Comme Jean Ping à la tête de la Commission de l’UA, le Kenyan Erastus Mwencha souhaite se succéder à lui-même à la vice-présidence de cette institution. Et continuer son oeuvre de restructuration libérale.
Une violente contre-attaque des combattans fidèles à Mouammar Kadhafi les a contraint à reculer de deux kilomètres. Les forces du nouveau régime libyen se sont repliées jusqu’au quartier général de la police de Syrte.
Les dernières déclarations du procureur de la République faisaient état de 38 arrestations dont 27 militaires, après l’attaque le 19 juillet de la résidence privée du président guinéen Alpha Condé.
Pour éviter la dispersion des armes du régime déchu de Mouammar Kadhafi, l’administration américaine a dépéché 14 experts en Libye. Une cinquantaine d’autres suivront bientôt.
Le parti politique islamiste tunisien Ennahda a condamné samedi toute violence, après l’attaque visant le patron de la chaîne privée Nessma TV. La chaîne parle, quant à elle, d’un « double discours ».
Alors que les résultats de plus de la moitié des bureaux de vote ont été communiqués par la commission électorale, l’opposition libérienne, dont le parti de Winston Tubman, s’est retiré samedi du processus électoral, dénonçant de « nombreuses fraudes ».
Une opération de ratissage a été lancée par les nouvelles autorités libyennes après les combats meurtriers entre pro et anti Kadhafi dont ont été le théatre plusieurs quartiers de Tripoli vendredi. Des fidèles de l’ancien « guide » libyens qui resistent toujours dans la ville de Syrte, où les combats ont repris samedi.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), qui enquête sur les crimes commis durant la crise post-électorale en Côte d’Ivoire, doit rencontrer samedi à Abidjan le président Alassane Ouattara et les partisans du chef d’Etat déchu Laurent Gbagbo.
À un peu plus d’un mois des élections législatives marocaines, Jeune Afrique est allé à la rencontre des différents acteurs de la vie politique du royaume afin de comprendre les craintes que suscite la montée en puissance du Parti islamiste de la justice et du développement (PJD). Une enquête à lire dans le J.A. n°2649 en kiosques du 17 au 24 octobre 2011.
La capitale libyenne a connu vendredi ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés du dirigeant déchu Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans deux quartiers de la ville. Trois personnes ont été tués et trente blessés.
Les résultats de 50,3% des bureaux de vote ont été communiqués par la commission électorale. Avec 45,4% des suffrages exprimés, contre 29,5 pour son adversaire Winston Tubman, la présidente sortante Ellen Johnson Sirleaf accroît sont avance et se rapproche de la barre des 50% synonyme de victoire au premier tour de l’élection présidentielle au Liberia.
Toujours en colère contre la chaîne privée Nesma TV, plusieurs milliers d’islamistes présumés ont manifesté vendredi dans plusieurs endroits de Tunis. Puis une centaine d’hommes ont attaqué le domicile du PDG de la chaîne, Nabil Karoui, en banlieue de Tunis. Il n’y aurait pas de victimes.
La capitale libyenne Tripoli a connu ses premiers combats depuis un mois. Des partisans armés fidèles à Mouammar Kadhafi ont affronté des forces du nouveau régime dans le quartier d’Abou Slim. Parallèlement, les forces du CNT ont tenté une nouvelle percée à Syrte. Sans grand succès pour l’instant.
… et « Paul Biya n’est pas un empereur ! » C’est en ces termes que s’exprime le cardinal Christian Tumi, qui a fêté ses 81 ans le samedi 15 octobre. Dans l’interview exclusive accordée à jeuneafrique.com, il donne son point de vue sur le déroulement de l’élection présidentielle du 9 octobre dernier. Et prône l’alternance pacifique au Cameroun grâce à la mise en place d’une nouvelle loi électorale.
Dans son n°2649 en kiosques du 16 au 22 octobre, Jeune Afrique dresse le portrait des treize personnalités de tous bords épinglées par le dernier rapport de Human Rights Watch, publié le 6 octobre. D’un côté l’ancien président Laurent Gbagbo et sept de ses alliés… De l’autre, cinq membres des forces pro-Ouattara.
Ousmane Sy est ancien ministre et conseiller municipal de Bandiagara. Il s’insurge contre les consignes données par les pays occidentaux à leurs ressortissants pour dissuader ces derniers de faire du tourisme au Mali.
L’usine de la Famab-SMO, qui fabrique des aliments pour bétail et des oléagineux au Mali, se modernise. Elle se prépare à subvenir aux besoins du marché local, loin d’être comblés.
L’arrivée à la tête des Affaires étrangères de l’ex-chef des renseignements, en avril dernier, a décomplexé la diplomatie malienne. Un nouvel élan bienvenu.
Longtemps décriées pour leur vétusté et leur non-conformité aux normes internationales, les infrastructures du continent se modernisent. Et, de plus en plus, la tendance est à la privatisation de leur gestion.
Une vingtaine de prétendants se sont déclarés pour la présidentielle malienne de 2012. Parmi eux, trois poids lourds, entre lesquels la compétition promet d’être sans merci. Et qui ne devront négliger ni le charisme ni le soutien de certains outsiders.
Ibrahim Boubacar Keïta est le président du Rassemblement pour le Mali (RPM) et fait partie des candidats favoris pour succéder à Amadou Toumani Touré à la tête de l’État malien.
Soumaïla Cissé est le fondateur de l’Union pour la République et la démocratie (URD) et fait partie des candidats favoris pour succéder au président du Mali, Amadou Toumani Touré.
Ils ne sont pas favoris, et leurs scores risquent d’être anecdotiques. Pourtant, certains auront une influence majeure sur la présidentielle malienne à l’image de Hamed Sow, Jeamille Bittar, Mandani Tall ou encore Modibo Sidibé.
La composition de la Ceni suscite une polémique toute sémantique au Mali. Entretien avec Kassoum Tapo, président de la commission des lois de l’Assemblée nationale, député de la majorité.
Dernier chantier d’envergure président malien Amadou Toumani Touré : le projet de révision de la Constitution. Il pourrait être soumis à référendum en décembre ou janvier.
Fini le consensus. Conscient des enjeux d’une année électorale déterminante, le Mali tout entier redécouvre la politique. Des nombreuses formations diluées dans la mouvance présidentielle aux quelques leaders d’opposition, chacun reprend ses marques. Pendant que le chef de l’État, Amadou Toumani Touré peaufine son bilan.