La junte militaire au pouvoir en Guinée a menacé mercredi d’interdire aux anciens Premiers ministres de se présenter à la présidentielle, les accusant d’avoir « pillé » et « bradé » leur pays. Une déclaration qui intervient peu après l’arrivée à Conakry de la commission d’enquête des Nations Unies sur les massacres du 28 septembre.
Le journaliste tunisien Taoufik Ben Brick a été condamné à six mois de prison ferme pour violences contre la femme d’affaire Rym Nasraoui. Il accuse la « police politique » d’avoir monté cette affaire contre lui.
Depuis 2004, les autorités mènent une lutte sans merci contre le trafic de drogue, notamment la résine de cannabis. Objectif : éradiquer sa culture d’ici à 2018.
Fabienne Pous et Michèle Ganascia se sont rendues au Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) à Arusha (Tanzanie) mi-octobre, avant leur arrivée remarquée à Kigali la semaine dernière. Elles y cherchaient des informations sur certains rédisents Rwandais en France.
A l’issue d’un voyage au Qatar, Le président malien Amadou Toumani Touré (ATT) a enfin évoqué devant la presse le crash d’un Boeing chargé de cocaïne, en plein désert près de Gao.
Le paludisme connait un recul « extrêmement important » dont « l’ampleur surprend tout le monde » au Sénégal d’après les chercheurs de l’organisation française Institut de recherche et de développement (IRD). Les nouveaux médicaments en sont la cause principale.
L’île caracole au sommet de tous les classements internationaux. Pourtant, la crise a sonné le glas de l’État providence et fragilise les plus vulnérables.
La proposition de geler partiellement les colonies israéliennes en Cisjordanie pour 10 mois, formulée par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu mercredi, a été rejetée en bloc le soir même par l’Autorité palestinienne, qui estime qu’une telle mesure n’est pas suffisante pour relancer le processus de paix.
Depuis quelques mois, les violences ont repris. L’armée a réinvesti la zone. Regain de banditisme ou retour des revendications indépendantistes ? Les deux, probablement, même si le mouvement séparatiste est très affaibli par ses divisions.
De la sueur, du sang, des larmes et une grosse crise avec l’Égypte… Khadra, l’équipe nationale algérienne, a gagné, le 18 novembre, sa qualification pour le Mondial 2010. Cette victoire a soudé tout un peuple.
Un avion-cargo rempli de cocaïne a atterri en plein désert. L’équipage s’est volatilisé, ainsi que le chargement. Restent d’embarrassantes questions pour les autorités de la région.
Candidat potentiel à la présidentielle de 2011 au cas où son père ne se représenterait pas, le fils de l’actuel chef de l’État n’est pas assuré de bénéficier du soutien sans réserve des dignitaires du régime. Samer Suleiman, professeur d’économie politique à l’Université américaine du Caire, décrypte pour J.A. une situation plus compliquée qu’il n’y paraît.
Aidés par la diaspora rwandaise et par un réseau de financement international, les rebelles hutus rwandais continuent de faire la loi dans l’est de la RDC, où la situation humanitaire se dégrade. Les experts des l’Onu tirent la sonnette d’alarme.
Le président de la Commission électorale nationale affirme que l’élection présidentielle ne pourra pas se tenir le 31 janvier 2010, comme théoriquement prévu. Le matériel électoral nécessaire n’est toujours pas commandé.
Mouammar Kadhafi a accepté la sollicitation de la ligue arabe pour devenir médiateur entre l’Algérie et l’Egypte. La tension diplomatique entre les deux pays n’est toujours pas retombée depuis les incidents en marge des derniers matchs de football qui les opposaient.
Le cours de la Semliki, frontière entre la RD Congo et l’Ouganda, a beaucoup dévié. La région est riche en pétrole, les deux pays n’arrivent pas à s’entendre sur un nouveau tracé.
Le porte-parole de la junte a menacé d’exclure les anciens Premiers ministres de Guinée de l’élection présidentielle à Ouagadougou. Ils sont responsables, selon lui, d’avoir « pillé » le pays.
Toute la mosaïque confessionnelle du pays est représentée dans l’équipe de trente ministres désignée le 9 novembre, après plus de quatre mois de tractations.
Un temps considérée comme un facteur de division, puis comme une menace pour l’unité nationale, l’amazighité constitue désormais l’un des éléments reconnus de l’identité algérienne. Une sacrée avancée, même si tout n’est pas réglé.