Arrivée au pouvoir des islamistes en Tunisie, droits des femmes, menace salafiste… La réalisatrice controversée Nadia el-Fani livre à jeuneafrique.com sa vision de la situation politique et sociale dans son pays.
Sous le coup d’une mesure d’extradition vers la Libye, suspendue par l’ex-président tunisien par intérim Fouad Mebazaa, l’ancien Premier ministre de Kadhafi plaide sa cause depuis sa cellule, à Tunis.
Dramaturge, essayiste, le Comorien Soeuf Elbadawi a plus d’une corde à son arc… et ses flèches visent aussi bien la classe politique de son pays natal que l’ancienne puissance coloniale.
L’Union du peuple gabonais (UPG), l’un des deux grands partis d’opposition, va déposer des recours devant la Cour constitutionnelle, a annoncé le porte-parole mardi 27 décembre. L’UPG accuse le pouvoir de « fraudes massives » lors des élections législatives du 17 décembre.
Lundi 26 décembre, la Guinée-Bissau a assuré avoir déjoué une tentative de coup d’État, et arrêté plusieurs officiers de l’armée, parmi lesquels, le chef de la marine. Lors d’une opération de recherche des suspects, un militaire a été tué et deux autres ont été blessés.
De plus en plus agacé par les exactions des membres du Polisario sur son territoire, Bamako n’apporte plus aucun soutien au groupe indépendantiste sahraoui. Et multiplie les gestes de défiance.
Militant des droits de l’homme réputé pour son intégrité et son intransigeance, Moncef Marzouki, le nouveau président de la République, s’est engagé à veiller à la sauvegarde des libertés individuelles de tous les Tunisiens. Et promet à l’opposition, inquiète de son entente avec Ennahdha, d’ériger en règles de conduite le dialogue et la concertation.
Difficile pour les journaliste de faire leur travail dans l’Éthiopie de Meles Zenawi. Deux Suédois, condamnés à onze ans de prison, viennent d’en faire l’amère expérience.
Les anciens rebelles libyens, qui ont combattu les forces de Mouammar Kadhafi, réclament une plus grande représentation au sein du Conseil national de transition libyen. Le pouvoir doit être composé de 40% d’ex-combattants, ont-ils demandé à l’issue d’une conférence.
Le maire de Sacré-Coeur/Mermoz, à Dakar, et deux des commanditaires présumés de l’attaque le 22 décembre contre sa mairie ont vu leur garde à vue prolongée de quarante-huit heures. Dans l’opposition sénégalaise, des voix s’élèvent pour dénoncer un complot du pouvoir.
De nouvelles violences communautaires déclenchées par des exactions des FRCI ont fait plusieurs morts et blessés à Sikensi, au nord d’Abidjan. De graves incident qui soulignent la faiblesse du gouvernement et les profondes divisions des Ivoiriens.
Hamadi Jebali, le nouveau Premier ministre tunisien, a pris ses fonctions lundi 26 décembre. Lors de la cérémonie de passation des pouvoirs avec son prédécesseur Béji Caïd Essebsi, le numéro 2 d’Ennahdha a assuré que le gouvernement placera son mandat sous le signe de la « bonne gouvernance ».
Des magasins tenus par des chrétiens ont été incendiés et des centaines de gens fuyaient lundi les violences dans le nord-est du Nigeria, après une série d’attentats meurtriers le jour de Noël attribués au groupe islamiste Boko Haram, ont déclaré des témoins.
Le général algérien Athman Tartag, doté d’une longue expérience dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, vient d’être nommé à la tête du contre-espionnage algérien, a annoncé lundi le quotidien El Watan.
Une semaine après la suspension du processus de compilation des résultats des législatives congolaises, la Commission électorale (Ceni) a annoncé lundi 26 décembre que la reprise du calcul sera conditionnée par l’arrivée d’experts américains et britanniques.
Le président tchadien, Idriss Déby Itno, persiste et signe : la guerre contre Kadhafi a été pour la région un facteur de déstabilisation, et la façon dont ce dernier a été tué « laissera des traces ». Pour lui, le dictateur libyen devait certes quitter le pouvoir, mais en douceur : « C’était possible », regrette-t-il.
Quelque 40 personnes ont trouvé la mort ces derniers jours au Nigeria, dans des attentats revendiqués par la secte islamiste Boko Haram. Les explosions ont visés plus particulièrement des églises le 25 décembre, jour de noël.
Plusieurs miliers de personnes ont manifesté dimanche 25 novembre dans les rues de Rabat et de Casablanca. Répondant à l’appel du Mouvement du 20 février, ces Marocains sont descendus dans la rue pour réclamer des réformes politiques plus profondes et une plus grande justice sociale.
Pourquoi l’Algérie est-elle restée à l’écart du Printemps arabe ? Selon Tony Barber, du « Financial Times », la réponse est dans l’exceptionnelle brutalité de son passé colonial.
Trois policiers et un kamikaze sont morts dans l’un des attentats du jour de Noël à Damaturu, dans le nord-est du Nigeria, a indiqué la police, ce qui porte le bilan total des cinq attentats dans ce pays à 32 morts.
Accusé de détournement de fonds, l’ancien commissaire aux droits de l’homme, Mohamed Lemine Ould Dadde, est maintenu en détention sans procès depuis plus d’un an.
La Libye a fêté samedi son indépendance pour la première fois depuis l’arrivée au pouvoir en 1969 de Mouammar Kadhafi, renversé puis tué après un soulèvement qui s’est transformé en guerre civile.
La justice égyptienne a décidé dimanche de libérer le blogueur et militant égyptien Alaa Abdelfattah, détenu depuis près de deux mois, ont annoncé sa soeur et une source judiciaire.
Deux attentats visant des églises au Nigeria ont fait au moins 28 morts le jour de Noël, dimanche, le plus sanglant ayant été revendiqué par la secte islamiste Boko Haram tandis que le gouvernement évoquait une guerre.
Le Conseil national syrien (CNS), principal mouvement d’opposition, a exhorté dimanche la Ligue arabe, dont une mission d’observateurs est attendue lundi en Syrie, à se rendre à Homs (centre), où des milliers de soldats « assiègent » un quartier insurgé.
L’armée soudanaise a affirmé avoir tué dimanche Khalil Ibrahim, le chef d’un des plus importants groupes rebelles du Darfour, une région de l’ouest du Soudan, trois jours après l’annonce par ce groupe qu’il marchait sur Khartoum pour renverser le régime.
Le secrétaire d’Etat français aux Anciens combattants Marc Laffineur, qui s’est entretenu avec le président tchadien Idriss Deby Itno samedi à N’Djamena, a déclaré à la presse que la « base française au Tchad sera maintenue » et « que le nombre d’avions » sera renforcé.