Il y a eu deux congrès à Bouznika : le congrès des « éléphants » et celui du peuple de gauche. Dans le désordre et la crise, quelques signes d’espoir malgré tout.
Son bras de fer avec les Occidentaux a valu au président zimbabwéen un réel prestige auprès de l’opinion africaine. Mais, depuis sa déroute aux élections du 29 mars, le vent tourne. Le front des chefs d’État jusqu’ici solidaire du « Vieux Bob » se fissure.