Au regard des différentes dispositions du droit international, ce n’est pas demain que l’homme fort de Khartoum risque de se retrouver dans le prétoire de la CPI.
Originaire de Tunisie, il a décroché le Prix de la « meilleure baguette » de Paris. Pendant un an, il est le boulanger officiel de l’Élysée. Pas mal, à seulement 28 ans !
Création d’une deuxième Chambre, apparition d’un poste de chef de l’État, nomination d’un Premier ministre : la nouvelle Loi fondamentale prévoit d’importantes innovations.
Angela Merkel n’a pas perdu son temps. Trois jours après avoir participé au lancement à Paris de l’Union pour la Méditerranée (UPM), la chancelière allemande s’est rendue à Alger pour une visite de deux jours (16-17 juillet) au cours de laquelle l’économie a pris le pas sur la politique. Son pays, a-t-elle expliqué, s’efforce de « prendre pied dans une région où il est traditionnellement peu influent » – business is business -, mais en évitant soigneusement de susciter des malentendus avec l’allié français.
Après de nombreux rendez-vous manqués, les chefs de la rébellion touarègue au Nord-Mali et une délégation gouvernementale dirigée par le général Kafougouna Koné, ministre de l’Administration territoriale, ont entamé le 17 juillet, à Alger, des discussions sous les auspices du facilitateur algérien, l’ambassadeur Abdelkrim Gheraïeb.
Le pays vient d’assister à la nomination d’un troisième gouvernement en seize mois. Dérive institutionnelle pernicieuse ou vertu de l’État de droit ? La population s’interroge…
Au menu d’une visite écourtée par la faute d’un certain Mouammar Kadhafi : le fameux contrat conclu entre Pékin et Kinshasa, que l’Élysée a bien du mal à avaler.
La demande du procureur de la Cour pénale internationale de poursuivre le président soudanais el-Béchir suscite le malaise. Elle risque d’aggraver la situation au Darfour. Et, troublante coïncidence, les individus déférés devant le tribunal de La Haye ou