La brutale répression policière qui s’est abattue le lundi 9 avril sur les manifestants de l’emblématique avenue Bourguiba, à Tunis, a profondément marqué la société civile tunisienne. Déroulement des évènements, commission d’enquête, conséquences politiques éventuelles… Ziyed Krichen, journaliste et directeur de publication du quotidien « el Maghreb », analyse pour Jeune Afrique les enjeux de ce « Lundi noir ».
Quatorze premiers prisonniers de guerre soudanais, capturés durant les récents combats à la frontière entre les deux Soudans, sont arrivés dimanche à Juba, a constaté un journaliste de l’AFP, alors que l’armée sud-soudanaise faisait état de combats dans une nouvelle zone frontalière.
Le gouvernement mauritanien et la Société islamique pour le développement du secteur privé (SIDSP), filiale de la Banque islamique de développement (BID), ont signé à Nouakchott une convention qui permet à la Mauritanie d’émettre ses premiers bons du trésor islamiques.
Quarante-quatre partis politiques se sont lancés officiellement dimanche dans la course électorale en Algérie pour les élections législatives du 10 mai, suite aux ouvertures de la présidence destinées à éviter un Printemps arabe dans ce pays encore meurtri par une guerre civile sanglante.
Les militaires qui ont pris le pouvoir en Guinée-Bissau poursuivent leurs discussions avec d’ex-opposants pour former un gouvernement d' »union », au moment où des interrogations entourent le rôle du chef de l’armée, dont l’arrestation est « une farce » pour certains.
De difficiles discussions doivent reprendre entre l’ex-junte et la classe politique malienne à Ouagadougou pour fixer la durée de la transition et tenter d’esquisser une sortie de crise dans le Nord, coupé du monde depuis sa prise par des groupes armés.
L’UMP a signé samedi à Paris un accord de partenariat avec le Rassemblement des républicains (RDR, libéral), parti du président ivoirien Alassane Ouattara.
Des discussions sur une sortie de crise au Mali, menées par le médiateur et président burkinabè Blaise Compaoré, ont eu lieu samedi à Ouagadougou pour fixer une « feuille de route » de la transition après le retrait des putschistes et rétablir la situation dans le Nord tenu par des groupes armés.
Une vidéo tournée fin février montre deux Français enlevés en novembre 2011 dans le nord du Mali par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), selon un journaliste de l’AFP à Ouagadougou qui a pu la visionner samedi.
Les forces du régime syrien ont violemment bombardé dimanche le quartier de Khaldiyé à Homs, ont rapporté des opposants. Cette rupture du cessez-le-feu est intervenue le jour de l’arrivée des premiers observateurs de l’ONU pour surveiller l’application du plan de paix.
L’inquiétude montait samedi pour les membres du gouvernement déchu en Guinée-Bissau après le coup d’Etat et l’arrestation des deux têtes de l’exécutif par les putschistes, qui tentaient de mettre en place un gouvernement d' »union » avec l’ex-opposition.
Le président français Nicolas Sarkozy a officiellement reconnu samedi la « responsabilité historique » de la France dans « l’abandon » des harkis, combattants musulmans au service de la France, après la fin de la guerre d’Algérie en 1962.
Les membres du gouvernement de Guinée-Bissau renversé jeudi par un coup militaire sont en danger de mort, a affirmé samedi à Lisbonne le ministre bissau-guinéen des Affaires étrangères, Mamadou Djalo Pires, en marge d’une réunion de la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP).
L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), du leader d’opposition Etienne Tshisekedi, a exclu 33 de ses députés élus lors des législatives contestées de fin 2011 pour avoir siégé à l’Assemblée nationale bien que le leader du parti avait déclaré ces élections « nulles ».
Des leaders d’opposition de Guinée-Bissau devaient discuter samedi de la mise en place d’un gouvernement d' »union » proposé par les militaires qui, après leur coup d’Etat, ont exigé les postes de la Défense et de l’Intérieur.
La ville de Homs (centre) a été brièvement bombardée samedi en dépit du cessez-le-feu instauré en Syrie, à quelques heures d’un vote du Conseil de sécurité de l’ONU sur le déploiement d’observateurs.
L’armée sud-soudanaise (SPLA) contrôlait toujours la ville de Heglig, au Soudan, samedi matin, a affirmé à l’AFP son porte-parole, le colonel Philip Aguer, au lendemain d’une offensive annoncée par Khartoum pour reconquérir cette zone pétrolière à la frontière entre les deux Etats, dont Juba s’est emparée mardi.
Des milliers d’Égyptiens ont manifesté vendredi au Caire pour exiger la mise à l’écart des responsables de l’ère Moubarak candidats à l’élection présidentielle, dans une nouvelle épreuve de force avec le pouvoir militaire.
Les consultations se poursuivaient vendredi en vue de la nomination d’un Premier ministre et de son gouvernement au Mali, au lendemain de l’investiture du président Dioncounda Traoré, qui a promis la « guerre » aux groupes armés occupant le Nord, s’ils refusent de se retirer.
Un nouveau coup d’État militaire était accompli vendredi en Guinée-Bissau après l’arrestation du président intérimaire, du Premier ministre et du chef d’état-major, dans la capitale désormais quadrillée par les soldats, à deux semaines de la présidentielle du 29 avril.
Le vendredi 13 avril, vers 14 heures, le premier président algérien a été enterré à Alger. Sous une météo capricieuse, avec des voisins présents et des lointains absents.
En plein entre-deux tours de l’élection présidentielle, une partie de l’armée bissau-guinéenne s’est emparée jeudi 12 avril dans la soirée de la résidence du Premier ministre, Carlos Gomes Junior, dont la femme assure qu’il a été arrêté par les mutins. Selon une source militaire, le président par intérimaire Raimundo Pereira et plusieurs responsables politiques sont également détenus au siège de l’état-major de l’armée. La capitale Bissau est actuellement quadrillée par les militaires putschistes. Les signaux de la télévision et de la radio nationales sont coupés.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il s’intéresse ici à la personalité de Ben Bella, réservé et pudique.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici la dernière période de la vie politique de Ben Bella, depuis 1979.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les années où Ben Bella est au sommet, dès septembre 1962, lorsqu’il devient chef du gouvernement.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les dix années qui ont conduit Ben Bella de la lutte nationale pour l’indépendance à la course au pouvoir en 1962.
Alors que l’accès aux pays de l’Union européenne se durcit, la Tunisie est devenue une option prisée par les élèves subsahariens. Une aubaine pour les universités privées.
L’école parisienne est présente dans douze pays africains à travers des cercles de réflexion et d’échange. Ceux-ci rassemblent des cadres soucieux d’améliorer leurs capacités de management et leur compétitivité.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les années au cours desquelles Ben Bella s’est engagé en politique.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les trente premières années de la vie de Ben Bella.