Alors que la Cour constitutionnelle confirmait la victoire d’Ali Bongo à l’élection présidentielle, les soutiens de l’opposant Pierre Mamboundou ont appelé à la résistance.
Ali Bongo, fils du défunt chef d’Etat Omar Bongo, a été proclamé officiellement vainqueur de l’élection présidentielle au Gabon jeudi, un résultat contesté par l’opposition et à l’origine d’incidents visant notamment les intérêts français.
Ali Bongo Ondimba a été élu président du Gabon avec 41,73% des suffrages, selon les chiffres publiés ce jeudi. Le fils du chef de l’Etat défunt a déclaré qu’il n’éprouvait « aucun ressentiment » envers ceux qui n’ont pas voté pour lui.
Des manifestants, parmi lesquels des candidats de l’opposition à l’élection présidentielle gabonaise ont été dispersés jeudi matin par les forces de l’ordre. Les résultats ne sont toujours pas connus, et la population comme la communauté internationale commencent à s’impatienter, redoutant des troubles.
La situation à Port-Gentil se dégrade depuis l’annonce de la victoire d’Ali Bongo à la présidentielle. Dernier épisode en date, le consulat de France a été incendié.
La candidature du chef de la junte, le capitaine Moussa Dadis Camara, à la présidentielle du 31 janvier 2010 ne fait plus guère de doutes. La classe politique y est farouchement opposée. Reste à savoir comment réagira la population.
Une importante personnalité politique rwandaise, président du parlement de 2003 à 2008, a été condamnée à la prison à perpétuité après avoir été reconnue coupable de participation au génocide de 1994 contre les Tutsis, a-t-on appris jeudi de source officielle.
Loin du patriotisme de millions de Sud-Africains célébrant le retour au pays de la championne d’athlétisme Caster Semenya, le procès des meurtriers d’Eudy Simelane, footballeuse lesbienne tuée en 2008, se déroule dans l’indifférence.
Le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a appelé mercredi à Addis Abeba les pays d’Afrique à « contribuer à la paix » au Proche-Orient, au premier jour d’une importante tournée africaine.
Le responsable de l’attentat de Lockerbie, récemment libéré de prison pour pouvoir finir ses jours libre, en Libye, vient d’être admis à l’hôpital, en soins intensifs.
Abdelbaset al-Megrahi, condamné à la prison à vie pour l’attentat de Lockerbie et dont la libération le 20 août par l’Ecosse pour raisons de santé a suscité une vive controverse, se trouvait mercredi en soins intensifs dans un hôpital de Tripoli, selon un responsable libyen.
L’attente de la publication, initialement prévue pour mercredi soir, des résultats de l’élection présidentielle, se prolongeait pour les Gabonais, tandis que la détermination des camps de trois candidats revendiquant la victoire fait craindre des troubles.
Alors que les résultats de l’élection présidentielle gabonaise sont attendus dans la soirée, le matériel de transmission de la chaîne de télévision du présidentiable André Mba Obame ont été mitraillés par des hommes cagoulés.
Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi fêtait en grande pompe mardi 40 ans de pouvoir, en présence de dirigeants africains, arabes et d’Amérique latine mais en l’absence de plusieurs dirigeants occidentaux.
La République islamique a mis au point un plan qui fait plusieurs propositions à l’Occident sur le nucléaire iranien. Ce « programme » sera soumis à l’approbation du Conseil de sécurité des Nations Unies ainsi qu’à l’Allemagne.
Londres le reconnaît, elle ne souhaitait pas voir « mourir en prison » le Libyen Abdelbaset Ali Mohamed al-Megrahi, le responsable de l’attentat de Lockerbie, qui a fait 270 victimes en Ecosse.Pourtant, l’équipe de Gordon Brown affireme qu’elle n’a aps fait pression sur l’Ecosse pour sa libération.
Une étrange vague de meurtres, qui ne touche que des chauffeurs de taxis, sévit depuis un mois à Nairobi, la capitale kenyane. Des crimes qui évoquent aux enquêteurs des rituels, puisque des organes ont été prélevés sur les corps mutilés.
Réunies dans la capitale mozambicaine pour finaliser les accords du 9 août, les quatre mouvances politiques malgaches ne sont pas parvenues à s’entendre sur la répartition des pouvoirs au sein des futures institutions de la transition.
L’atmosphère était tendue mardi à Libreville en attendant la publication, prévue pour le ce mercredi, des résultats de la présidentielle que trois candidats affirment avoir remportée, alors que le gouvernement s’est voulu rassurant sur la sécurité.
Même si elle ne conteste pas le caractère « conforme à la loi » du scrutin gabonais du 30 août dernier, l’Union Africaine a cependant relevé des « irrégularités » et des « faiblesses » lors du vote.
Un Congolais installé en Belgique entend déposer une plainte pour faire interdire « Tintin au Congo » en France. Motif : il juge l’album dégradant pour l’homme noir.