La mise au jour d’un réseau djihadiste aux surprenantes ramifications ne laisse pas d’intriguer. Avec le ministre marocain de l’Intérieur, Jeune Afrique tente d’aller plus loin dans l’exploration de ce dossier complexe. Interview.
Grandes manoeuvres électorales, vrais-faux coups d’État, jeu de la France et des pays voisins, argent, trafics, manipulations… Enquête au pays des mystères.
Le 2 février 1971, Idi Amin Dada s’autoproclame président de l’Ouganda ainsi que commandant en chef des forces armées. Il modifie la Constitution, place des militaires aux plus hautes fonctions de l’État et instaure le State Research Bureau (STB), chargé de poursuivre les anciens fidèles de Milton Obote, qui vient d’être chassé du pouvoir.
Je ne commenterai pas le mariage de Sarko et Carla. Au chapitre « Rolex et top model », nous avons été servis. Avec les ingrédients du genre : romance et revanche, exhibitionnisme et suspens, sexe et pouvoir, tout ce qui pourrait faire penser aux harems d’antan et dont j’aurais, personnellement, demandé à être épargnée. D’ici à ce que nos chefs d’État africains rajoutent une séquence à leur gynécée et se mettent dans la tête de courir publiquement les mannequins, voire de nous les exhiber nues
Réseaux, garde rapprochée, ambitions présidentielles… Le fils du chef de l’État est l’objet de toutes les controverses. Et demeure une énigme pour la plupart de ses compatriotes, qui lui prêtent une grande influence sur la gestion des affaires du pays.
Limogé, remplacé par un fidèle du chef de l’État, Idrissa Seck est-il pour autant neutralisé ? L’ex-Premier ministre bénéficie de réseaux de soutien qui vont au-delà de ses camarades du parti au pouvoir.
L’ex-Premier ministre, qui pourrait répondre de graves accusations devant la justice, est-il une menace pour le président Abdoulaye Wade et son régime ?
L’homme d’affaires marocain puise dans ses fonds propres pour lancer Finatech Group, une structure de financement dédiée aux technologies de l’information.
Gouvernement resserré, fin du règne des « roitelets », guerre déclarée à la corruption, culture du résultat… Quarante ans après son accession au pouvoir, le président Bongo Ondimba promet du changement. Sans forcément convaincre.