L’entraîneur de l’équipe nationale sud-africaine d’athlétisme a démissionné, faisant valoir la façon dont Caster Semenya avait été traitée par la fédération. Wilfred Daniels explique que la championne du monde du 800 m, dont le genre est remis en question, avait été testée à son insu avant son départ pour les Mondiaux de Berlin.
Une foule en colère a lapidé à mort deux policiers soupçonnés d’avoir commis des larcins. La nouvelle police burundaise, mise en place en 2005, a très mauvaise réputation.
Rien ne peut laisser penser que la France « s’est ingérée dans l’élection gabonaise », a de nouveau affirmé l’Elysée. Cette sortie fait suite aux accusations que Paris a aidé le fils du président défunt à accéder à la magistrature suprême.
La caution de la journaliste Loubna Ahmed al-Hussein a été payée et elle a recouvré la liberté ce mardi. Condamnée pour avoir porté un pantalon, une tenue jugée indécente, elle devait payer une amende ou faire un mois de prison.
La journaliste soudanaise qui risquait quarante coups de fouet pour avoir porté un pantalon a été condamnée lundi à payer une amende. Loubna Ahmed al-Hussein a déclaré qu’elle préférait faire un mois de prison, la peine encourue si jamais elle n’éxécutait pas la sentence.
Le procès de la journaliste soudanaise Loubna Ahmed al-Hussein, passible de 40 coups de fouet pour avoir porté un pantalon jugé « indécent », doit reprendre lundi à Khartoum, après avoir été ajourné en août et suscité l’attention du monde entier.
Le roi Mohammed VI du Maroc a félicité Ali Bongo Ondimba pour son élection à la tête du Gabon, lui adressant ses « sincères voeux de plein succès », selon le média privé gabonais en ligne Gabonews.
A l’occasion du ramadan, les télévisions égyptiennes diffusent des séries sur le conflit israélo-palestinien. L’un des objectifs est de doper le patriotisme.
Au moins six civils ont été tués et dix-huit blessés dans des combats qui ont suivi l’attaque par des rebelles des locaux du gouvernement et des forces de l’Union africaine (UA) à Mogadiscio, ont rapporté dimanche des témoins et des sources médicales.
Alors que le climat politique reste tendu après la victoire contestée d’Ali Bongo à la présidentielle gabonaise, l’équipe nationale de football n’avait pas droit à l’erreur lors du match qui l’a opposée au Cameroun. Mais c’était compter sans Samuel Eto’o qi a offert la vicoire aux Lions Indomptables.
Ali Bongo, proclamé officiellement vainqueur de la présidentielle au Gabon, a déclaré samedi qu’il souhaitait « absolument que le calme revienne » dans le pays où des violences post-électorales ont fait au moins deux morts à Port-Gentil.
Aucun incident n’a été signalé dans la nuit de dimanche à lundi à Port-Gentil. L’annonce de la victoire d’Ali Bongo à la présidentielle du 30 août avait provoqué des émeutes dans la deuxième ville du Gabon.
Trois personnes sont mortes dans les violences post-électorales depuis le 3 septembre à Port-Gentil, capitale pétrolière du Gabon, a affirmé dimanche le ministre de l’Intérieur et de la Défense, menaçant de requérir « l’état de siège » pour mettre fin aux troubles.
De nombreux habitants de Port-Gentil (ouest du Gabon) quittaient dimanche matin la ville, où un calme relatif était pourtant revenu après de nouvelles violences survenues dans la nuit malgré le couvre-feu.
Le Gabon était samedi dans la crainte de nouvelles émeutes après la défaite de son équipe de football (2-0) contre le Cameroun sous les yeux d’Ali Bongo.
Au moins deux personnes ont été tuées à Port-Gentil, deuxième ville du Gabon, dans les violences qui secouent cette cité depuis l’annonce des résultats de l’élection présidentielle.
L’audition par la police d’Ali Anouzla, directeur du quotidien arabophone Al Jarida Al Oula, suite à la publication d’un article sur la santé de Mohammed VI, s’est achevée au bout de trois jours, a-t-on appris vendredi.
En dépit du couvre-feu, Port-Gentil, la deuxième ville du Gabon, a été de nouveau le théâtre de violentes manifestations de mécontentements vendredi, faisant suite à l’annonce de la victoire d’Ali Bongo à la présidentielle. A l’issue du conseil des ministres, un communiqué a annoncé le limogeage du gouverneur de la province dans laquelle est implantée la ville.
Alors que des troubles persistent au Gabon après l’élection controversée d’Ali Bongo pour succéder à son père en tant que chef de l’Etat, Paris n’a rien trouvé « à redire » au résultat du scrutin, s’attirant les foudres des opposants à la « Françafrique ».
L’armée de la Grande Ile ne souhaite pas assurer le pouvoir, préférant demeurer neutre, alors que les négociateurs préconisaient la mise en place d’un directoire militaire. Dès lors, les tractations pour une sortie de crise à Madagascar risquent d’achopper sur ce point crucial.
La France a déclaré vendredi n’avoir pas grand chose à redire sur le processus électoral contesté qui, au Gabon, a porté Ali Bongo Ondimba à la succession de son père, Omar Bongo, au risque de s’attirer les accusations de perpétuer les vieux usages de la « Françafrique ».
Selon l’ONG de défense de la presse, les journalistes, gabonais et étrangers, chargés de la couverture de l’élection présidentielle à Libreville ont subi pour certains des menaces, pour d’autres des violences.
Le sommet extraordinaire de la Cédéao sur la crise politique au Niger qui devait se tenir samedi à Abuja a été reporté, a indiqué jeudi un porte-parole de l’organisation.
La Fédération internationale de football association (FIFA) a demandé, jeudi, aux autorités gabonaises d’envisager un plan B pour ne pas compromettre le match en retard Gabon – Cameroun, samedi à Libreville, en raison d’une « tension perceptible » résultant de la proclamation des résultats provisoires de l’élection présidentielle.
La remise en liberté provisoire de l’ancien vice-président de la République démocratique du Congo (RDC) Jean-Pierre Bemba a été suspendue jeudi par la chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI) dans l’attente d’une décision sur le fond, a annoncé la CPI.
Lançant un appel au calme, Paris a néanmoins recommandé aux Français vivant au Gabon de rester chez eux, devant les émeutes qui ont agité Libreville après l’élection contestée d’Ali Bongo.
Les manifestants, ulcérés à l’annonce de la victoire d’Ali Bongo à l’élection présidenteille gabonaise, ont libérés des prisonniers et ont pris d’assaut Libreville, où des scènes d’émeutes ont lieu en ce moment même. des slogans anti-Ali et anti-Français ont été entendus.
Le ministre français des Affaires étrangères a annoncé jeudi que Paris avait un « dispositif » pour « protéger » ses ressortissants au Gabon. Bernard Kouchner s’exprimait avant l’annonce de la victoire d’Ali Bongo, qui a entraîné des troubles.