Dix-huit mois après l’entrée en production du champ de Chinguetti, l’opérateur australien se débarrasse de ses actifs mauritaniens. Et tourne définitivement la page de l’aventure africaine.
L’ouverture totale de l’espace aérien national à la concurrence et l’arrivée de Transavia devraient faire chuter les tarifs pour les résidents. Face à une compétition grandissante, les compagnies locales vont devoir s’adapter.
Le groupe algérien poursuit une croissance accélérée. L’entreprise familiale d’autrefois est aujourd’hui la première firme privée du pays. Visionnaire ou mégalo, son patron ne compte en tout cas pas s’arrêter là.