2007, du Darfour vers la France, 103 enfants prétendument orphelins pour les placer dans des familles d’accueil.
Ousmane Madani Haïdara, le prédicateur le plus célèbre du Mali, le vice-président du Haut Conseil islamique (HCI), et Mahmoud Dicko, l’influent président du HCI, s’opposent aux jihadistes.
Au Sheraton d’Addis-Abeba, chefs d’État, diplomates et courtisans se croisent, s’évitent ou bavardent. De la crise malienne à In Amenas en passant par la CAN, les sujets de conversation ne manquent pas.
Alors que l’intervention des armées française et africaines est entrée depuis ce week-end dans une deuxième phase, la branche d’Al-Qaida dans la Péninsule arabique (Aqpa) a appelé au jihad contre ce contre cette « croisade contre l’islam ».
Entre un présent incertain et un avenir encore plus hypothétique, les jeunes ont le sentiment amer d’être les laissés-pour-compte de la transition démocratique.
Entre les deux rives de la Méditerranée, les échanges se renforcent. Automobile, santé, infrastructures… Les Français investissent. Main dans la main avec les entreprises locales.
La compagnie minière nationale congolaise cherche à financer son ambitieux plan de développement. De retour d’un voyage en Chine, son patron Albert Yuma compte manifestement sur l’Empire du milieu pour l’aider à boucler son financement.
La télévision basée à Tunis change son modèle économique, remis en cause par le Printemps arabe. Elle abandonne son projet de chaîne unique pour tout le Maghreb au profit de grilles de programmes différenciées.
Le sélectionneur du Nigeria Stephen Keshi est revenu sur sa décision de quitter l’équipe nationale après avoir mené le pays à une troisième victoire en Coupe d’Afrique des Nations, dimanche à Johannesburg, quelques heures après avoir annoncé son départ.
Selon un nouveau bilan officiel communiqué à Conakry, l’accident d’avion survenu lundi 11 février au Liberia, près de l’aéroport international de Monrovia, a fait onze morts. Parmi les victimes, le chef d’état-major de l’armée guinéenne qui voyageait avec d’autres responsables militaires guinéens.
La troïka au pouvoir en Tunisie est au bord du gouffre. Le Congrès pour la République (CPR) de Moncef Marzouki annonce qu’il rejette la formation d’un gouvernement « apolitique » et repousse la démission de ses ministres d’une semaine afin de poursuivre les négociations avec Ennahdha. Mais Ettakatol soutient l’initiative du Premier ministre Hamadi Jebali.
Mali, RDC, Rwanda, Sahara occidental, Madagascar… Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, répond aux questions – et critiques – avec son habituelle mesure de diplomate aguerri.
Par peur d’un attentat, les forces de sécurité maliennes ont évacué, lundi 11 février, le plus grand marché de Gao, au Nord-Mali. Au cours des trois derniers jours, la ville a été la cible de plusieurs attaques et attentats-suicides commis par des jihadistes.
En quelques mois, l’ex-présentateur vedette de la télévision a fait de son parti la deuxième force politique du pays. Et se retrouve dans le rôle du faiseur de rois.
Salaires, maisons, voitures… Les chefs traditionnels coûtent très cher à l’Afrique du Sud. Des traitements « royaux » qui passent mal en temps de crise.
L’État gabonais entend relancer son industrie de la pêche avec l’appui et l’expertise du spécialiste mauricien Ireland Blyth Ltd. Un partenariat conclu par les deux parties prévoit la création d’une coentreprise et un investissement total de quelque 100 millions d’euros à terme.
Une fosse commune contenant les corps de deux civils arabes a été découverte près de la ville de Tombouctou. Selon des témoins, les deux victimes avaient été arrêtées le 28 janvier par l’armée malienne, le jour même de la reprise de la ville aux jihadistes.
Dans le cadre du développement du réseau de transport à Abidjan, la capitale économique, l’État ivoirien a lancé la procédure de financement de la mise en œuvre et de l’exploitation d’un train urbain de voyageurs. Coût estimatif du projet, 500 millions d’euros.
Gustave Bagayamukwe Tadji est entre les mains du pouvoir de Kinshasa. Le chef rebelle de l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a été arrêté dimanche 11 février à Uvira, dans le Sud-Kivu.
Au lendemain des affrontements meurtriers qui ont marqué le deuxième anniversaire du déclenchement de la révolution égyptienne, le président Morsi tente de recoller les morceaux. Tant bien que mal.
Unanimes, les chefs d’État du continent ont salué, lors du sommet de l’UA (27 et 28 janvier), l’intervention militaire française au Mali. Mais celle-ci démontre aussi leur incapacité à régler leurs problèmes seuls. Et relance la question d’une force d’interposition africaine.
Les grands minotiers et la fédération des boulangers s’opposent sur le prix de la farine. Et chacun avance ses arguments : l’augmentation des prix sur le marché international pour les uns, le soupçon d’entente sur les prix pour les autres.