Le secteur doit redevenir une priorité, et l’un des principaux moteurs de croissance. Au programme : la structuration des acteurs et la promotion des investissements privés.
À l’occasion de son 5e congrès organisé du 30 juillet au 2 août, le parti au pouvoir va souffler ses vingt bougies. Comment fonctionne-t-il ? Qui sont ses hommes clés ? Quelles en ont été les évolutions ? Immersion au coeur du système Ben Ali.
Avec Abdelilah Benkirane, le Parti de la justice et du développement s’est donné un nouveau chef. Un coup de théâtre… et un coup de pied de l’âne, à l’heure où les leaders des autres partis politiques ont bien du mal à passer la main.
Extension des réseaux de transport, création de pôles économiques locaux et de nouveaux centres urbains… Les chantiers ne manquent pas. Notamment pour faciliter les déplacements sur tout le territoire. Et au-delà.
Deux plans complémentaires, lancés respectivement en 2005 et 2006, définissent la première stratégie industrielle du pays. Ambition : hisser dix secteurs aux premières places mondiales.
Le Conseil d’État s’oppose à la naturalisation d’une jeune Marocaine. Parce que, adepte d’une « pratique radicale de sa religion », elle porte le niqab. Jeune Afrique l’a rencontrée.
Plutôt que de diminuer le nombre des membres du gouvernement, le Premier ministre a préféré réduire leurs salaires de moitié. Il n’y a pas de petites économies…
Pour encourager certains détenus à se réinsérer, le chef de l’État va accorder sa grâce à 296 auteurs de délits mineurs qui ont obtenu leur baccalauréat ou leur BEM en prison.
Alors que son économie traverse un trou d’air depuis le début de l’année, le pays maintient le cap. Et mise plus que jamais sur l’organisation du Mondial pour accélérer son développement.
À 22 ans, le rugbyman franco-burkinabè compte déjà huit sélections avec les Bleus. Son rêve ? Participer à la Coupe du monde 2011. Et, autant que possible, la gagner.
L’accueil de l’ancien président anjouanais Mohamed Bacar, chassé du pouvoir en mars dernier, n’est pas une première. D’Idriss Déby Itno à Ibrahim Coulibaly, nombre d’opposants ou de dirigeants déchus ont, par le passé, trouvé refuge dans l’ancien Dahomey.