Durement critiqué par la presse et une partie de l’opinion publique après la défaite au Botswana (0-1) en qualifications pour la CAN 2012, Bertrand Marchand (57 ans) bénéficie du soutien de sa fédération. Mais le sélectionneur français de l’équipe tunisienne de football n’a plus le droit à l’erreur : s’il veut emmener les Aigles de Carthage au Gabon et en Guinée équatoriale, il devra réaliser un sans faute…
Son procès devant la Cour pénale internationale s’est ouvert le 22 novembre. Accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, l’ancien vice-président de la RDC joue son avenir politique. Et compte se défendre pied à pied.
Dans sa première interview en tant que président, Alpha Condé a appelé à l’unité nationale. Mais les slogans de campagne hostiles au camp de son adversaire du second tour, Cellou Dalein Diallo, n’étaient pas totalement oubliés.
Après que deux présidents se sont déclarés – l’un élu, l’opposant Alassane Dramane Ouattara, et l’autre auto-proclamé, Laurent Gbagbo, selon la communauté internationale – la Côte d’Ivoire connaît désormais deux Premiers ministres. Alors que certains commencent déjà à fourbir leurs armes, Thabo Mbeki tente une médiation de la dernière chance. Chronique d’une partition reconduite ?
Moins de six mois après son arrivée au CS Sfaxien (D1 tunisienne), l’entraîneur français Pierre Lechantre a trouvé un accord amiable avec les dirigeants du club pour mettre un terme à son contrat. Une décision annoncée le dimanche 5 décembre, au lendemain de la défaite en finale retour de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) face au Fath Rabat (2-3).
Malgré la médiation de l’ex-chef d’État sud-africain Thabo Mbeki, la crise politique persistait dimanche en Côte d’Ivoire après l’annonce d’un gouvernement d’Alassane Ouattara, qui revendique la présidence comme son rival Laurent Gbagbo.
Instauré par Laurent Gbagbo à la veille du second tour de l’élection présidentielle qui l’a opposé à Alassane Ouattara, le couvre-feu est enfin levé ce lundi. Mais il a compliqué la vie des Ivoiriens de la capitale économique, Abidjan, et compte-tenu de l’incertitude politique – la Côte d’ivoire a désormais deux présidents – la situation n’est pas près de s’améliorer. Reportage.
Le nouveau président guinéen, Alpha Condé, a souhaité la mise en place d’une « conférence vérité-réconciliation afin que les Guinéens se disent les vérités » sur les crimes commis tout au long de l’histoire de la Guinée indépendante.
Alassane Ouattara a souhaité dimanche que l’ex-chef d’Etat sud-africain Thabo Mbeki, dépêché par l’Union africaine en Côte d’Ivoire, « demande à Laurent Gbagbo de ne pas s’accrocher au pouvoir », alors que les deux hommes revendiquent la présidence.
Les Égyptiens votaient dimanche pour le second tour d’élections législatives à l’issue desquelles le parti au pouvoir est assuré de régner sans partage sur l’Assemblée à un an de la présidentielle, face à une opposition qui boycotte le scrutin en dénonçant des fraudes.
L’ex-président sud-africain Thabo Mbeki, envoyé en « mission d’urgence » par l’Union africaine, est arrivé dimanche matin à Abidjan pour tenter de trouver une issue à la grave crise post-électorale en Côte d’Ivoire, a-t-on appris de source aéroportuaire.
Le président Alassane Dramane Ouattara a reconduit le Premier ministre Guillaume Soro qui venait lui remettre sa démission. Un nouveau gouvernement doit être prochainement nommé, ce que va également faire l’autre président Laurent Gbagbo. La Côte d’Ivoire est profondément divisée.
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux réfugiés (HCR) à Genève a confirmé samedi la libération par le Front Polisario d’un ancien responsable sahraoui, accusé d’espionnage au profit du Maroc.
La Côte d’Ivoire s’est retrouvée samedi avec deux présidents, le sortant Laurent Gbagbo et l’ex-Premier ministre Alassane Ouattara qui ont tour à tour prêté serment, saisissant résumé de l’immense division d’un pays abîmé par une décennie de crises.
L’Union africaine a appelé samedi au respect des résultats de la Commission électorale ivorienne désignant jeudi Alassane Ouattara vainqueur du scrutin et pris indirectement position contre le président sortant Laurent Gbagbo.
Lors de sa prestation de serment, samedi 4 décembre, le président sortant Laurent Gbagbo a tenu un discours émaillé de nombreuses références indirectes à la communauté internationale et à son rival Alassane Ouattara. Celui-ci, arrivé premier à l’élection présidentielle avec 54,1% des voix selon les résultats provisoires de la CEI, a vu sa victoire invalidée par le Conseil constitutionnel mais il est reconnu par l’ONU, l’UE, la Cedeao et les États-Unis, entre autres.
Laurent Gbagbo, au pouvoir depuis 2000, a été officiellement investi samedi président de la République de Côte d’Ivoire alors que son rival Alassane Ouattara a été reconnu par l’ONU comme le « président élu ».
Certaines « clauses secrètes » des anciens accords de défense liant la France à plusieurs pays africains ont été décrites aux diplomates américains par des conseillers de Nicolas Sarkozy. De nouveaux télégrammes diplomatiques américains obtenus par WikiLeaks et dont le contenu a été révélé par le quotidien français « Le Monde » samedi, rendent publics ces échanges.
Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro a reconnu Alassane Ouattara comme président, et indiqué qu’il allait lui remettre la démission de son gouvernement, alors que Laurent Gbagbo est sur le point d’être investi chef de l’Etat.
Deux personnes ont été tuées après des tirs nourris des forces de l’ordre dans la nuit de vendredi à samedi dans un quartier populaire du sud d’Abidjan, où des partisans du président Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara s’affontaient.
« La France n’a jamais vraiment accepté l’indépendance algérienne » et tente de régler ses comptes avec l’Algérie « en appuyant le Maroc », estimait en 2007 le président algérien Abdelaziz Bouteflika, selon des mémos diplomatiques américains diffusés par WikiLeaks.
Des échanges de tirs nourris ont eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi au sud et au nord d’Abidjan, a-t-on appris auprès d’habitants, alors que la Côte d’Ivoire était sous haute tension avec un président proclamé, Laurent Gbagbo, et un autre reconnu à l’étranger, Alassane Ouattara.
Le représentant du Secrétaire général de l’ONU, Young Jin-Choi, maintient que les résultats provisoires de la CEI plaçant Alassane Dramane Ouattara (ADO) en tête de l’élection présidentielle ivoirienne sont valides, alors que le Conseil constitutionnel a déclaré Laurent Gbagbo vainqueur. L’ONU a donc certifié la victoire de ADO, l’UE et Guillaume Soro reconnaissant également la victoire de l’opposant.
La 20e session de l’Assemblée parlementaire paritaire ACP-UE s’est ouverte à Kinshasa, le 2 décembre au matin, dans le contexte des relations complexes entre la République démocratique du Congo (RDC) et ses bailleurs européens. Le président Joseph Kabila en a profité pour remercier chaleureusement l’Union européenne de son engagement auprès de son pays.
Le bras de fer entre le camp du président sortant Laurent Gbagbo et celui de Alassane Dramane Ouattara ne fait que commencer. Alors que le second est donné vainqueur de l’élection présidentielle ivoirienne avec 54,1 % des voix par la CEI, selon les résultats provisoires, ceux définitifs proclamés par le Conseil constitutionnel placent Laurent Gbagbo en tête du scrutin avec 51,45 %. Un écart dû à l’annulation des votes dans plusieurs départements du Nord.
La Côte d’Ivoire est-elle à l’aube d’un nouvel épisode de violences ? C’est du moins ce que redoute une majeure partie des Ivoiriens alors que les signes s’accumulent d’un éventuel passage en force du président Laurent Gbagbo, donné perdant à 45,9 % (contre 54,1 % pour Alassane Dramane Ouattara) à l’élection présidentielle selon les résultats provisoires de la CEI.
Le dossier sensible des « biens mal acquis » a été confié à deux juges d’instruction français. Leur mission est d’enquêter sur le patrimoine en France de trois présidents africains : le Gabonais feu Omar Bongo Ondimba, l’Équato-Guinéen Teodoro Obiang Nguema et le Congolais Denis Sassou N’Guesso.